Dangers Du Capitalisme

Le Capitalisme est actuellement le système dominant. Il s'appuie sur les notions centrales de propriété privée et de libre entreprise. Celles-ci sont censées engendrer, via la concurrence et la compétition, plus d'efficacité, des produits de meilleure qualité et une croissance continue. Le Socialisme vise, à l'inverse du modèle capitaliste, à réformer le système de propriété privée des moyens de production et d'échange et à l'appropriation de ceux-ci par la collectivité. Les valeurs fondamentales

elle-même permet d’accroître la productivité. « Un enrichissement indéfini devient possible » (p. 96). Pour Karl Marx, le capitalisme engendre la lutte des classes. L’ouvrier reçoit le prix de sa force de travail et le patron garde les profits engrangés grâce à la plus-value. Pour contraindre les prolétaires à accepter des salaires de misère, il suffit au capitalisme de maintenir une « armée de réserve industrielle », une masse de chômeurs prêts à remplacer à tout moment les travailleurs. De

déséquilibrages à l’instar des marchés financiers et la spéculation (radicalement en opposition avec le principe de stabilité). Ce « laissez-faire » (baisse des salaires, hausse du chômage) des libéraux n’est pas une solution selon Keynes mais un danger de grande ampleur. L’alternative keynésienne : le circuit Pour John Maynard Keynes (1883-1946), le marché ne peut réguler lui-seul l’économie. Keynes postule que l’individualisme est à l’origine du chômage. Ainsi, les consommateurs raisonnent en

risque », Robert Castel met de son côté en avant la relation étroite entre explosion des risques, qu’il distingue des dangers dans leurs définitions, avec l’hyper individualisation et la privatisation des assurances. Il affirme même que « la culture du risque fabrique du danger ». Encore une fois, du collectif on se dirige vers l’individuel. L’auteur propose ici de dégager la dimension sociale des facteurs d’incertitudes. S’appuyant sur Marcel Gauchet, l’analyse du sociologue conduit à penser que

concernant la modernité, c’est un pessimisme fondamental. [Durkheim] : C’est le sociologue qui a distingué la solidarité mécanique (= société traditionnelle) à la solidarité organique (= société moderne). Il voit un danger dans la modernité. [Weber]: Il va percevoir un danger de la raison, de la rationalisation. [Simmel] : Il a le même avis, pourtant il a une vision un peu plus positive, plus optimiste. Donc dans ce cours, on va voir des auteurs que l’on rattache à l’école de Francfort

Michel Peyret 28 août 2010 DE ANDRE GORZ A L'ECOSOCIALISME Ici, il sera question d'écologie politique. Allons immédiatement à un questionnement essentiel: l'écologie est-elle soluble dans le productivisme et le capitalisme? Pour André Gorz, la réponse ne fait aucun doute: l'écologie politique doit être ancrée dans la critique du mode de production capitaliste et de l'aliénation dans le travail, et loin de légitimer l'accroissement du pouvoir des experts, elle doit au contraire viser la

Ni les PME ni les pigeons ne sont des spéculateurs * La plupart des entrepreneurs PME détiennent à peine 5 % des actions de leur entreprise : doivent trouver des actionnaires, recruter personnel, investir (souvent avec leur patrimoine) * Danger car ne sont pas cotés en bourse donc aucun dividende et ne peuvent revendre leur parts> question de la gouvernance * Défense des pigeons qui ont des difficultés à trouver des financements mais ne sont contre rien : pas contre impôt sur la fortune

historiques majeurs la crise de 1929 est la manifestation, et comment cela s'articule avec les autres grands tournants du XX° siècle.        I – Les « folles années 20 » : une prospérité sans précédent   1 – Un nouveau capitalisme aux Etats-Unis Le capitalisme et la révolution industrielle sont nés en Europe. Mais dès le XIX° siècle ils se sont épanouis aux Etats-Unis avec une vigueur sans précédent, dans cet espace immense, très riche, pratiquement vide, peuplé par une dynamique émigration

de chômage dépend uniquement du degré d’éloignement qui, dans un système économique, sépare la situation existante de celle qui prévaudrait en situation de concurrence parfaite. Ses écrits Essais d’économie positive (1953), éd. Litec, 1996. Capitalisme et liberté (1962), éd. Robert Laffont, 1971. Prix et théorie économique (1962), éd. Economica, 1983. A Monetary History of the United States, 1867-1960, avec Anna Schwartz, éd. Princeton University Press, 1963. Inflation et systèmes monétaires

FICHE AUTEUR sur : Max Weber (1864-1920) COURANT DE PENSEE : * Individualisme méthodologique PRINCIPAUX OUVRAGES : * Ethique Protestante et Esprit du Capitalisme (1905) * Economie & Société (1922, Posthume) THEMES & CHAPITRES DU PROGRAMME : * Les grands courants * La rationalisation des activités * Croissance, développement & changement social * Mondialisation : chapitre sur le développement ELEMENTS DE BIOGRAPHIE : Né (à Erfurt) en Prusse,