Croisée du transept

classiques, recherche la variété, l'originalité, l'effet théâtral, l'impression. En ce qui concerne les nouvelles églises, on remarque qu’elles sont construites sur un plan central, elliptique ou de croix latine, avec des chapelles, et une croisée (de transept) couverte d'une coupole, ainsi que des tours de niveaux divers. [pic] Sur cette photo de l’Eglise Saint Gervais de Paris, dont l’édification de la façade a débuté en 1612, nous voyons bien le recours important

l'architecture gothique avec la magnificence de l'architecture grecque." Du gothique, l'architecte exploite le système des voûtes, et surtout la légèreté de la structure comme en témoigne sa volonté d'allègement maximum des piles triangulaires de la croisée du transept. Il choisit d'inonder l'édifice de lumière en perçant quarante-deux fenêtres. De plus toutes les maçonneries sont renforcées par l'utilisation systématique d'armatures métalliques inserrées dans la construction en pierre (PS: Une technique héritée

roman. L'un des arguments serait le fait que bien des églises romanes de Provence et de Bourgogne, comme la fameuse basilique de Cluny possédaient déjà des voûtes brisées (voir fig. 3) ¬et des arcades aiguës. De plus, l'invention et l'emploi de la croisée d'ogives qui caractérise l'architecture gothique (fig. 4) et qui allait permettre aux "maîtres d'œuvre" toutes les hardiesses de la verticalité et par conséquence l'inondation du vaisseau par la lumière, n'entraînèrent aucune innovation dans le plan

L’ART ENTRE LA FIN DE L'ANTIQUITÉ ET L'ÈRE CAROLINGIENNEIntroductionLa période étudiée se situe entre la fin de l’Empire romain d’occident (476) et l’avènement de Charlemagne (800). On dit souvent que cette période est considérée comme "âge obscur”, une période de décadence. Mais en réalité c’est une période importante marquée par sa continuité et la nouveauté de la diffusion du christianisme avec la construction d’églises. Également, l'importance des contacts avec les populations romaines et

des Échecs). Cela s'explique par sa (...) Couvent des Ursulines. Salamanque[->17] Art et culture|Monuments Elle fut fondée au XVIe siècle par l'archevêque Alonso de Fonseca. L'église est de style gothique avec une nef recouverte de voûtes de croisée d'ogives étoilée, avec une abside polygonale. Le temple abrite d'importants exemples d'art sacré, (...) Tour de l’Escargot. Benavente[->18] Art et culture|Monuments C'est aujourd'hui un parador de tourisme.. C'est le seul reste conservé de l'élégant

réglée à la suite d'une entente qui permettait l'imposition sur les revenus. Il est aussi intéressant de savoir que le mécène de la chapelle, essayait de mettre de l'avant les intérêts maritimes de Florence Situation : Chapelle Brancacci dans le transept est de l'église Santa Maria del Carmine à Florence Italie. La chapelle Brancacci : En janvier 1771, un violent incendie dévasta l'église Santa Maria del Carmine, épargnant miraculeusement la sacristie et surtout la chapelle Brancacci. En 1424

voûte d’ogive, les voûtements de l’abside, du déambulatoire et des chapelles rayonnantes ne diffèrent pas de ceux de la nef et du transept. Telle une organisation de Somme, l’unité de l’édifice peut être divisée en petites identités. Chaque élément de la cathédrale rentre en relation les uns avec les autres. Le schéma type de la cathédrale apparait ainsi : nef – transept – chevet, à l’intérieur de la nef se trouve les collatéraux et la nef centrale, le chevet se divise lui en abside, déambulatoire

l’art chrétien primitif, avec une nef et une croisée du transept surmontée d’un clocher. La période gothique À partir de 1140 s’ouvre la période dite gothique. Suger (v. 1081-1151), abbé de Saint-Denis, pose les principes de cette nouvelle architecture. Selon lui, Dieu, lumière créatrice, doit être loué par un édifice également pétri de lumière. Les murs s’évident alors pour s’ouvrir sur d’immenses verrières, les voûtes s’allègent (voûtes sur croisées d’ogives). Les principales cathédrales sont

de la statuaire se généralisèrent. Des traits communs se dégagent. Les constructeurs adoptèrent généralement le plan basilical (grande salle rectangulaire), le culte des reliques et la multiplication des clercs rendirent ces ajouts nécessaires. Un transept (corps transversal, qui sépare le chœur de la nef et forme les bras de la croix), parfois double comme à Cluny III, souligna la plan en forme de croix latine, tandis que la nef (partie qui s’étend du Chœur à la façade principale), simple ou triple

de Rome. Il termine la maquette de la coupole en 1418 et remporte le concours dont avait fait l’objet l’élaboration de l’édifice. Il est engagé en 1420. Depuis le milieu du XIVe siècle on n’avait pas trouvé comment couvrir l’octogone de la croisée du transept. Le problème était que l’on ne pouvait pas utiliser des cintres en bois pour un tel espace. Il fallait trouver un autre mode de construction. Il y avait également des problèmes de compressions avec la poussée latérale. Pour résoudre le problème