De Fontenelle Second Soir

obtient l’absolution. C’est le prix à payer pour ne pas être jeté à la voirie, et le souvenir de Mlle Lecouvreur est encore vivace. Revigoré, Voltaire assiste à une séance de l’Académie où il est acclamé. L’apothéose a lieu à la Comédie-Française le soir de la représentation d’Irène. Les ovations répétées du public l’étreignent à la gorge. Il doit quitter la salle, écrasé de bonheur et d’émotion. À la mi-mai, c’est une nouvelle attaque de strangurie. Les tractations ont commencé entre les proches et

ibn Ziri[14], fils du fondateur de la dynastie Ziride, lorsqu'il bâtit la ville en 960 sur les ruines de l'ancienne ville au nom romain Icosium, Djaza'ir Beni Mezghenna[15]. Le nom en français, Algérie, utilisé pour la première fois en 1686 par Fontenelle dans Entretiens sur la pluralité des mondes pour qualifier la Régence d'Alger, est officiellement adopté le 14 octobre 1839 par Antoine Virgile Schneider[16] afin de désigner ce territoire faisant partie de la Côte des Barbaresques. L'étymologie

l’histoire, au sens étroit, au sens « pragmatique » du mot utile, ne se confond pas avec celui de sa Marc BLOCH — Apologie pour l’Histoire ou Métier d’Historien 10 légitimité, proprement intellectuelle. Il ne peut, d’ailleurs, venir qu’en second : pour agir raisonnablement, ne faut-il pas d’abord comprendre ? Mais, sous peine de ne répondre qu’à demi aux suggestions les plus impérieuses de sens commun, ce problème-là non plus ne saurait être éludé. * A ces questions, certains, parmi nos conseillers

poètes de l’Antiquité, il arrive à nous émouvoir parce qu’il exprime des sentiments vrais. Il sait évoquer la mélancolie de la vieillesse, comme par exemple dans ce sonnet adressé à Hélène. Pg No. 9 Pg no.8 ‘‘Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle…’’ Poète de la Renaissance ; Ronsard veut jouir des plaisirs de la vie : ‘‘Le temps s’en va, le temps s’en va, Ma Dame Et nous nous en allons …… Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie’’. Il aime la nature et en apprécie la beauté

parler de lui pour l’Académie. Le Temple de Gnide, composé pour plaire à une princesse du sang, Mlle de Clermont, lui valut des amitiés puissantes, auxquelles on n’avait rien à refuser. Il se présenta, dit-on, à l’Académie en 1725 et fut élu.11 Fontenelle, alors directeur de la compagnie, avait déjà écrit son discours, et l’avait remis au récipiendaire, lorsqu’on fit valoir un article des statuts, article encore en vigueur aujourd’hui, qui ne permet d’élire que des membres résidant à Paris. L’élection

monologue tragique dIsabelle Adraste est mort, Clindor est bless et il est condamn mort. Isabelle jure de ne pas lui survivre (sc.1). Elle est rejointe par Lyse qui aprs stre moque delle finit par la rassurer Isabelle et Clindor pourront senfuir le soir mme avec Lyse et le gelier quelle a sduit. Isabelle va prparer ses affaires (sc.2). Lyse exprime ses regrets, elle nen voulait pas assez Clindor pour vouloir sa mort (sc.3). Isabelle tombe sur Matamore qui se cachait depuis plusieurs jours. Elle et

étaient méchants, ne connaissaient pas le vrai Dieu, mais que le roi en eut piti6 et leur envoya des missionnaires pour les convertir (LW., p.2). Rempli de doute et de conf&sion. le jeune Sioui retournai chez lui et en parlait avec ses parents. Un soir de 1954. son père, s'apercevant de la tristesse de son fils lui dit: Mon fils, pour réussir à P 6 c d e et plus tard dans la vie, tu dois écrire ce qu'on te dit Btre la *rite; mais ne crois pas que ce soit la vérité. Nos ancëtres &aient des

beaucoup plus large. Au sommet du savoir "humain" il situe la "theoricia" (ou science spéculative), divisée elle-même en "theologia" (science de l'intellectible), en "mathematica" (science de l'intelligible) et en "physica" (science de la nature). En second lieu vient la "practica", c'est-à-dire l'éthique. Puis il situe la "mechanica" qui correspond à la "techne" d'Aristote. Enfin vient la "logica" qui est à la fois l'art du discours (rhétorique) et de la démonstration (dialectique). Muni des ces

aux révolutions (1750-1799) Chap III un Empire sur l’Europe (1800-1815) Chap IV la France de Bonaparte a Napoléon (1800-1815) 2e partie : le XIXe siècle : de l’ordre aux mouvements (1815-1870) Chap I l’Europe selon les congrès de Vienne ou le second souffle des anciens régimes (les restaurations) Chap II la France : de l’Empire à la République (chute Napoléon-1848) Chap III l’Europe du « printemps des peuples » Chap IV la France : de la République à l’Empire 3 - Révolutions et mutations

au hasard, une part qui dépasse à l'excès les limites que rencontrent les intelligences les plus profondes lorsqu'elles s'appliquent à diriger le cours des grandes affaires. Dans un siècle où l'on croyait au progrès indéfini de l'esprit humain, Fontenelle avait dit : « Il est certain, et les peuples s'en convaincront de plus en plus, que le monde politique, aussi bien que le physi- Jacques Bainville, LES CONSÉQUENCES POLITIQUES DE LA PAIX (1920) 8 que, se règle par nombre, poids et mesure