Critique De Image De La Cité

RésuméLong métrage documentaire, Suisse, 2012 Réalisation : Christophe Cupelin Scénario : Christophe Cupelin Image : Christophe Cupelin Montage : Christophe Cupelin Son : Christophe Cupelin, Philippe Ciompi Musique : The Ex Production : Laïka Films, Akka Films, RTS Version originale française Durée : 104 ' Distribution en Suisse : Cineworx GmbH Public concerné : Age légal : 8 Age suggéré : 14 Résumé Réalisé à partir d'un minutieux travail de montage d'archives

du bonheur des personnes qui constituent cet Etat. Cet Etat prend la forme que connaissaient les grecs. L'Etat c'est la cité, la ville. Cette cité est une organisation politique indépendante parce qu'elle repose sur l'indépendance juridique (capable de créer son propre droit, l'autonomie) et sur la capacité de vivre par soi-même, l'indépendance économique (l'autarcie). La cité grecque est une organisation politique souveraine. Cela implique qu'elle va pouvoir exercer toute une série de fonctions

Qu'est-ce que les Lumières ? • KANT Emmanuel La meilleure image que l'on puisse proposer de la nouveauté que Kant introduit dans l'histoire de la pensée et qui le promeut au rang du petit nombre des très grands philosophes de tous les temps, c'est peut-être celle à laquelle il songea lui-même pour qualifier le changement de méthode dont il faisait l'essai en philosophie : celle de la révolution opérée par Copernic en astronomie lorsqu'il supposa que le centre immobile privilégié pour

comme Milan, il dessine des projets de ville sur deux niveaux qui organisent verticalement les services et la population. Thomas More, Utopia Le livre principal de Thomas More est Utopia, rédigé en 1516, décrit une société idéale, fournissant une critique radicale du modèle de la société féodale, de l'arbitraire royal. Tout comme pour Erasme, ce sont l'harmonie entre les habitants, le respect et la tolérance, le refus de la violence qui guident cette nouvelle société. Il est le premier penseur

habitué aux histoires digérées par l’auteur est que tout le public est constitué des lecteurs passifs. André Gide parle de l’incompréhension de signifies, comme exemple le thème de la jalousie, thème évoqué aussi par Robbe-Grillet. Nathalie Sarraute cite André Gide mais aussi elle assure que la jalousie est un sentiment qui n’est pas bien compris par nous, les lecteurs. On ne peut pas devenir jaloux si on ne sait pas de quoi s’agit-il. Populairement on étiquette la jalousie qui « n’est que la souffrance »

o 2.4 Moyens de réception * 3 Télévision et société o 3.1 Le média de masse dominant o 3.2 Actualité et média o 3.3 Critiques de la télévision + 3.3.1 La qualité des programmes + 3.3.2 L'impact des programmes sur les spectateurs + 3.3.3 Autres critiques o 3.4 Défense + 3.4.1 Sur la qualité des programmes * 4 Notes et références * 5 Voir aussi o 5.1 Bibliographie

Régine Robin, Dolf Oehler, Pierre V. Zima, Charles Grivel, Isabelle Tournier, Jean-François Chassay, Geneviève Lafrance, Rainier Grutman, pour n’en citer que quelques-uns. La sociocritique n’est ni «une» théorie ni «une» méthode, mais une perspective critique et une pratique de lecture des textes : elle rassemble les travaux qui entreprennent de déterminer et de qualifier le rapport entre le littéraire et le social à partir d’une herméneutique (theorie de l’interpretation) centrée sur le texte littéraire

1) Compréhension de texte: - De la ligne 35 à 36 le vieillard cite à Bougainville "Tu n'es pas esclave: mais tu souffrirais la mort plutôt que de l'être, et tu veux nous asservir!", par cette phrase exclamative le vieillard entend que les européens ne sont pas des esclaves et que s'ils le devenaient ils préfèreraient mourir que de subir l'esclavage, il en conclut que malgré cela les européens veulent toujours les rabaisser et les soumettre. Dans les lignes 37 à 38 l'homme ajoute "Celui dont tu

totalitarisme (1951). Selon elle, deux pays seulement avaient alors connu un véritable totalitarisme : l'Allemagne sous le nazisme et l'URSS sous Staline. Elle distingue toutefois des tendances ou des épisodes totalitaires en dehors de ces deux cas. Elle cite notamment le maccarthisme au début des années 1950 aux États-Unis ou encore les camps de concentration français où furent enfermés les réfugiés de la guerre d'Espagne. Les sociétés totalitaires se distinguent par la promesse d'un « paradis », la fin

l’homme : atteindre la vertu = la force physique, l’intelligence, valeur guerrière). L’homme grec est un homme qu’on peut qualifier d’égoïste dans la mesure où il faut développer au maximum ses propres capacités : il veut être l’homme le + écouté de la cité = héroïsme moral (cf Vernant) Il veut être vertueux non pas pour lui-même mais pour sa patrie, il veut être vertueux aux yeux de sa communauté ; il n’existe que par le regard qu’on porte sur lui. Il veut laisser une trace dans la mémoire de sa communauté :