De L Audace Encore De L Audace

romancier du plat pays, est né le 24 juin 1948 à Heyd en Belgique. Enfant, il est issu d’une famille modeste, campagnarde, parlant le wallon liègois ; une famille attachée à ses racines. Son adolescence, il la consacre à l’art, que ce soit au piano ou encore aux lettres et au théâtre. Ensuite, il entamera des études universitaires à Liège. Il devient candidat en philosophie et lettres et licencié de philologie classique. Il sera professeur de Latin et de Grec au séminaire de Bastogne. Il y donne cours

pharmaceutiques aux nostalgies de sa Picardie natale, où sa famille exerçait le métier de potier d’étain, apprivoise de magiques effluves dans son laboratoire. Il choisit sa raison sociale : « parfumeur vinaigrier » (les vinaigres de toilette sont encore très prisés). Ses savons « Sapoceti », confectionnés à partir du blanc de baleine, sont déjà parfumés aux essences naturelles de rose, jasmin, gardénia… Il concrétise ses ambitions de parfumeur en composant des fragrances qui sont des pensées émues

de courses : on retrouve " la piste, l'enceinte du pesage " et " les tribunes "

Les noms propres (le " Bois ", " le mont Valérien ", " Longchamp " et " Boulogne ") tracent un périmètre plus vaste à la scène. Puis des lieux indéterminés élargissent encore l'angle de vision : " allées lointaines ", " sous les arbres ".

C'est le regard qui est d'abord sollicité : " On vit alors une chose superbe ". Le verbe, neutre, prend un sens grandiose avec l'adjectif "superbe". La brièveté de la phrase et l'indétermination

du val »). Ce dernier poème publié en 1888, ne recourt pas au ton de l’indignation, le poète feint de découvrir avec le lecteur le spectacle de la mort. Si ce poème reprend la forme classique du sonnet, le thème choisi, le ton adopté et quelques audaces sur la forme, annoncent déjà la poésie moderne. I) Un paysage idyllique Quel est le cadre de ce poème ? Qu’est-ce qui caractérise cette nature ? A)Ce paysage est inondé de lumière : « argent », « soleil », « luit », « rayons ». La qualité

l’attente précise des lecteurs. Très souvent, le héros doit surmonter des épreuves extraordinaires pour susciter de l’intérêt, mais quelquefois à l’inverse, il existe justement par son absence de qualités ou même par l’inactivité totale. Peut-on encore parler dans ces cas là de héros ? Nous verrons dans un premier temps que le héros « héroïque » est en obligation d’accomplir son devoir au nom d’une autorité supérieure; dans un second temps, nous observerons que le héros « humain » , plus proche

de la continuité du mouvement symboliste et décadentiste avec Sully Prudhomme, Saint-Pol-Roux, Anna de Noailles et certains aspects d’Apollinaire, de la lignée de la cérébralité et du travail formel mallarméen avec Paul Valéry (Charmes, 1929), ou encore de la libération des thèmes nouveaux comme l’humilité du quotidien avec Francis Jammes (Les Géorgiques chrétiennes, 1912) ou Paul Fort (Ballades françaises, 1922-1951) et l’ouverture au monde moderne avec Émile Verhaeren (Les villes tentaculaires

et indiquant les points essentiels. De cette façon, l’orateur ou l’écrivain justifie sa prise de parole. Tout cela est fait d’une manière captivante qui rendra le public bien disposé et à la fois attentif et réceptif à l'argument. Cette partie est encore divisée en deux, l’introduction simple et l’exorde d’insinuation. Bien que l’introduction introduit directement les points d’articulations, l’insinuation le fait indirectement. L’insinuation est utilisée lorsque le public est hostile. Voici un exemple

Molière: l'esclave antique en premier lieu (Sosie et Cléanthis sont "valet" et "suivante" dans Amphitryon*), la nourrice, jouée le plus souvent par un homme, qu'on trouve encore dans Le Médecin malgré lui*, la "femme d'intrigue", alias la "maquerelle" des comédies du XVIe siècle (Frosine de L'Avare*), le parasite ou le matamore, cher encore à Corneille* avec L'illusion comique. Se développe, en revanche, une domesticité plus familière aux spectateurs, comme la suivante ou le laquais, signes extérieurs de

* Thérèse est une femme fatale, mue par le désir. Elle se donne à Laurent avec fièvre et sans retenue : « On eût dit [...] que des flammes s’échappaient de sa chair » (chapitre VII, page 53). Cette rencontre la libère et lui donne une incroyable audace. * La conscience de la transgression serait même pour elle un puissant aiguillon. La mort de son mari occasionne aussi celle de son désir pour Laurent. Le mariage, que les amants ont pourtant tant attendu, les laisse faire face à leur crime, dans

couverture conçu comme une affiche, la couverture véritable valeur ajoutée au contenu des livres. La couverture facteur déterminant assurant le succès commercial, et ce quel que soit le type d’ouvrages : des beaux livres jusqu’au livres de poche. Une audace visuelle, de l’originalité qui rappelle les souvenirs d’enfance, un dépassement des normes graphiques et surtout la mixité des techniques font de ses travaux des créations uniques. Massin reçoit en 1997 l’International Book Award, décerné par l’Unesco