De Gaulle Truman

Unies. C'est Georges Bidault, ministre des affaires étrangères du gouvernement provisoire dirigé par Charles de Gaulle, qui était le chef de la délégation française à cette conférence. Il a obtenu, avec l'appui de l'Union sociétique, du Canada, et de plusieurs pays latino-américains, que le français soit langue de travail à égalité avec l'anglais[1]. C'est sur les instructions de De Gaulle que Georges Bidault fit prévaloir le maintien du français comme langue officielle de l'ONU et comme langue de

existent depuis octobre 1917 et la révolution bolchevique. Sans effet jusque-là sur les relations internationales, elles vont constituer le point de départ de la guerre froide. En 1947 c’est la rupture. Par le biais de deux responsables politiques (Truman et Jdanov), Etats-Unis et URSS se perçoivent comme le seul et unique leader du monde libre et érigent l’autre comme véritablement « l’ennemi à abattre ». En plus de sonner le glas de la Grande Alliance, cette année capitale est également le début

Etats-Unis tombent sous leur influence tandis que les pays que l'URSS a libérés tombent eux sous le joug de Staline. En 1947, les USA proposent à tous les pays européens le plan Marshall – une aide financière pour leur reconstruction – et le président Truman pose de plus sa doctrine du « containment » pour arrêter l'expansion du bloc communiste dans l'Europe de l'Est. L'URSS ne veut pas que les pays qu'elle contrôle accepte cette aide, ce qui accentue les tensions déjà présentes auparavant. Pour riposter

s’efface devant la nécessité de contenir l’expansion du communisme. Les EU entrent dans la guerre froide. 1947-1990 : Les Etats-Unis leader du « monde libre » a/ Une politique offensive d’endiguement  – Rappel contexte (Grèce/Turquie), Discours de Truman (mars 1947): le containment (Kennan)  – Plan Marshall (16 pays européens, 13Mds de $, OECE).  – OEA (1948)/ 21 Etats américains.  – OTAN (avril 1949)/ « Parapluie nucléaire » américain/ 12 pays + Grèce, Turquie (1952); RFA (1955) -  » Pactomanie »

le Pacifique : Stratégie US du « sauts de puce » d’îles en îles. La résistance japonaise est acharnée. D’autres part, les soviétiques avancent en Chine & risquent d’augmenter leur influence dans le Pacifique (1 p 98). Aussi, le président des USA TRUMAN décide d’accélérer la fin du conflit en utilisant une nouvelle arme : la bombe atomique est lâchée sur Hiroshima (6 août 1945) & Nagasaki (9 août 1945) (doc 4 p 117) = le Japon capitule le 2 septembre 1945 Conclusion : La guerre débute avec l’invasion

américaine et de la politique menée par les Occidentaux en Allemagne. Les Etats-Unis, de plus en plus sensibles aux voix qui dénoncent le « rideau de fer » qui s’est abattu sur l’Europe, décident de rompre avec l’isolationnisme. En mars 1947, le président Truman annonce que les Etats-Unis assument leur responsabilité dans la défense du « monde libre ». L’« endiguement » du communisme implique d’abord d’aider l’Europe à se relever. En juin, le général Marshall, secrétaire d’Etat chargé des Affaires étrangères

États-Unis sont présents dans toutes les conférences interalliées ( Argentia, Téhéran, Yalta, Potsdam ) dont la plupart se réunissent à leur initiative et dans lesquelles ils jouent un rôle de premier plan. Ils sont donc en phase de super puissance avec Truman et Eisenhower. C'est la période d'après-guerre. Et ils sortent en position de force; car le potentiel économique est intact, voire même, renforcé, surtout sur la côte Ouest ( Guerre avec le Japon ), les pertes en hommes sont minimes ( environ

Entrée en vigueur le 24 octobre 1946, il s’agit pour elle d’établir les orientations principales des Nations Unies, l’ONU. La nouvelle organisation devra chercher à régler les conflits par des moyens pacifiques afin d ‘éviter toute guerre. Doctrine Truman… 12 mars 1947 Les Americains souhaitent stopper le pouvoir des soviétiques. Plan Marshall… 5 juin 1947 L’Europe détruite a besoin d’argent pour se reconstruire. Ainsi, les Etats-Unis qui s’étaient engagés à renouveler cette partie du globe définissent

fait évidemment partie la France : le plan Marshall. Ce plan pose incontestablement les bases d'une volonté de domination américaine sur l'Europe et la France en particulier, ce qui crée des frustrations notamment chez les partisans du général de Gaulle, qui selon Roosevelt (jusqu’en 1944) ne représente pas les français. L'addition de cette volonté impérialiste et de ces provocations malsaines contribue à installer un climat de tensions où l'anti-américanisme est palpable dans l'opinion publique

résistance farouche (Kamikaze) à la reconquête du Pacifique par les Américains. Lors de la capitulation allemande l’Archipel est loin d’être investi. L’envoi de deux bombes atomiques (6 et 9 août 45 à Hiroshima et à Nagasaki) par le président américain Truman, successeur de Roosevelt mort en avril, hâtera la capitulation, demandée sur l'initiative de l'Empereur. Elle sera signée le 2 septembre 45 à bord du cuirassé Missouri en présence du Général Mac Arthur.. ! Exercice Prépabac pages 24-25 : Hiroshima