D Ou Vient La Croyance En L Immortalité

La culture Le travail, la technique, l’art, la religion Introduction La culture vient du latin « colere » : l’activité à l’œuvre dans l’agriculture, faire pousser, élever etc … C’est une activité où l’homme ne se contente plus de ce que la nature lui donne, il produit par lui-même. Cela revient à transformer la nature pour la rendre humainement habitable. C’est donc un processus d’humanisation de la nature extérieure, mais aussi intérieure. L’être est donc doté d’un héritage biologique mais

ce qu'il est possible cependant de définir la religion en tant que telle ? Pouvons nous caractériser la nature de la religion ? Ne peut-on pas dire notamment qu'elles ont toutes un point commun dans la mesure où elles reposent sur un sentiment (la croyance ou parfois la foi) et non pas sur la raison ? Mais, si tel est le cas, n'y a t'il pas cependant un moyen de concilier ou du moins de faire dialoguer la foi et la raison ? I. Nature de la religion A. La religion comme administration du sacré

vue quand tu agis, en connaissant clairement qu'elles sont les principes de base du bien vivre. D'abord, tenant le dieu pour un vivant immortel et bienheureux, selon la notion du dieu communément pressentie, ne lui attribue rien d'étranger à son immortalité ni rien d'incompatible avec sa béatitude. Crédite-le, en revanche, de tout ce qui est susceptible de lui conserver, avec l'immortalité, cette béatitude. Car les dieux existent : évidente est la connaissance que nous avons d'eux. Mais tels que la

en connaissant clairement qu'elles sont les principes de base du bien vivre. Les dieux D'abord, tenant le dieu pour un vivant immortel et bienheureux, selon la notion du dieu communément pressentie, ne lui attribue rien d'étranger à son immortalité ni rien d'incompatible avec sa béatitude. Crédite-le, en revanche, de tout ce qui est susceptible de lui conserver, avec l'immortalité, cette béatitude. Car les dieux existent : évidente est la connaissance que nous avons d'eux. Mais tels que la

(latine) parut en 1641, sous le titre de Meditationes de Prima Philosophia, in quibus Dei existentia et animae humanae immortalitas demonstrantur (Méditations sur la philosophie première, dans lesquelles sont démontrées l''existence de Dieu et l''immortalité de l''âme). Une version française, rédigée par Louis Charles d''Albert de Luynes sous la supervision de Descartes parut en 1647. Cette œuvre, rédigée à la première personne, décrit un parcours de réflexion que le lecteur est invité à suivre à son

dévoiler et à connaître (en étudiant les sciences particulières, la physique, l'astronomie, la biologie...). Il faut savoir contempler comme il convient. Aujourd'hui : Cosmos = cosmétique = la science de la beauté des corps. [oui, le mot cosmétique vient de là, mais il y a encore aujourd'hui une cosmologie au sens de connaissance du cosmos, de l'univers] La structure de l'univers est donc parfaite mais aussi rationnelle (logos = logique). Dieu n'aurait pas pu créer tout ça, mais les êtres humains

Monstres réels : -naturels : anormalité physique ou psychologique -artificiels : volontaire ou involontaire Monstres imaginaires : -Identifié comme tels : humains, mixtes, non humain -non identifiés comme tels : monstres hallucinés, monstres de croyances Remarque : Les peuples étranges dont parlent Hérodote et Pline (Grec et Romain) →description de peuples étranges et de monstres auxquels il croit et qui sont complètement délirant. Hérodote : chauves aux mentons proéminents. Opposé aux nains

les affaiblit. Il faut que l home soit eclairé par la raison , elle étouffle la discorde, affermi la vertu. Autrefois bcp de jurisprudence sur la srcrellerie ou des supertstitions pr vaincre les inasions de suaterelles exisataient , ces bulles de croyances ont é »té necassaires pur voluer dans une optique axé sur la raison . CHAPITRE 6 : SI L INTOLERANCE EST DE DROIT NATUREL ET DE DROIT HUMAIN Opposition entre le droit naturel ( droit à la vie, au respect de ses enfant en echange de l education

tenir afin de poursuivre une vie bienheureuse. Se défaire des idées fausses sur les dieux. [D’abord, tenant le dieu pour un vivant immortel et bienheureux, selon la notion du dieu communément pressentie, ne lui attribue rien d’étranger à son immortalité ni rien d’incompatible avec sa béatitude. Crédite-le, en revanche, de tout ce qui est susceptible de lui conserver, avec l’immortalité, cette béatitude. Car les dieux existent : évidente est la connaissance que nous avons d’eux. Mais tels que la

critères de vérité, comment savoir ce que nous prenons pour vrai, est vraiment vrai. Par ailleurs, la science elle-même est-elle capable de tout démontrer ? Ne repose-t-elle pas elle aussi sur des principes indémontrables? Quel statut accorder à nos croyances? Nous avons tous des valeurs esthétique/ morale/ politique que nous tenons davantage qu'à la vérité scientifique. Quelle valeur faut-il accorder à notre valeur? Dans quelles conditions nos certitudes peuvent-elles être considérées pour vrai? Mais