Culture serbe

Berlin le monde s’est substitué par un ordre multipolaire sur les civilisations. Les distinctions essentielles entre les individus ne sont pas de nature idéologique, politique ou économique mais culturelle. Selon, Hutington se sont les identités et la culture engendrent Les conflits et les alliances entre les Etats, l’exemple des deux Allemagnes, leurs civilisations se séparent, le cas de l’ex-Union soviétique. Une collaboration économique et politique dont les peuples sont attachés par des affinités

différents moyens leurs propres, une certaine cohésion sociale et culturelle. Ce maintient se fait en rapport avec les diverses communautés, mais surtout avec la terre d’origine. L’attachement à la perpétuation des traditions, des modes de vie et de la culture sociale est dans la plupart des cas dû à l’existence d’une religion ainsi qu’à des lieux saints dans le pays d’origine historique. Au XX siècle le phénomène de « diaspora » s’est généralisé. Son sens devient plus étroit et plus large à la fois.

inconsciente » Ethnique ou culturelle Communauté d'ancêtres Nation culturelle la nation organise l'état et s'incarne dans lui Signes distinctifs Avenir Volonté de vivre ensemble Héritage du passé Valeurs communes (devises), Sang, langues, mœurs, culture, marques communes (drapeau, religion hymne) Conception objective Conception subjective On ne naît pas français, on le devient On naît allemand, on ne le devient Droit du sol (jus soli) pas Universalisme, potentiellement Droit du sang (jus sanguini)

Interculturalité Quand commence t-on à parler de culture et de différence culturelle ? Histoire sociologique sémantique, politique. Les sociétés autre que la notre sont exclu de l'analyse. La société à laquelle on appartenait était assimiler à civilisation. Le cas des Grec anciens, tout ceux qui n'étaient pas citoyen Grec = barbare. Cette civilisation était souvent justifier par histoire héroïque ou divine; être comme une seconde nature. On retrouve le même effet en Chine ou en Afrique

d’un mot dans une seule définition? Les auteurs rejettent deux types de définition : la définition descriptive et la définition durkheimienne. La première consiste à définir la nation à l’aide de critères objectifs tels que la langue, l’ethnie, la culture commune… Cependant ces termes sont eux-mêmes ambigus et nécessitent un travail de définition. Ainsi, la définition descriptive porte-t-elle en son sein un risque de circularité. La définition durkheimienne est elle, tautologique et circulaire, car

Latins, partagés entre Roumains et Italiens. * Pluralisme historique. D'un côté, on retrouve des peuples revendiquant une continuité étatique, c'est-à-dire qu'à des époques antérieures ces peuples étaient dotés d'un Etat. Ils sont dépositaires d'une culture nationale formée au cours des siècles. On parle de « nations historiques ». De l'autre côté, on a des peuples qui, jusqu'au XIXe siècle, n'ont pas participé à l'Histoire comme entités nationales constituées et qui ne peuvent se rattacher à quelconque

la première Révolution industrielle. Le 20ème siècle est accompagné par une mutation importante de cette situation vers celle que nous connaissons actuellement (l'éclatement des valeurs familiales et morales & une relative uniformisation de la culture et de l'économie). Une autre rupture concerne le déplacement du centre géopolitique du monde. Si le 19ème siècle avait sans contestation était celui de l'Europe, le 20ème siècle voit le déplacement du pouvoir vers les Etats Unis ainsi que l'émergence

plusieurs dictionnaires et à tenter de dégager les composantes de la nation. A lire les quelques définitions proposées par les dictionnaires usuels, on pourrait dire de la nation qu’elle désigne une population qu’unissent une histoire et une culture communes, ayant une même origine, une même «naissance». Pourvue d’une majuscule, la Nation est l’abstraction politique de la nation définie précédemment. Mais cette définition demeure très vague et de la volonté de hiérarchiser ces composantes, de

concepts sont dans une perpétuelle relation dialectique, comme l’a montré Fichte avec sa notion de « matériaux primitifs » et d’« État primitif ». Toutefois, ces critères ne sont pas suffisants. 1. La culture est nécessaire, mais non suffisante La nation suppose la culture et implique l'État. La culture forme le soubassement spirituel de la nation. Elle est aux nations ce que les gènes sont aux individus. Mais ces nations, pour véritablement parvenir à l’âge adulte, ont besoin de naître à la vie et

équilibre ou suivent le mouvement et les Etats dépendants voient leurs intérêts dictés par leurs « patrons » ou par des puissances dominantes (6). Par suite, sont exclus d’autres aspects, tels que l’influence des débats sur la politique intérieure et la culture politique ou encore le poids des perceptions différentes sousjacentes. En revanche, les chercheurs constructivistes ne manquent pas d’étudier les différents aspects de la politique internationale, si bien que certains en sont même venus à reprocher