De Eau Pour Tous Durablement

agents techniques afin de faire face à leurs nouvelles obligations dans tous les domaines (permis de construire, voirie et écoles en particulier). La mairie demeure le premier interlocuteur des citoyens et le maillage actuel des communes s'avère souvent inadéquat. L'intercommunalité, nouvel échelon d'action locale • Depuis 2002, l'État rompt avec la particularité française des 36 700 communes (soit autant que dans tous les autres pays de l'Union Européenne !). En effet, les communes peuvent

banalisation des yaourts, des biscuits ou des smoothies qui malgré de nombreuses innovations ne se réinvente pas (un biscuit reste un biscuit), et il existe un très grand nombre de substitut disponible dont le coût de substitution est bas (exemple pain, eau, jus de fruit…), qui accentue encore d’avantage le pouvoir de négociation des grandes surfaces sur Michel et Augustin. La grande distribution à un pouvoir encore plus important car elle peut laisser planer la menace d’un déréférencement des produits

Pasteur, Professeur au Collège de France | France K O Ï C H I R O M AT S U U R A Directeur Général de l’UNESCO JACQUELINE MC GLADE Directeur Exécutif de l’Agence Européenne pour l’Environnement | Danemark LOÏC MONJOUR Président de EAST (Eau, Agriculture et Santé en milieu Tropical) | France FREDDY KARUP PEDERSEN Président de la Croix Rouge Danoise, Président de la Commission Santé de la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge | Danemark RENAUD

dans nos bouteilles Pet 50cl Coca-Cola, Coca-Cola light et Coca-Cola zero VIE AU TRAVAIL 25% 1 — er 50% Pourcentage de femmes recrutées aux postes de managers chez Coca-Cola Entreprise en 2010 service consommateur en France EAU Quantité moyenne d’eau utilisée par nos usines pour fabriquer 1 litre de boisson en 2010 ENGAGEMENT SOCIÉTAL 1,33 Nombre de jeunes bénéficiaires du programme Passeport vers l’emploi depuis sa création en 2003 10 000 litre OFFRE DE BOISSONS

normal, compliqué mais intelligible, de phénomènes naturels, peuvent être dangereux et avoir des effets catastrophiques. Mais la puissance des actions humaines est sans commune mesure avec celle de la nature : on ne peut pas modifier fortement et durablement le cours des phénomènes naturels ; on ne peut pas empêcher que des événements naturels dangereux se produisent ; on ne peut pas les maîtriser ; on ne peut pas les prévoir avec une précision suffisante pour être efficace ; il est donc nécessaire

énergétique mondiale devrait augmenter de 60 % d’ici 2030. En électricité, elle devrait même doubler. Les ressources en pétrole, en gaz et, à plus long terme, en charbon, sont limitées. L’énergie est donc devenue un bien rare et ses prix sont désormais durablement orientés à la hausse. La question majeure à l’aube du XXIème siècle est de parvenir à satisfaire ces nouveaux besoins, tout en agissant contre le réchauffement climatique. Les experts conviennent que le seul recours aux énergies renouvelables

études de cas employant une méthodologie quasi-expérimentale, il propose une synthèse des réponses apportées aux interrogations suivantes : (1) La microfinance atteint-elle les plus pauvres ? (2) La microfinance contribue-t-elle à faire sortir durablement les populations de la pauvreté ? (3) Quel est le rapport coût-efficacité de la microfinance comparé à celui d’autres interventions en matière de lutte contre la pauvreté ? La microfinance est-elle un outil de réduction de la pauvreté ? Etat

stimulée. Cette théorie réhabilite le rôle de l’état qui devient un impulseur de croissance ( à travers notamment sa demande d’investissement). Puisque la formation ou les infrastructures jouent un rôle clé dans l’apparition d’externalités positives pour tous, le prélèvement public n’est plus une charge mais un levier INTRODUIRE SCHEMA N° 2 C. Nécessité d’instaurer un cadre institutionnel 1) Les entreprises et le rôle de l’entrepreneur La croissance repose avant tout sur les initiatives

ce qui peut perturber la vie aquatique, animale ou végétale en modifiant les rythmes physiologiques des espèces (reproduction…). Mais l'évolution des techniques et la politique du recyclage ont permis de réduire la pollution et la consommation en eau. Il était courant, il y a quelques décennies d'utiliser 200 mètres cubes d'eau à la tonne d'acier. Aujourd'hui les besoins sont réduits à quelques mètres cubes. Vient ensuite la pollution chimique due à la dégradation des déchets abandonnés dans

elle s’insère (Passet 1979). Un trait distinctif de la littérature analytique sur l’énergie des années 1970 et 1980 était de postuler l’existence de limites très strictes à la substitution entre sources d’énergie primaires alimentant en combustible tous les processus économiques industriels. (Georgescu-Roegen 1979; Peet 1992). La proposition selon laquelle la non substituabilité pourrait bien caractériser aussi de nombreux services environnementaux a été faite par Hueting (1980) et Pearce (1976)