Couteau de combat

a donné lieu à de nombreuses interprétations, tout d’abord celle d’Anna MARLY, sa créatrice, puis Germaine Sablon, Johnny Hallyday, Jean Ferrat, Charles Aznavour, Joan Baez, Line Renaud… et à des reprises comme celle de ZEBDA. C’est un chant de combat, un appel intemporel à résister, mais aussi un hymne à la fraternité et à l’espoir. C’est un appel à la lutte pour la Liberté qui galvanisera tous les Peuples opprimés auxquels il s’adresse. Le texte, le poids des mots, et la musique ont la même

analyse ces trois documents, la première chose qui nous frappe est la violence des propos ou de la mise en scène. Cependant, chaque texte est différent de par ses procédés. Nous avons d’abord le texte de Corneille : Le Cid. Cet extrait est un récit du combat de Rodrigue, et les espagnoles contre les mores. Le texte évoque la violence notamment grâce au champ lexical de la guerre : « Carnage », « sang », « pillage » ainsi que le champ lexical de la mort : « mourir », « ténèbres «  etc. Cette violence est

xénophobie (peur de l’étranger, racisme) et à l’antisémitisme des Nazis, c’est un hymne à la fraternité patriotique et à la liberté. DESCRIPTION et ANALYSE J’ai choisi de vous présenter la version interprétée par Yves MONTAND C’est un chant de combat, un appel intemporel à résister, mais aussi un hymne à la fraternité et à l’espoir. C’est un appel à la lutte pour la Liberté qui réunira tous les Peuples opprimés auxquels il s’adresse. Le texte, le poids des mots, et la musique ont la même importance

croix évoquent un crucifié, mort pour avoir pris la défense de la liberté. Il nous fait penser à Jésus Christ, symbole de la souffrance du peuple. Le démembrement montre la violence des combats jusqu’à la mort Il représente les républicains. L’épée brisé qu’il tient dans sa main montre la défaite et l’inégalité des combats car les républicains étaient moins armés que les soldats nazis. La fleur qui sort de la main du combattant représente une lueur d’espoir, de renaissance mais la fragilité de la vie

sauvagerie de l’étalon. Les gestes de robinson : Nous avons immédiatement un rapport avec les robinsonnade car Alec, ayant lu les romans, cherche immédiatement à construire un abri et à faire du feu grâce à la seul chose qu’il a pu garder du bateau : le couteau de son père. - Il tentera également de construire un radeau, mais il se refusera de l’utiliser et d’abandonner l’étalon. - Tous comme robinson, sa cabane sera détruite par le feu et la foudre. La nourriture est rare, il n’y a que très peu de fruit

Line Renaud… et à des reprises comme celle de ZEBDA. J’ai choisi de vous présenter la version interprétée par Yves MONTAND C’est un chant de combat, un appel intemporel à résister, mais aussi un hymne à la fraternité et à l’espoir. C’est un appel à la lutte pour la Liberté qui galvanisera tous les Peuples opprimés auxquels

un article de journal. La pièce maîtresse : le cheval blessé. Placé au centre de la composition, il symbolise, selon le peintre, le peuple. Comme pour la mère portant son enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau. La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ. La crucifixion est l'archétype de la souffrance et de l'agonie. (Analyse empruntée à W. Rubin, L'Art dada et surréaliste) Les différents éléments : le

demain matin sur le lieu du concours. -tu vas vraiment le faire ? -oui bien sur , et je compte gagner ce concours du meilleur combattant ! -tu compte gagner , hein ? bonne chance dans se cas. Elle lui fit un énorme sourire. Le lendemain après les combats le verdict fut annoncer c’était Hikari qui avait remporter le tournois. -Pourquoi ne pas l’autoriser a venir vivre ici ? elle a dit qu’elle se fichait de la succession , la seule chose qu’elle veux c’est vivre avec nous sa famille ! elle mérite ceux

œuvre d’Albert Camus, publié en 1942. Albert Camus était un écrivain, dramaturge, essayiste et philosophe française, malgré qu’il soit à Alger. Il intègre la résistance à Paris durant la Seconde Guerre Mondiale, et devient rédacteur en chef du journal Combat à la Libération. L’Etranger est écrit de la manière d’un journal intime, les phrases sont courte et simple. Il y a aucun retour dans le passé, et aucune projection dans l’avenir. Le temps utilisé est le passé composé, ce qui fait, qu’il y a une répercussion

Un mental d'acier qui finit part être forger Plus rien a laisser passer Finit de pleurnicher Assume vraiment ce que tu es Enfin tu as finit par ne plus être emprisonné Tu as pris du temps pour comprendre et enfin réaliser Libérer de ce combat ... Tu es enfin sauvé De ton esprit , ton pire ennemie Tu as eu du mal mais tu es enfin y arriver Il a fallut tout ça ... Tout ce cheminement ... Des larmes , de la réflexions enfin un peu de tout Breff tu as suivi qu'il fallait prendre