Critique De La Théorie Keynésienne

toute la production. Le chômage contribue à accélérer la décomposition du système qui évolue vers sa disparition. * La nécessité de l’appropriation collective des moyens de production 4-LE COURANT KEYNESIEN 4.1- LE CONTEXTE HISTORIQUE ET ECONOMIQUE DE L’ANALYSE KEYNESIEN La pensée keynésienne se déploie dans une économie caractérisée par une crise sans précédent (la crise de 1929) : chute de la production, chômage galopant. Cette crise, contrairement aux précédentes (crises cycliques) ne semblait

contre-révolution  keynésienne, il a vu ses idées triompher  dans les années soixante-dix. Il a obtenu le Nobel en 1976. C'est aussi un personnage controversé; il a soutenu et conseillé le dictateur A. Pinochet au Chili, et a été proche des milieux très conservateurs, voire libertariens aux Etats-Unis. Idées essentielles 1. Fonction de consommation  et revenu permanent L'apport original de Friedman en ce qui  concerne la fonction de consommation consiste en l'application de la  théorie néoclassique

Cependant ces politiques ont des effets ambigus. La politique d’inspiration keynésienne utilisa fortement la courbe de Phillips pour réguler l’économie. Une politique de relance permet de diminuer le nombre de chômeurs mais accroît dans un même temps le niveau de l’inflation. Une politique de rigueur permet de contrôler l’évolution de l’inflation mais se traduit aussi par un marché du travail difficile. Le point de vue keynésien est optimiste, il suppose qu’un déplacement sur la courbe reste stable tant

de travail Typologie du chômage 3. Les solutions a) Evolution des politiques économiques Les recommandations de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economique) L’analyse néoclassique du marché du travail Théorie du salaire d'efficience Si pour les théoriciens néo-classiques, le salaire est fonction de la productivité du travail, pour les théoriciens du salaire d'efficience, la variation de la productivité du travail du salarié dépend de son salaire. Si celui-ci

économique. Seule une faible partie des travailleurs (les plus qualifiés, les cadres dirigeants) bénéficient des nouvelles formes de rémunération. Réduire l’accès aux indemnités chômage et au RMI favorise l’exclusion, et donc le chômage. La critique keynésienne La baisse des salaires nominaux ne peut réduire le chômage, à cause de son effet sur la demande. Un bilan controversé Il semble que des pays ayant des politiques de flexibilité salariale (USA, par exemple) aient des taux de chômage plus

Théorie des prix par Joan robinson La théorie moderne de la discrimination des prix a largement hérité des travaux de Joan robinson (1933). En consacrant deux chapitres de son livre appelé (the économics of imperfect competion) au problème de la discrimination du troisième degré, Joan robinson a examiné toutes la condition nécessaire à la discrimination (pouvoir de marche, élasticités différentes de la demande des consommateurs aux prix. Pour être plus précis la discrimination par les prix

produisant plus : la hausse du PIB entraîne la croissance. Elle a aussi pour but de réduire le chômage. Il existe deux types de politique de relance : la relance par la demande des keynésiens et la relance par l’offre des libéraux.   I/  La politique de relance keynésienne (par la demande)   John Maynard Keynes a écrit « la Théorie Générale de l’Emploi, de l’Intérêt, de la Monnaie » en 1936. Il préconise une relance par la demande. Si l'État verse davantage d'argent aux ménages (aide sociale, ou leur

l’intérêt général. Les décideurs politiques, comme les agents privés, font des choix rationnels et ne servent pas nécessairement l'intérêt général. (Différence fondamentale avec l'économie normative) L'économie politique vient de la théorie des choix publics. J.Buchanan : la théorie des choix publique décrit le rôle de l’Etat et le comportement des électeurs, des hommes politiques et des fonctionnaires. Elle va expliquer la politique à l’aide des choix publics, à partir d'outils microéconomiques. Elle a

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économiques, pouvant entraîner une perte de confiance dans la monnaie. Une inflation élevée se répercute généralement sur les prix à la production de l'économie, et donc, à taux de change constant, entraîne une baisse de la compétitivité-prix. Théorie économique générale, inflation et monnaie [modifier] Le développement suivant fait appel à l'équation d'Irving Fisher (avec M la masse monétaire, V la vitesse de circulation de la monnaie, P le niveau des prix et T le nombre de transactions pendant