Créateurs de Beauté

-Route → « cils se lèvent » → « cime » → « clocher » → « dôme » → haut de la route (Ascension que le poète a envie de suivre → Recherche absolu, perfection poétique) -Ascension lexique architecture luxueuse, impression de majesté, Poète avide de beauté, de création, de luxe spirituel *Une chute brutale -Chute de l’aube et l’enfant du haut de la route -Réveil, (après réveil Nature, réveil du poète, retour à la réalité) -Ambiguité fantastique → Chute, comme nouvelle (prose) II. Une course

 Aux XXI Siècle on a l’impression que l’art est un produit de consommation comme un autre. Regardons les millionnaires achètent-ils une œuvre pour leur beauté ou l’achète-on pour faire une spéculation sur la valeur de cette œuvre car elle est déductible des impôts. Nous pouvons dire l’art à un but donc une finalité d’où un outils. Donc l’art est-il utile ? Alors nous pouvons se poser comme questions : Comment définir l’art ? À partir de quand l’art existe-il ? Et

principalement pour la promotion de vêtements, accessoires, et produits de beauté appartenant à une entreprise. Le mannequin est employé par un couturier ou un créateur de vêtements pour la présentation de collections lors de défilés ou de séances photos. Il travaille pour une agence spécialisée. Dans le mannequinat, on retrouve énormément de discrimination à cause du règlement qui favorise une certaine norme de beauté. Cela entraîne donc des risques de mise à l’écart de certains individus.

relate l’environnement triste en prison. Le poème « Bijoux » de Robert Brasillach qui fait partie du recueil : Poèmes de Fresnes, nous permettra de constater son étonnement. Le poème « Prison Fleurie » de Sybille Rembard qui fait partie du recueil : Beauté Fractionnée, nous permettra de constater ce que peut subir une femme en prison. Le poème « Sur Le Tasse en prison » écrit par Charles Baudelaire et qui fait partie du recueil : Les épaves, relate ce que peut subir un poète en prison. Nous finirons

supra-technique, mais qui ne peut pas les déterminer. L’argument-clé à ce sujet est le suivant : s’il y avait une détermination de la règle, un concept, tout le monde pourrait être Mozart ou Léonard de Vinci. Par conséquent, aussi bien du point de vue du créateur que de celui du spectateur, on voit bien là que les règles du beau sont indéterminables. L’œuvre est belle car elle obéit à des règles, mais l’œuvre d’art r este dans une opacité à la règle. La règle est là, elle existe, mais on ne peut pas la déterminer

fondements dans les écrits des architectes et des artistes qui ont créés les mouvements et les écoles de design de cette époque, et dans beaucoup de travaux philosophiques et théories de l’art. Tel que les philosophes Paul Souriau (défenseur de la « beauté utile», dans le mouvement de l’Esthétique industrielle en France), Étienne Souriau (qui a participé à la rédaction des lois de la Charte de l’Esthétique industrielle en 1952), où encore René Huyghe (engagé dans l’aventure de l’Institut d’Esthétique

comme par exemple son style particulier, les procédés de son savoir faire et les techniques qu’il met en œuvre pour élaborer son travail ? Enfin, ne peut on pas dire qu’un artiste peut aussi se reconnaitre a son gout du beau, a sa mise en valoir de la beauté des formes esthétiques ? Quels sont les signes ou les indices qui nous permettent d’identifier et de reconnaitre un artiste ? Le processus de reconnaissance est un acte du jugement qui implique une connaissance premiere : je connais d’abord quelque

traits d’un forgeron boiteux. Avant tout c’est un inventeur divin et un créateur d’objets magiques. Son nom apparaît souvent dans la poésie grecque comme synonyme de « feu ». * APHRODITE : est la déesse de la germination, de l’amour, des plaisirs et de la beauté. On peut distinguer deux conceptions différentes d’Aphrodite : celle du plaisir, de la chair, plus « terrienne » et celle de l’amour spirituel, pure et chaste dans beauté. * ATHENA : est la fille de Zeus et de Métis. Elle est la déesse

utilisation des ressources de la langue. Cette définition varie au fil du temps, et reste difficile à définir ; chaque siècle lui trouve une fonction et une expression qui varient d'auteur en auteur. Du grec poiein (faire, créer) : le poète est un créateur, un inventeur de formes expressives. Héritier d'une longue tradition orale, il privilégie la musicalité d'où, dans la plupart des textes poétiques, le recours au vers apportant la densité. Le poète recherche l'expressivité par le poids accordé aux

renouvelle l’inspiration et surmonte les déceptions éventuelles. Ainsi nos deux jeunes poètes, ces êtres exceptionnels, insouciants et ouvert d’esprit ont entrepris de s’évader de la civilisation, afin de se rendre en pleine forêt de séquoias. Les deux créateurs désirent s’épanouir dans ce cadre privilégié qui exacerbe sensibilité et imagination. Nos deux jeunes artistes, soudainement frappés par l’inspiration divine, s’engagent chacun dans la rédaction d’une anthologie sur la nature. Un des poètes décide