Dame de cœur

qui le conduisait à Paris, chez notre maître, car nous étions trois enfants, deux garçons et une fille, et j'étais le cadet de tous. Mon aîné, dans un de ces voyages à Paris, s'amouracha de la veuve d'un aubergiste, qui était à son aise, dont le coeur ne lui fut pas cruel, et qui l'épousa avec ses droits, c'est-à-dire avec rien. Dans la suite, les enfants de ce frère ont eu grand besoin que je les reconnusse pour mes neveux; car leur père qui vit encore, qui est actuellement avec moi, et qui avait

« L’hôpital est un endroit super-sympa, avec plein d’adulte de bonne humeur qui parlent fort, avec plein de jouets et de dame rose qui veulent s’amuser avec les enfants, avec des copains toujours disponibles comme Bacon, Einstein ou Pop Corn, bref, l’hôpital c’est le pied si tu es un malade qui fait plaisir.o Moi, je ne fais plus plaisir. Quand le docteur Düsseldorf m’examine, le matin, le cœur n’y est plus, je le déçois. Il me regarde sans rien dire comme si j’avais fait une erreur. Pourtant je me suis appliqué

d’Yvain envers Laudine et la loyauté que celle-ci accorde à son mari décédé. Prenant en compte les mots avec lesquels il ‘adresse : «Ma très chère dame, vos, ma joie et mon âme, mon cœur,mon bonheur, et mon bien». On voit bien ici le champ lexical d’amour. Ou sa réaction lorsqu’il la voit dans la pièce : «Au fond de la salle se trouve un banc, ou la dame va se placer, là ou tous peuvent la voir. Messir Yvain est prêt à s’asseoir à ses pieds», une action faite par le vassal devant son roi. Nous pouvons

nous annonce l'arrivée prochaine de Perdican au château paternel,fils du baron,accompagné de son gouverneur maître Blazius et de sa cousine Camille qui sort du couvent,étant escortée de dame pluche. Musset,ici,choisit de nous présenter Perdican et Camille étant les deux personnages principaux par maître Blazius et Dame Pluche, ce qui pourrait paraître artificiel et forcée. Cependant,cela permet surtout beaucoup de fantaisie et d'humour au début de ce drame. C'est pourquoi on examinera dans un premier

une nouvelle valeur à l’idéal chevaleresque: le service de l’amour, qui met les préoccupations amoureuses au centre de la vie. Le chevalier courtois ne combat plus pour Dieu, la France ou son seigneur (comme dans les chansons de geste), mais pour sa dame, à qui il doit le “service d’amour”. Les romans courtois sont écrits pour un public de cour; ils content des aventures amoureuses assorties d’exploits héroïques et enrichies de fines analyses de sentiments. Apparaissent alors les premiers romans “bretons”

retrouvailles encore plus fortes car ils ne se sont pas vus depuis très longtemps -> 3 ans = temps de la potion d’amour de Tristan et Iseut donc chiffre phare dans les histoires d’amour Le duc de Guise explique alors au duc d’Anjou qui est cette jolie dame et de suite il est pris de honte d’avoir réagi comme ça devant lui, d’avoir crié haut et fort qu’il voulait être son amant. Cependant, la beauté de Mme le fait revenir aux temps où il était fou d’elle et il décide « d’achever » leur relation. Ici,

la « dame », qui devient l'objet d'une adoration quasi mystique par les chevaliers. Les amants se choisissent en fonction de leurs qualités physiques et morales, mais la dame, généralement mariée, reste inaccessible. Le chevalier recherche la perfection comme nous allons le voir dans les deux différentes œuvres développées plus tard, et se soumet aux épreuves imposées par la dame. Les amants sont condamnés à une tension perpétuelle entre le désir et l'interdit. La poésie chante surtout la dame aimée

célèbre expression de l’intéressé : « Ego Hugo ». Catholique et monarchiste à l’origine, Victor Hugo se tourne progressivement vers une pensée sociale qui se retrouve dans chacune de ses œuvres, où il met en avant des problèmes d’actualité : Notre-Dame de Paris pose ainsi la question de savoir si le peuple a le droit à la parole devant un roi tout-puissant et une justice bâtarde, mais l’on peut également citer Les Misérables et Le Dernier Jour d’un Condamné, terribles témoignages de l’injustice sociale

besoin, du moment qu'il arrive, de nous en dire si long. Puissions-nous retrouver l'enfant dans le cœur de l'homme MAITRE BLAZIUS Ma foi, l'écuelle est vide , je ne croyais pas avoir tout bu. Adieu , j'ai préparé, en trottant sur la route, deux ou trois phrases sans prétention qui plairont à monseigneur , je vais tirer la cloche. Il sort. LE CHŒUR Durement cahotée sur son âne essoufflé, dame Pluche gravit la colline ; son écuyer transi gourdine à tour de bras le pauvre animal, qui hoche

extrêmement respecté, son nom : Sir Henry Gauvin. Ce dernier était inconditionnellement amoureux d’une femme qu’il connaissait depuis de nombreuses années. Il avait, d’ailleurs, demandé la main à sa douce aimée quelques semaines auparavant. Le mariage de la Dame Lucy de Nottingham et lui-même était prévu dans un peu moins d’un mois. 68 Le jour de l’union arrivé, les servantes entamèrent les préparatifs pour la cérémonie. La réception se passa à l’extérieur des remparts de la ville de Camelot, non loin