Cyrano De Bergerac Métaphore

 des  dialogues  ou  l’introduction  de  la  pantomime.  Mais,  ce   qui   est   le   plus   caractéristique   du   théâtre   de   Marivaux,     c’est   le   jeu   verbal   (multiplication   des   métaphores,  rapidité  des  dialogues  et  des  enchainements,  paroles  à  double  entente,  échos   et  symétries)  auquel  il  a  donné  le  plus  d’importance  et  qu’il  a  rendu  plus  fin  et  plus

cohérence est plus grande qu’il n’y paraît. Des thèmes qui hantent Lorenzo depuis le début du drame traversent le monologue et s’y entrecroisent : le thème des noces (« nouvelle mariée », l. 2 ; « chambre nuptiale », l. 3) lui a souvent offert une métaphore pour évoquer son crime libérateur. Parce que l’amour vrai lui est désormais interdit, ses noces seront de « sang » – encore un thème associé à celui du scepticisme religieux (« sang du Christ ») qui a remplacé la foi et la vertu de l’enfance ; il

Figures de style Exemples La comparaison rapproche deux réalités à l’aide d’un comparatif (ex. : comme, tel, moins… que, plus… que, aussi… que, semblable à, etc. Cette fillette est fière comme son père. Le roseau se courbait tel un arc tendu. La métaphore rapproche deux réalités sans terme comparatif. Cette ville est une mer humaine. Cet homme d’affaires est un vrai requin. La personnification consiste à donner la parole à des animaux, à des objets pour les animer. La lune était sereine et jouait

de l’homme dans la conception de l’absurde par Albert Camus (écrivain français, 1913-1960).  Dès lors, K., un homme forcé par son procès à s’interroger sur lui-même, ne trouvera jamais de  réponses à ses questions. La quête de soi devient ainsi une quête de l’inatteignable, et la métaphore de la loi comme but  tout aussi inaccessible, présente tout au long du Procès (et notamment dans la parabole de

11 rivista di filosofia on-line WWW.METABASIS.IT septembre 2006 an I numéro 2 par les structures que par les interactions, les dynamiques, les métamorphoses et le devenir31. Jean-Jacques Wunenburger envisage la « méthode utopienne » par une métaphore du regard : « L’utopiste est avant tout celui qui attend d’un regard à l’intensité éblouissante le pouvoir d’éclairer l’humanité, ce qui dissoudra, spontanément, à la vitesse de la lumière, toutes les malfaçons et malveillances. L’utopiste convertit

inspirant la compassion envers les victimes du malheur ou de l’injustice. (p.82) Quelques procédés stylistiques à connaître : hyperboles, anaphores, répétitions, accumulations, gradations, parallélismes, antithèses, oxymores, chiasmes, comparaisons, métaphores, personnifications, allégories. (p.82) Antigone est une pièce de Sophocle. Etéocle et Polynice, nés de l’inceste d’Œdipe et de Jocaste, se sont entretués en raison de leur rivalité politique. Leur oncle Créon, roi de Thèbes, refuse la sépulture

personne du singulier ; le vocabulaire des émotions et des sentiments (→ champs lexicaux) ; une ponctuation expressive (points d’exclamation, points d’interrogation) ; la présence d’adverbes d’intensité ; l’emploi de figures de style (comparaisons, métaphores, …) ; etc. Termes liés : l’élégie, le pathétique, le pathos (émouvoir les passions du lecteur). La tragédie La tragédie grecque la tragédie a été inventée par les Grecs (Cf. Eschyle, Sophocle et Euripide). Les héros tragiques étaient alors

amplification d'un énoncé. C'est la principale figure de l'exagération « La liberté, c'est le bonheur, c'est la raison, c'est l'égalité, c'est la justice, […], c'est votre sublime Constitution » — Camille Desmoulins la métaphore filée suite de métaphores sur le même thème. La première métaphore en engendre d'autres, construites à partir du même comparant, et développant un champ lexical dans la suite du texte « Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes » — Arthur Rimbaud la parrhésie

amplification d'un énoncé. C'est la principale figure de l'exagération « La liberté, c'est le bonheur, c'est la raison, c'est l'égalité, c'est la justice, […], c'est votre sublime Constitution » — Camille Desmoulins la métaphore filée suite de métaphores sur le même thème. La première métaphore en engendre d'autres, construites à partir du même comparant, et développant un champ lexical dans la suite du texte « Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes » — Arthur Rimbaud la parrhésie

des termes de force croissante ou décroissante. 11 Ex : Je me meurs, je suis mort, je suis enterré. » (Molière, L'Avare, 1668). « C'est un roc !... C'est un pic !... C'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap !... C'est une péninsule ! » (Cyrano de Bergerac Acte I, sc. 4 , Edmond Rostand (1898)). o Hyperbole L'hyperbole est une exagération. Ex : “Le voici. Vers mon cœur; tout mon sang se retire”. (Racine, Phèdre) Ex : Ce colis pèse une tonne ! ; Etre mort de rire ; J'ai mille choses