Couteau de combat

Le Chant Des Partisans I) Fiche de présentation : Nature de l’œuvre : Chant populaire, de combat et patriotique. C’est l’hymne de la Résistance Française durant l’occupation de la France par l’Allemagne Nazie pendant la 2nd Guerre Mondiale. C’est un appel intemporel à résister. Titre : Chant des Partisans, la Marseillaise de la Résistance, chant de la Libération. Auteur : Joseph KESSEL et Maurice DRUON (ils ont fait les paroles) Anna MARLY (elle a fait la musique) Date : En 1943

leçons absurdes d’arithmétique et de philologie, l’élève perd de son assurance. Le professeur quant à lui devient de plus en plus agressif jusqu’à dominer la jeune fille de 18 ans qu’il finira par tuer au cours d’une leçon de prononciation du mot couteau. La bonne arrive alors et lui fait remarquer que c’est la quarantième fois que cela arrive. Elle se débarrasse du corps et la sonnette retentit comme à l’arrivée de l’élève. Le Maître, 1951 Les Chaises, 1952 La jeune fille à marier, 1953 Victimes

n’appartient pas à une armée régulière. Camarades et compagnons ont une connotation politique et indique l’appartenance à un groupe. Mais tous les Français libres sont appelés à rejoindre le mouvement. La Résistance est l’armée des ombres et le combat s’organise depuis le maquis et avec des réseaux. Pourquoi résister ? « Le vol noir des corbeaux sur nos plaines, les cris sourds du pays qu’on enchaîne, l’ennemi, la haine à nos trousses, la faim qui nous pousse, la misère, dans la nuit la liberté

qui n’appartient pas à une armée régulière. Camarades et compagnons ont une connotation politique et indique l’appartenance à un groupe. Mais tous les Français libres sont appelés à rejoindre le mouvement. La Résistance est l’armée des ombres et le combat s’organise depuis le maquis et avec des réseaux. Pourquoi résister ? « Le vol noir des corbeaux sur nos plaines, les cris sourds du pays qu’on enchaîne, l’ennemi, la haine à nos trousses, la faim qui nous pousse, la misère, dans la nuit la liberté

champ lexical de la boucherie et aime qui viennent se superposer (V54) « couteau », « sang », »plaies » (V44) Une scène décrite en temps réel, comme un ralenti, lié aux multiples répétitions « mes enfants », « Je vous aime », »la chienne », le spectateur entre dans la mécanique de l’horreur. Dominance verbe d’action, pas d’adjectifs. Le passé et nié, rasé, le futur l’est aussi (V95-100), la vie et la mort se livrent un combat fatal, il s’agit de tout gommer, d’effacer toute trace de ce qui a existé

économiquement , l'Allemagne s'effondre et doit signée un armistice ( arrêt des combats ) le 11 novembre 1918 . PARTIE 3 : Une guerre totale Une guerre mondiale : Le conflit implique de nombreux pays extra-européens : Japon , États-Unis , Turquie … Tous les pays d'Europe mobilise les populations de leurs empire coloniaux : Soldats marocains reprennent le fort de Douaumont . La brutalisation du conflit : Au combat , les poilus sont soumis à des conditions de vie insupportables . Et sont

qui lui eût permis de se défendre. A l'intérieur du sac,il ne sentit aucun tournevis,ni aucun marteau,ni rien de se genre. Il sentit une fourchette. Puis un couteau. Il y avait même une serviette et une bouteille d'eau minérale en plastique. Ce n'était pas un sac à outils,mais le sac du pique-nique du loup. Le cochon,vivement,attrapa le couteau. Mais quelque chose lui dit qu'il ne devait rien laisser au loup de ce qui lui appartenait. Alors,tout aussi vivement,il saisit la fourchette,et même la serviette

en acceptant le Service de Travail Obligatoire qui oblige les jeunes gens à aller travailler en Allemagne et en créant la Milice qui traque les Résistants et les Juifs. Dès la demande d’armistice, le Général de Gaulles, appelle à la poursuite du combat depuis Londres. Avec les premiers volontaires qui le rejoignent, il fonde les Forces Françaises Libres qui est la résistance exterieure. En France, les premiers résistants sont peu nombreux et isolés. Ils refusent la défaite, la soumission du pays

1913 au sein d’une famille nombreuse en Martinique. C'est là qu'il rencontre Léopold Senghor, avec lequel il fonde, en 1934, L'Etudiant noir. C'est dans cette revue qu'Aimé Césaire emploie, pour la première fois, le mot qui, à lui seul, résumera son combat, tant littéraire que politique : la "négritude". A la veille de la Seconde Guerre mondiale, il publie le 'Cahier d'un retour au pays natal', texte fondateur à bien des égards, puis rentre en Martinique, pour y enseigner le français. La Seconde Guerre

Elle est meurtrière pour les soldats avec énormément de morts.les soldats vivent dans la boue, l'humidité et le manque d'hygiène, ils côtoient les rats et les poux. C'est une guerre de tranchée, où il y a régulièrement des assauts avec des combats au couteau et à la baïonnette. L'artillerie, avec les canons fait beaucoup de dégâts. De plus, on invente de nouvelles armes : mitrailleuse, gaz, lance-flamme, mines et tanks. Pour les civils, la guerre est aussi très violente. Ils pleurent leurs