Crâne rouge

un pont. Au premier plan, le personnage principal titubant contre la balustrade du pont qui domine la mer n'est autre que le peintre lui-même, se serrant les tempes à deux mains et criant, bouche ouverte, yeux exorbités, visage livide et émacié, crâne chauve le rendant fantomatique. En arrière plan, deux ombres s'éloignent vers le lointain laissant le personnage principal sur le ponton surplombant un fjord, avec à droite un vertigineux précipice. Le peintre a construit le paysage en contraste

respiration : « - Ecoute, je n'ai pas le temps de parler avec toi mais si tu veux des explications, retrouve moi demain.» BOUM! … Percy resta inconscient pendent une demi-heure. Lorsqu'il se reveilla, la première chose que Percy sentit fut son énorme mal de crâne. Réalisant tout d'un coup que quelqu'un l'avait assomé, il vérifia ce que l'étranger lui avait dérobé. Ouf, son téléphone était toujours là et rien n'avait l'air d'avoir disparu. Percy se mit en route mais ressentit bientôt une drôle d'impression

une énorme flaque de boisson par terre et cela me refit penser à l’accident. Mais il y avait une sorte de trace semblable à celle d’un corps allongé dans la flaque ! Je crus voir le corps de Juan … Il y avait sur la poignée de la porte une trace de rouge ! Sans doute due à un éclat lors de la chute de la cruche ! Soudain, je vis des traces de pas rouges ! Mais en fait c’étaient les miennes … Rien de spécialement affolant cette nuit la. Par paresse, je laissai cette flaque là où elle était et me résolus

sous l’émotion de cette rencontre, elle parti se coucher, insouciante et ne sachant pas ce que lui réservera le lendemain. 3 h 12 du matin, Veronica fût réveillée par un étrange bourdonnement venant de sa coiffeuse puis soudain, vit une lumière rouge sortir de sa bouteille de parfum. Ne comprenant pas ce qui arrivait, elle resta figée devant cet événement surréaliste. Puis, comme par magie, une surprenante et agréable odeur sorti de cette bouteille, une odeur qu’elle n’eut jamais l’occasion de

les coudes. Il tenait sa casquette dans son battoir de main, ce qui était aussi bien car perché sur sa tête ronde comme un ballon, elle aurait fait penser au petit calot du singe joueur d’orgue de barbarie, sauf qu’elle était bleue au lieu d’être rouge. » Dans ce passage, nous pouvons remarquer la taille gigantesque et la carrure de John Caffey décris par Paul. L’auteur utilise dans sa description différentes métaphores qui servirons à mieux nous le représenter. Tel que  : « Une véritable armoire »

témoignage pictural d’Otto Dix les mêmes ressentiments évoqués cette fois-ci par le biais d’images et de couleurs. Les trois couleurs employées sont principalement le gris, le marron et le rouge (ocre). On remarque clairement le ciel qui, sur les panneaux latéraux, se détache du reste de l’œuvre : il est rouge et tourbillonnant. En premier lieu, on peut imaginer qu’il s’agit d’une représentation de la ligne de front à feu et à sang. En allant plus loin cependant, il est possible que l’artiste ait

la cave et enfin le rideau qu'elle ouvrit pour prendre le passage derrière et se placer devant la porte . La porte d’où sortait deux étranges et inquiétantes petites étoiles rouges comme des yeux . Elles se situaient justement à la place de ceux du crâne gravé dans la roche de la porte . « Qu’elle est la plus grande illusion de la vie ? » se fit entendre une voix lourde et grave derrière le monstrueux battant . La femme répondit : « La mort » La porte s’ouvrit doucement , puis la femme pénétra dans

veut le centre de l’œuvre. L’homme est vêtu d’une tunique noire qui tire sur le brun-rougeâtre, sa peau est grise-brune et ses cheveux brun-rougeâtre. La femme pour sa part est vêtue d’une robe courte sur laquelle se côtoient le rose, l’orangé, le rouge, le bleu pâle et le noir. Sa peau est beige-pâle et ses cheveux roux. Les couleurs sombres et ternes qui habitent la partie gauche de la toile, et donc chez l’homme, s’opposent aux couleurs plus vives qui se manifestent chez la femme. La main gauche

témoignage pictural d’Otto Dix les mêmes ressentiments évoqués cette fois-ci par le biais d’images et de couleurs. Les trois couleurs employées sont principalement le gris, le marron et le rouge (ocre). On remarque clairement le ciel qui, sur les panneaux latéraux, se détache du reste de l’œuvre : il est rouge et tourbillonnant. En premier lieu, on peut imaginer qu’il s’agit d’une représentation de la ligne de front à feu et à sang. En allant plus loin cependant, il est possible que l’artiste ait

puis emballé dans une tenue de jogging dépareillée. Expression fermée, peut-être craintive, rien d’attrayant, pas l’air méchant ». « paupières vert pomme, deux traits violets sur les sourcils, deux ronds de blush terre cuite sur les pommettes et rouge à lèvres extraterritorial grenat. Le tout sur un fond plutôt pâlichon. » Elle porte « un petit bracelet-montre comme on en gagne sans les foires ». Elle a « quelques traces rouges qui s’écaillent sur des lunules d’ongles rongés ». Elle porte également