De La Cruauté Essais Ii Montaigne

souverains ne protègent pas les droits des noirs c’est qu’ils n’ont pas à avoir de droit. Pour conclure, nous pouvons dire que Montesquieu se sert brillamment de l’absurde pour accentuer le caractère insensé du raisonnement adverse et le démanteler. II) L’ironie L’ironie est une critique de l’adversaire : on observe ses défauts et on en grossit les traits. Il ne faut pas la confondre avec l’humour qui est, quant à lui, plutôt une capacité à se moquer de soi-même. L’ironie est omniprésente dans

meurtrières. Jean-Paul Sartre, Huis Clos, dénouement. Lectures et activités complémentaires Deux textes pour appréhender le genre de l’essai : Montaigne, Essais, « Sur Démocrite et Héraclite », I, L, (1588 -1592). Paul Valéry, Regards sur le monde actuel (1931), incipit. Une question de corpus : quelle vision de l’autre donnent les textes du corpus ? Montaigne, Essais « Des Cannibales », I, 31, 1580. J. Swift, Voyage de Gulliver, 1726. T. Ben Jelloun, Le racisme expliqué à ma fille, 1998. J-C. Carrière

celle de la peste est bienfaisante, car poussant les hommes à se voir tels qu’ils sont, elle fait tomber le masque, elle découvre le mensonge, la veulerie, la bassesse, la tartufferie. » Antonin Artaud, Le théâtre et son double.« Sans un élément de cruauté à la base de tout spectacle, le théâtre n’est pas » Georges Perros, extrait de Papiers collés 1 (1973): “Le théâtre, c'est du présent mis en bouteille.” Arthur Adamov: "Une pièce de théâtre doit être le lieu où le monde visible et le monde invisible

Humanisme et Renaissance Sommaire I- Les grandes découvertes de la Renaissance...............p.1-9 II- Elaborer une frise chronologique.......................p.10-12 III- Le domaine intellectuel et artistique..................p.13-18 Conclusion..........................................................p.19 Sources............................................................p.20 I- Les grandes découvertes de la Renaissance 1) Les grands voyages ; Les inventions

d’exalter la beauté du corps humain à travers la redécouverte du Beau. Conclusion : Les sources des humanistes sont donc diverses et elles conduisent à l’apparition d’une nouvelle philosophie, dans laquelle l’homme est au centre des attentions. -II- Une nouvelle philosophie de l’Homme La prise de Constantinople en 1453 marque un tournant. En effet, les savants grecs sont contraints de s’exiler en Europe et emportent avec eux toutes leurs théories et philosophies. Malgré le poids important des

de Jean Anouilh • Incendies de Wajdi Mouawad La litt�rature d’id�es du XVIème au XVIIIème siècle D�claration des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouges Parcours de lecture : Ecrire et combattre pour l’�galit� • Texte 9 : Montaigne, Essais, « Des Cannibales », « Chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage » Les points de grammaire suivants ont �t� vus : • Les propositions subordonn�es • L’interrogationLes Fleurs du Mal de Charles Baudelaire Texte 1 : « Le soleil » («

biographie et contexte de l'oeuvre Etienne de La Boétie, né à Sarlat en 1530 et mort en 1563 au Taillan-Medoc, a connu une vie brève marquée par son goût pour la philosophie, ses traductions d’auteurs de l’Antiquité, sa grande amitié avec Montaigne, et surtout, par son oeuvre, Discours de la servitude volontaire. Issu, d’un milieu bourgeois, d’une famille de magistrat, La Boétie, suit des études de droit pour être conseiller du parlement de Bordeaux en 1553. Il sera d’ailleurs chargé, quelques

du français dans les textes officiels. La Pléiade, formée la même année, se donne comme objectif de réhabiliter la langue française par l’imitation des textes antiques. L’humanisme se teinte finalement de pessimisme et à la fin du siècle voit Montaigne (1533 – 1592) se demander « que sais-je ? ». 2) Une vision scientifique du monde Les humanistes veulent comprendre le monde qui les entoure. L’astronome polonais Nicolas Copernic (1473 – 1543) critique la théorie de Ptolémée, reprise par

(contre)-doxa(opinion) ; pensée contraire à l’opinion communément partagée. - La concession : faire une concession à son adversaire consiste à donner dans un premier temps raison à la thèse adverse pour mieux remettre en question ensuite les arguments qu’elle emploie. II. Les différentes pratiques de l’argumentation. 1) La délibération : Délibérer : du latin « deliberare » qui signifie « réfléchir mûrement, trancher, décider », consiste à considérer différents points de vue. Il s’agit de confronter des idées contradictoires

; pensée contraire à l’opinion communément partagée. La concession : faire une concession à son adversaire consiste à donner dans un premier temps raison à la thèse adverse pour mieux remettre en question ensuite les arguments qu’elle emploie. II. Les différentes pratiques de l’argumentation. 1) La délibération : Délibérer : du latin « deliberare » qui signifie « réfléchir mûrement, trancher, décider », consiste à considérer différents points de vue. Il s’agit de confronter des idées contradictoires