D Où Vient La Force De La Loi

Doit-on obéir aux lois? Le mot «loi» est un terme pouvant avoir diverses significations. Il existe les lois juridiques qui différent des lois de la physique comme la loi de la gravité, dans notre problématique le mot «doit» implique la notion de devoir, or il apparaît stupide de faire coïncider une loi physique à laquelle on ne peut se soustraire avec un quelconque devoir. Nul n'est censé ignorer la loi, lit-on dans le Code. Ce qui signifie que tout individu se doit de connaître et de respecter

état de se conduire. Toute autre autorité vient d'une autre origine que la nature. Qu'on examine bien et on la fera toujours remonter à l'une de ces deux sources : ou la force et la violence de celui qui s'en est emparé ; ou le consentement de ceux qui s'y sont soumis par un contrat fait ou supposé entre 10 eux et celui à qui ils ont déféré1 l'autorité. La puissance qui s'acquiert par la violence n'est qu'une usurpation et ne dure qu'autant que la force de celui qui commande l'emporte sur celle

supérieurs à la loi). Qu’est-ce que le devoir ? I. Des devoirs à l’Idée du devoirHypothèse H1 : Le devoir est-il ce qui doit être fait ? Est-ce l’obligation ? Non car si devoir = obligation, alors cela signifie que respecter le devoir c’est renoncer à sa liberté. Or on peut être libre de faire son devoir. H2 : Le devoir est-il ce qu’il est nécessaire de faire ? Est-ce la nécessité ? Si devoir = nécessité, alors il apparaît comme un instinct ou une force extérieure irrésistible

société capitalisme, les rapports sociaux sont entre travailleurs et capitalistes. Ces rapports s’inscrivent dans le cadre du salariat. Il y a un marché du travail où le travailleur vient louer sa force de travail au capitaliste. Il est dominé car il ne possède que cette force. Le capitaliste peut acheter et offrir de la force de travail. Ces rapports de production sont fondés sur l’exploitation. Le capitalisme achète une marchandise qui créé de plus en plus de valeur (hausse de la productivité). Cela

état de se conduire. Toute autre autorité vient d’une autre origine que de la nature. Qu’on examine bien, et on la fera toujours remonter à l’une de ces deux sources : ou la force et la violence de celui qui s’en est em¬paré, ou le consentement de ceux qui s’y sont soumis par un contrat fait ou supposé entre eux et celui à qui ils ont déféré l’autorité. La puissance qui s’acquiert par la violence n’est qu’une usurpation, et ne dure qu’autant que la force de celui qui commande l’emporte sur celle

moderne n’est plus fondée sur l’orde des choses mais sur l’Homme et la Raison humaine. Chaques Homme a des Droits naturels qui sont intengibles et que l’Etat lui même doit réspecter. Dans cette philo. l’Hommes est libre et les hommes sont égaux devant la loi. L’ordre inégalitaire et autoritaire est renversé à la revolution, et ner alors un ordre nvx qui s’inspire des théorie du contrat social. “L’homme est un loup pour l’homme” Hoppes et délègue l’exercice de la violence à l’état . De là nait le principe

étrangères à la prise de l’acte, qui ne sont que des tiers par rapport à la rédaction de l’acte. C’est l’auteur qui vient modifier l’ordonnancement juridique par rapport à des gens qui sont tiers à la prise de l’acte. Ce qui caractérise un acte unilatéral est son caractère autoritaire et sa relation entre auteur de l’acte et les gens à qui il se destine. L’acte va s’imposer de par sa seule force juridique. Il faut bien prendre garde à la différenciation de cet acte unilatéral avec des actes qui peuvent

l'empire. De ce fait, on aurait pu penser qu'ils auraient voulu l'application de ce droit romain classique. Or l’application des coutumes persiste jusqu'à avoir une réelle influence sur la législation impériale, applicable à une pop donnée. Ensuite vient le développement d'un autre droit coutumier à travers le droit vulgaire qui n'est ni plus ni moins qu'un droit romain simplifié qui va porter beaucoup d'attention aux réalités pratiques de chaque province. D'un côté, les coutumes qui influencent la

Séance 7 le droit textuel Il s’oppose au droit non-textuel : la coutume La loi au sens large et les autres sources (jurisprudence et coutume) Recoupe le droit délibéré (volontairement édicté), on inclut le droit textuel et la jurisprudence. Ou l’oppose au droit spontané (coutumes et usages) Droit textuel : distinction entre le droit écrit et le droit non écrit (coutume et jurisprudence) Elle existait déjà dans le digeste Sur le droit textuel on doit a Kelsen d’avoir décrit le

cultures (influence droit anglo-saxon) et selon l'histoire (évolution) A l'Antiquité « le droit est l'art du bon et du juste » (Celsé, 76-138), et « le droit est la volonté perpétuelle de rendre à chacun le sien » (Ulpien 170-223). Étymologie : droit vient de jus (juridiction) et de directum (droit comme un bâton). Donc le droit donne une direction à la société et à nous même, il permet la vie en société possible, garantie la vie entre les gouverneurs et les gouvernés. Ex = Mythe de Robinson : tant qu'il