De La Solitude Montaigne

Le prince doit s'adapter a la situation (these explicitee par la derniere phrase) LA2 : La Boetie , Discours sur la servitude volontaire , extrait , 1574 Contexte : Reforme protestante , guerre de religion Introduction au texte : Ami de montaigne Etudie le droit a Orlean Traduit des poem:es Latins Œuvre posthume : discoours sur la servitude Texte subsersif violent : il attaque simultanement peuple (lache,inconscient,volontairement asservi)+Roi/Tyran/pouvoir d'un seul Souvent pris

et puis ils parlaient à eux, "L'autorité de ceux qui enseignent nuit la plupart du temps à ceux qui veulent apprendre. ". Montaigne, Les Essais (1588) XVIe s. « C’est un sujet merveilleusement vain, divers et ondoyant que l’homme. » (Essais, I, chap.1) « Je m’égare mais plutôt par licence que par mégarde. » (Essais, III, chap.9) Forme peu structurée voulue par Montaigne. « J’ai naturellement un style comique et privé, mais c’est d’une forme mienne. » (Essais, I, chap.60) « Le parler que j’aime

L’armée = Le rouge et L’Eglise = Le noir → Style stendhalien : - Ecriture rapide cad langue rapide, concise. Il n’en dit jamais plus qu’il n’en faut. - Pratique régulière de l’ellipse (passage mis sous silence) = Ecrivain pudique (Montaigne : Sa demande un lecteur diligent) - Virtuose du discours indirect libre (rapport de propos sans l’utilisation des ponctuations) L’incipit : Stendhal apporte une sorte de sous titre « chronique de 1830 » car il s’est inspiré d’un fait

que "mon jardin secret est une prison" (Gaston Berger, Du prochain au semblable: esquisse d\'une phénoménologie de la solitude). En effet, ma subjectivité m'isole de façon irrémédiable. Elle est à l'origine d'une solitude essentielle, c'est-à-dire non pas due au hasard des circonstances, et à laquelle des circonstances plus favorables pourront mettre un terme, mais une solitude irréductible parce qu'elle tient à la nature même de l'homme. Tout homme est nécessairement un étranger pour les autres

curé de Meudon avec 2 enfants légitimés par la papauté.... – Michel Eyquem, seigneur de Montaigne :(1533-1592) France Il a écrit des « Essais » (nouveau style littéraire) : réflexions intellectuelles sur la nature humaine et sur la nécessité de se détacher du matériel. Il y traite aussi beaucoup d'amitié. Il avait un ami, Etienne de la Boétie. Après sa mort Montaigne s'est retiré dans la solitude et a écrit ses Essais dans lesquel il donne sa fameuse définition de l'amitié : - « « Si on

Maximes, litote (bienséance), parallélisme | * Essais, contes , romans, articles de dictionnaire, discours, pamphlets * Tonalité ironique, implicat° du lecteur, dialogue argumentatif, éloquence | Auteurs représentatifs | Rabelais (1490-1553)Montaigne (1433-1492) | Du Bellay (1522-1560)Ronsard (1524-1585)Défense et illustration de la langue française | Saint-Amant (1594-1661)Th. de Viau (1590-1626)Corneille (1606-1684)Cyrano de Bergerac (1619-55) | Molière (1622-1673)Racine (1639-1699)La Fontaine

mais l’homme est d’abord une liberté qui surgit dans le monde et il ne sera rien d’autre que ce qu’il fait de lui, selon ses propres choix. C’est donc seulement par ses actes que l’homme devient quelque chose. Sartre énonce alors l’idée d’une solitude morale de l’homme : il n’y a pas de bien et de mal avant que l’homme ne décide lui-même ce que seront ses valeurs. Alors l’homme doit choisir seul ses valeurs, la morale découle de sa volonté. L’individu choisit donc lui-même sa morale et s’autodétermine

c'est que "mon jardin secret est une prison" (Gaston Berger, Du prochain au semblable: esquisse d'une phénoménologie de la solitude). En effet, ma subjectivité m'isole de façon irrémédiable. Elle est à l'origine d'une solitude essentielle, c'est-à-dire non pas due au hasard des circonstances, et à laquelle des circonstances plus favorables pourront mettre un terme, mais une solitude irréductible parce qu'elle tient à la nature même de l'homme. Tout homme est nécessairement un étranger pour les autres

évoqués sont l'éducation, la guerre, la mort, le corps et les relations amoureuses. Les principes sont la confiance de l'homme, l'esprit européen et le retour à l'Antiquité. Les auteurs clés de ce mouvement sont Rabelais, Marguerite de Navarre et Montaigne. II.La pléiade (1553-1589) : La pléiade est un groupe de sept poètes français du XVIème siècle rassemblés autour de Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay. Le genre dominant de cette époque est la poésie lyrique. Les thèmes abordés sont

évoluons avec le monde qui nous entoure. «  La crainte, le désir l'espérance, nous élancent vers l'avenir, et nous dérobent le sentiment et la considération de ce qui est, pour nous amuser à ce qui sera, voire quand nous ne serons plus », dit Montaigne (Essais 1,3). Cette phrase souligne que notre faculté à nous projeter dans l'avenir constitue un obstacle à la connaissance de soi car nous ne savons pas comment nous réagirons dans le futur face aux différentes situations encourues. Se connaître