Cyrano Métaphore

puisque la nuit retombe tout de suite après son passage. Métaphore « un éclair » (v.9) Symbolise et résume tout ce que l’apparition de cette femme évoque à Baudelaire : - Intensité de sa présence - La fugacité de son apparition - La dangerosité en germe Périphrase hyperbolique « ciel livide où germe l’ouragan » (v.7) Suggère l’idée de dangerosité, apparence double (porteuse de plaisir et porteuse de mort) Métaphore « jambe de statue » (v.5) Assimile cette femme à une œuvre d’art :

plus encore que par son existence dans la diégèse, assez ténue de fait. Ce que je voudrais montrer ici, c'est que cette référence cynégétique, relativement discrète en apparence, a pourtant en profondeur des vertus énergétiques — pour reprendre une métaphore bien gracquienne —, vertus qui tiennent à sa fonction de foyer, de carrefour thématique et imaginaire, au croisement de quelques-uns des grands axes qui ordonnent la fiction. Que nous dit donc cette référence à l'univers de la chasse? Quel éclairage

documentaire (une pause). • verbes de perception (visuelle notamment) et indices spatiaux qui structurent le lieu; verbes d'état et/ou de mouvement. • champs lexicaux en rapport ou non avec le sujet décrit. • densité des figures de style (métaphores, personnifications) qui renseignent sur le degré de subjectivité de la description. REGISTRES La focalisation (qui voit ?) détermine une description objective (effet documentaire) ou subjective (présence implicite ou explicite du narrateur)

populo signa dedit ». - Ovide critique également l'armée romaine à travers ce récit. Troisième partie, pourquoi un tel récit dans un livre didactique sur l'amour et la séduction ? - Cet épisode doit être connu de tout bon romain cultivé. - La métaphore de la chasse, la ruse de Romulus nous donne la conception d'Ovide de la séduction : elle n'est rien d'autre qu'un jeu social dans lequel l'homme et la femme doivent élaborer des stratégies, etc... - La chasse se déroule dans un théâtre : Ovide

discours d’un clan qui s’est donné tous les pouvoirs. 3) L’expression d’un dilemme : -Si je me rends…n’est-ce pas une femme bien abjecte que celle qui obéit… -Si elle refuse, est-il un monstre qui lui soit comparable ? -relevé et analyse des métaphores et des comparaisons dévalorisantes : *faire de son nom le refrain d’une chanson à boire * * 4) les deux réponses d’Octave : * Cousine, cousine, ne vous fâchez pas. * Vous vous méprenez sur mon compte et sur celui de Coelio. ( II-

ne, peu, aucun ne pas, plus, plus, aucun, sans. Vers la fin du passage, il parle de deux îles, une qui est habitée et cultivée, tandis que l’autre est plus petite, déserte et en friche et qui finira par être détruite. Rousseau fait une habile métaphore avec cet exemple entre lui, le solitaire vulnérable et tous les autres hommes et conclut en disant : * C’est ainsi que la substance du faible est toujours employée au profit du puissant. Il termine donc avec une critique sociale, c’est ainsi

», « ils », « l’un », « l’autre ». Vision du poète • Cf. comparaison albatros / poète dans la dernière strophe. • Dans les deux premiers vers : le poète est surhumain et donc extraordinaire. • Dimension épique. Pour conclure À l’aide d’une métaphore, le poète révèle dans la dernière strophe sa vision du poète, il se voit comme un être différent mais surtout inadapté à la vie en société.

Champs lexical des perceptions des sens (=> « correspondances » ! Justification du titre) Vues | L’ouïe | L’odorat | Le toucher | Couleur bleu | Couleur rouge | Couleur vert | Couleur noir | L’odorat est le plus primaire de tous nos sens ! Métaphore (Reconstitution de la réalité) => « La Nature est un Temple … » (V1) : Pour le poète, la nature est un lieu de culte (temple). Baudelaire sacralise donc la nature comme s’il s’agissait d’un édifice religieux où les croyants, ayant la foi, se recueillent

disposées ainsi que des vers ( de 2 à 12 syllabes ), ° une strophe en boucle, le dernier vers est la reprise du 1er. ° l’emploi de la métaphore : les barreaux sont comparés à des bougies (13) qu’elle pourra souffler le moment venu. Les premières pages prolongent les impressions initiales : répétitions, leitmotiv (refrains), progression syncopée, métaphores filées : la blancheur, la dialectique du dedans et du dehors. Choix de phrases nominales, courtes, incisives qui donnent tout leur poids

« emporte » , ainsi que celui de l’ivresse Vers 3 « effrénés » Vers 6 « folle » Vers 9 « bondissant » Vers 10 « délire » Vers 11 « en riant » L’étude rythmique du poème souligne le tempo et les variations binaire et ternaire de la musique. La métaphore au Vers 1 «  Les valses, visions, passent dans les miroirs. » compare les valses à des visions ce qui traduit le tourbillon infernale de la valse car l’homme voit ses nombreux compagnons dans les miroirs. Pour bien comprendre l’effet de tourbillon