Cythère

de polychromie à l’intérieur du château. II) XVIIIème siècle : le siècle des lumières Philosophes (Diderot, Voltaire, Rousseau …) : accent sur l’éducation du peuple (encyclopédies) Peinture : Antoine Watteau : Pèlerinage à l’ile de Cythère (1717) : pour entrer dans l’académie royale il fallait présenter une œuvre appelée « morceau de réception ». Il n’y a que des couples dans différentes postures. Evocation de vénus avec les angelots (à voir : genre Vanité) François Boucher : Vénus

auprès de Jeanne DUVAL. • L’amour spiritualisé, qui est une quête ardente et nostalgique d’une liaison sentimentale ; cet amour, Baudelaire l’a trouvé auprès de Mme SABATIER. Les poèmes illustrant ce thème sont : « Parfum exotique », « Un voyage à Cythère », « L’invitation au voyage », « Le voyage », « L’aube spirituelle », « Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire », « Harmonie du soir ». La mort : elle est la dernière espérance de ceux qui ne peuvent s’accommoder à la médiocrité terrestre. Dans

Goya  ou  Hogarth,  exhibent,  plus  qu’elles  ne  cachent,  leurs  regards  avisés,  leur  vitalité  et  leur  génie.  Mais  la toile qui  incarne sans doute le mieux les possibili‐ tés  de  ce e  arme  féminine  est  Le  pèlerinage  à  l’île  de  Cythère de Wa eau (1717). En effet, toute l’énergie du ta‐ bleau est comme un bing bang qui explose à par r du pre‐ mier couple : elle, la femme amoureuse, porte un éventail  à  demidéployé,  qui  annonce  la  déclinaison  à  l’infini  des  postures  éro

en effet une place particulière dans l’économie du récit : c’est la seule, en effet, dont l’emplacement est certain et toujours identifiable à notre époque. Il l’a presque atteinte à deux reprises, en revenant du pays des Lotophages (il aperçoit Cythère), puis après le passage dans l’île d’Éole. Elle est aussi méditerranéenne : «J’habite dans la claire Ithaque ; une montagne la domine, le Nérite aux bois tremblants ; des îles en nombre tout autour se pressent, qui ont nom Doulichon, Samé, Zante la

humaine. Elle se traduit, en art ou en littérature, par une esthétique du regret, une tendance à idéaliser le passé, à soupirer après un mythique âge d'or. On songe aux Bucoliques, de Virgile, au Paradis perdu, de Milton, au Pèlerinage à l'île de Cythère, de Watteau… À la Renaissance, elle se nourrit de la redécouverte de la civilisation gréco-latine, au XIX e  siècle de celle du Moyen Âge, exalté par le romantisme. Les grands bouleversements politiques, économiques et sociaux favorisent naturellement

harmonie tant avec la nature qu'avec ses semblables. Pourtant est-il bien sûr que l'état de nature soit aussi bénéfique pour l'homme ? Ne sommes-nous pas ici victimes, après tant d'autres, comme Bougainville, qui voyait dans la Polynésie la "Nouvelle Cythère", du mythe du bon sauvage ? Hobbes, quant à lui, affirme dans ce texte extrait du Léviathan (1651) que l'état de nature est un état de guerre perpétuelle, et que seule l'autorité politique établie à l'état social permet aux hommes de vivre ensemble

que ça reste évidemment on va dire très prêt pour toi mais il est déjà dans une situation où les choses vont aller sans doute dans le train il y a déjà des de couples qui sont là cachés derrière la derrière ces arbres alors l'embarquement pour cythère c'est saisir l'esprit d'une époque donc je je reviens parce que j'ai oublié de dire bon j'en suis désolée je me suis précipitée la saisit l'esprit de cette époque on est on saisit à la fois la la frivolité mais aussi tout ce qui va faire le changement

bienvenues, Plume ! strophe ! envoi glorieux ! Vous avez erré dans les nues, Vous avez plané dans les cieux ! 11 décembre. 87 XX CÉRIGO I Tout homme qui vieillit est ce roc solitaire Et triste, Cérigo, qui fut jadis Cythère, Cythère aux nids charmants, Cythère aux myrtes verts, La conque de Cypris sacrée au sein des mers. La vie auguste, goutte à goutte, heure par heure, S’épand sur ce qui passe et sur ce qui demeure ; Là-bas, la Grèce brille agonisante, et l’œil S’emplit en la voyant

sont pris à ta brillance sans t’avoir éprouvée. Moi, la paroi sacrée atteste clairement, par un tableau votif, que j’ai bien consacré mes vêtements humides au dieu puissant des mers COMMENTAIRE Gare à l’amoureux naïf qui s’embarque confiant pour Cythère, l’île mythique d’Aphrodite ! Horace sait de quoi il parle lorsqu’il s’adresse, dans le cinquième chant du livre I de ses Odes, à la belle Pyrrha tout en se moquant gentiment du nouvel amoureux transi. C’est en position de force que se place d’emblée

parmi Déméter, Aphrodite, Hestia, Dionysos, Hadès et Perséphone. Parmi eux certains ont des animaux pour attributs. Dieu / Symboles, identités / Attributs / Lieux de culte principaux Aphrodite : amour, beauté, désir / Colombe (rose myrthe) / Cythère, Corinthe, Rhodes Aphrodite est la déesse de l'amour, de la beauté et du désir. Elle serait née de la semence d'Ouranos qui se mêla à Gaïa. Mais Homère la dit fille de Zeus et de Dioné. Elle est mariée à Héphaïstos, mais fut l'amante d'autres