Cyrano De Bergerac Compte Rendu

décalage entre les valeurs périmées qu'il défend et la réalité de l'Espagne est porteur de comique. Le Roman comique(1651-1657 de Scarron et Le roman bourgeois (1666) de Furetière appartiennent à la même veine réaliste et satirique. Cyrano de Bergerac propose une autre forme de roman comique avec L’Autre Monde ou les États et Empires de la Lune et du Soleil(1657), voyage fantaisiste dans la lune et le soleil. Ces romans baroques transcrivent le réel, mais sur le mode comique. C-Le roman

religieuses, manifestent leur indépendance de la pensée et tendent à donner à l’existence humaine un sens uniquement terrestre. Il assure la transition entre l’humanisme de la Renaissance et la philosophie du siècle suivant, celui des Lumières. Cyrano de Bergerac est le représentant le plus éminent de la pensée libertine. Dom Juan, héro tiré de l’œuvre de Molière, est emblématique de cette attitude. LIBERTIN Le mot « libertin » vient du latin libertinus, signifiant « affranchi, libéré ». Ce terme

établissements de la base des données www.cannes.fr -création d’un manuel pour la saisi de ces mêmes hébergements, restaurants et plages - service édition -création de bons de commandes pour le Cannes Shopping Festival – service édition -rédaction de compte-rendu de la réunion « préparation du Plan d’Action Commercial 2006 » avec les résidences sur Cannes. -recherche des données et mise à jour du récapitulatif de salles d’exposition et salles de conférence du Palais des Festivals en forme de tableau pour

moindre partie, tant s'en faut de la commander ? Et ce privilège qu'il s'attribue d'être le seul dans ce grand édifice qui ait la capacité d'en reconnaître la beauté et les parties, le seul qui puisse rendre grâces de cela à l'architecte3 et tenir le compte de ce qui se crée et de ce qui se perd dans le monde, ce privilège, qui le lui a scellé4 ? Qu'il nous montre des lettres patentes5 qui lui confient cette belle et grande charge. Ont-elles été octroyées en faveur des sages seulement ? Elles concernent

et celle de barbarie qui lui est corollaire2. Sa réflexion, nous le verrons, inaugure une position toute nouvelle, celle du relativisme. Et c’est cette conception nouvelle – voire révolutionnaire du point de vue de la pensée – que le libertin Cyrano de Bergerac prolonge, au XVIIe siècle, à travers l’ouvrage fantaisiste intitulé L’autre monde ou les états et empires de la lune : la rencontre du narrateur, voyageur intrépide, et des Sélénites, habitants de la lune, est l’occasion d’un récit où le divertissement

celle de barbarie qui lui est corollaire2. Sa réflexion, nous le verrons, inaugure une position toute nouvelle, celle du relativisme. Et c’est cette conception nouvelle – voire révolutionnaire du point de vue de la pensée – que le libertin Cyrano de Bergerac prolonge, au XVIIe siècle, à travers l’ouvrage fantaisiste intitulé L’autre monde ou les états et empires de la lune : la rencontre du narrateur, voyageur intrépide, et des Sélénites, habitants de la lune, est l’occasion d’un récit où le

Chaque personnage peut avoir sa façon de parler , avec des tics de langages, des accents. Ils peuvent insister sur les exagérations, les répétitions de mots. Par exemple, les « latineries » de Diafoirus jeune dans Le Malade imaginaire peuvent être rendues très comiques, de même pour les discours en patois de Pierrot dans Dom Juan de Molière. De cette façon, les paroles sont un élément fondamental du comique. Mais on retrouve cet aspect des choses dans le genre de la tragédie également. Effectivement

traditionnel de l’amour se décline en une série de sous-thèmes qui traduisent sa complexité. En effet, si l’amour peut se vivre dans la douceur, le bonheur et la tranquillité, ce sentiment entraîne le plus souvent une succession de tensions dont rend compte l’expression lyrique. Aux premiers émois de la rencontre amoureuse succèdent très vite la peur de perdre l’être aimé, la crainte de ne pas le satisfaire ; aux joies de l’échange comblé peut s’opposer la frustration de la séparation, du manque ou,

tenter de convaincre autrui en lui offrant des raisons valables d'adhérer à l'opinion qu'on expose. Un auteur souhaitant argumenter son opinion, ou dans certain cas sa critique, doit donc pouvoir s’adapter au public à qui il s’adresse et en tenir compte a tout moment car l’argumentation repose avant tout sur un débat et la divergence de plusieurs points de vue. Au cours d’un débat les différents partis exposent leurs points de vue, et accompagnent donc ceux-ci d’arguments cherchant à convaincre l’auditoire :

de théâtre, les comptes rendus et les photographies abondent, les analyses critiques de mises en scène foisonnent … On en oublierait presque le public. Or, qu’est-ce qu’une pièce de théâtre sans spectateur ? Sans lui, elle n’aurait plus de sens, rappelant ainsi les propos de Maurice Descotes dans Histoire de la critique dramatique en France : « Tous ceux, et d’abord les dramaturges, qui ont eu un contact direct avec la scène, ont proclamé […] l’absolue nécessité de tenir compte de ce partenaire