Cuirassé

populaires, la production cinématographique en Russie a eu dès 1917 un rôle culturel important : immédiatement après la révolution de 1917, le cinéma soviétique a exploré les possibilités et les limites du montage avec par exemple des films comme Le Cuirassé Potemkine. Il est évident que le régime utilisait aussi cet art pour former les masses, mais il tenta cependant de le faire avec des formes nouvelles et une grande créativité. Des réalisateurs soviétiques comme Sergueï Eisenstein et Andrei Tarkovski

retrouvons des couleurs plutôt sombre comme l'ocre, le gris, le noir, le roux : cet atmosphère rougeoyante crée un décor inquiétant, une tempête se prépare. Lumière: Elle vient de gauche, de l'apparition, elle fait ressortir les armes et la cuirasse de César, cela nous montre que César est bien là avec son armée et ne doit pas passer. Ligne de force: Il y a des lignes verticales et diagonales. Toutes ces lignes se croisent au point central de la composition : Jules César. La ligne verticale

répond au drapeau en écho - tenue rappelant les paysans venu travailler temporairement sur Paris [6] les soldats au sol - à gauche corps dépouillé, nudité, rappel mythologique (Hector) ? - à droite soldat suisse (garde royale) sur le dos, cuirasser allongé de face : forces de Charles X [7] Paris - localise l'action - reconnaissable aux tours de Notre Dame - on y aperçoit des combats - drapeau bleu blanc rouge visible en haut des tours (image qui aurait marqué Delacroix pour la réalisation

abandonnée par l'Union que les confédérés recouvrirent de feuilles de blindage métallique pour le convertir en un cuirassé capable de détruire la marine nordiste. Le 8 mars 1862, le Merrimack (rebaptisé le Virginie) quitta le port de Norfolk (Virginie) pour atteindre Hampton Roads où il coula facilement deux vaisseaux nordistes. Ce fut une brillante démonstration de la supériorité des cuirassés sur les bateaux de bois devenus obsolètes. Toutefois, lorsque le Merrimack réapparut le lendemain, il rencontra

représentation du dieu suprême Baalshamin ou si vous préférer le dieu Baal, encadré à sa droite du dieu-lune Aglibol, et à sa gauche du dieu-soleil Yarhibol. Les trois dieux sont vêtus de manière similaire à la mode des centurions romains tunique, cuirasse ceinturée à lamelles et lambrequins, manteau retenu par une attache, mais seul le dieu principal porte un pantalon à la mode parthe. Cette harmonie vestimentaire est renforcée par la répétition de leur attitude: la main droite, constituée d’un morceau

politico-social d'un artiste. De même le réalisateur Sergueï Eisenstein, qui est loyal envers les idéaux du communisme prônés par Joseph Staline, réalise de 1925 à 1958 des films de propagande pour l'URSS, montrant les bienfaits du régime communiste dans Le Cuirassé Potemkine (1925), Octobre (1928), Alexandre Nevski (1938) et Ivan le terrible (1944). Leni Riefenstahl est chargée par Hitler de tourner en 1936, lors de Jeux olympiques d'été de Berlin, le film Olympia pour la propagande nazie de Goebbels, il s'agit

cri de douleur. e. Essaye de se relever, devient un poids pour Egisthe. 2. La mort pathétique d'Egisthe a. Le poids de la fatalité qui l'empêche de se défendre( : poids de Chlytemnestre et de ses lourds colliers et pendentifs, l'oiseau, sa cuirasse qui s'ouvre...) Tout s'acharne contre lui ---> pitié. b. Egisthe présenté comme "pur", "loyal", "innocent" ----> injustice de son meurtre ---> pitié chez le spectacteur (antithèse avec "criminel") c. Champ lexicale et vocabulaire de la lutte =>

l’huître, lorsqu’elle prononça ces mots attendrissants: « Ô nature! que l'herbe, qui est comme moi ton ouvrage, est heureuse! Quand on l'a coupée, elle renaît, elle est immortelle; et nous, pauvres huîtres, en vain sommes-nous défendues par une double cuirasse; des scélérats nous mangent par douzaines à leur déjeuner, et c'en est fait pour jamais. Quelle épouvantable destinée que celle d'une huître, et que les hommes sont barbares! ». Pythagore tressaillit; il sentit l'énormité du crime qu'il allait commettre:

retrouver lorsque Flaubert raconte l’arrivée des invités aux noces de Charles et d’Emma, il s’étend sur la description de certains personnages qu’il tourne au ridicule au recours du sarcasme : « Et les chemises sur les poitrines bombaient comme des cuirasses ! » par exemple. Ici, l’écrivain ne se prive pas de commentaires qui trahissent son mépris à l’égard de la bourgeoisie provinciale. Il en va de même lorsque, « disposée à n’importe quelle dévotion », Emma se rend à l’Eglise. Malgré ses efforts,

morts ! grand défonceur de portes ouvertes ! ô hommes sans bras ! Non ! non ! je n'emporterai pas la lumière. J'irai droit au coeur ; il se verra tuer... Sang du Christ ! on se mettra demain aux fenêtres. Pourvu qu'il n'ait pas imaginé quelque cuirasse nouvelle, quelque cotte de mailles ! Maudite invention ! Lutter avec Dieu et le diable, ce n'est rien ; mais lutter avec des bouts de ferraille croisés les uns sur les autres par la main sale d'un armurier ! Je passerai le second pour entrer ;