Courbe

statistique mathématique, bien que restant rattaché au « dernier étage » de la « statistique descriptive » : il s’agit de l’analyse des tendances et des corrélations. Enfin le chapitre 7 est essentiellement utile à l‘étudiant en économie : il traite de la courbe de LORENZ et du coefficient de GINI, deux outils complémentaires dont les principales applications sont l’analyse de la plus ou moins grande égalité de la répartition d’une masse (de revenu, de richesse, de ressources, tec.) au sein d’une population

orthodoxe (tout repose sur la quantité de monnaie en circulation ? mais quid du crédit réel ou potentiel  dont jouissent les acteurs économiques ?) 4.1 Introduction 4.2 L’approche quantitative de la monnaie 4.3 L’analyse à l’aide de la courbe de Phillips augmentée des attentes (anticipations) 4.4 L’approche monétariste de la balance des paiements et de la détermination du taux de change 4.5 L’école monétariste orthodoxe Entretien avec Milton Friedman Entretien avec

et zéro d’inflation. L’Etat est ainsi chargé par son intervention d’améliorer la conjoncture. Les travaux de Phillips qui analyse le rapport entre la variation des salaires nominaux et le chômage sont repris par d’autres économistes sous le nom de courbe de Phillips qui posera les bases de l’arbitrage entre chômage et inflation. L’inflation est la hausse généralisée des prix tandis que le chômage désigne l’état d’un individu privé involontairement d’un emploi mais en en recherchant un activement.

indifférent de A en compensant l'insuffisance de B par un surplus de quantité) Notion de courbe d’indifférence : On appelle courbe d’indifférence, l’ensemble des combinaisons de consommation de deux biens (exemple 1 bien A et 2 bien B ou 2 biens A et 1 bien B) qui procurent la même satisfaction (utilité) pour le consommateur. Propriétés des courbes d’indifférences : Décroissance : La pente de la courbe est décroissante, ce qui s’explique par le fait que pour réduire la consommation d’un bien

l’existence d’une nouvelle courbe, la courbe de Beveridge de Blanchard et Diamond, qui stipule qu’il y a une relation entre le taux de chômage (individus sans emploi) et les postes vacants (les emplois dans travailleurs). Comme sa disposition est pareille à celle de la courbe de Phillips donc il existe un lien. Mais ce modèle est un modèle de recherche de la force du travail, il n’explique pas totalement l’échec du NAIRU. D’autres éléments expliquent la complication de la courbe comme la compétition

Courbe de Phillips Cette courbe traduisant la relation entre l’inflation et le chômage appelée courbe de Phillips se retrouve dans tous les pays industrialisés, elle sera utilisée comme base des politiques économiques dans la plupart des pays occidentaux jusqu’au milieu des années 1970. Elle met en évidence le fait qu’on ne peut combattre l’inflation et le chômage en même temps. On constate donc grâce à la courbe de Phillips qu’un très faible taux de chômage

le penser, la stabilité des prix étant un préalable à une activité économique soutenue. Cependant, si on admet qu'il n'existe pas d'arbitrage à long terme entre stabilité des prix et activité économique car la monnaie est neutre à long terme (la « Courbe de Phillips » de long terme est verticale), l'unique objectif de long terme de la banque centrale doit être le maintien de la stabilité des prix. Dans cette hypothèse le niveau de croissance potentiel dépendant de facteurs multiples (productivité

plus pour l’obtenir. Tous ces critères semblent acceptables mais il faudrait que l’écart entre les nombres ait une signification opérationnelle. Pour construire une fonction d’utilité, nous disposons d’une méthode pour associer les valeurs aux courbes d’indifférence, du moins quand les préférences sont monotones. Cette méthode n’est pas toujours la plus naturelle mais elle a en tout cas le mérite de montrer que le concept d’utilité ordinale est très général : presque tous les types de préférence

le marché. Le consommateur est un agent économique pour lequel on applique l’hypothèse de rationalité. Cette hypothèse nous permet de définir une notion centrale, celle d’utilité. Nous verrons de quelle manière on peut interpréter et construire la courbe de demande exprimée par l’individu avec un objectif principal : expliquer une loi fondamentale en économie, celle de la demande, qui se résume à travers l’idée que les quantités demandées sur un marché décroissent avec le niveau du prix affiché sur

...............................................................................................7 1. RAPPEL DE QUELQUES CONCEPTS DE BASE ET INTRODUCTION A LA COMPTABILITE MACROECONOMIQUE ....................................9 1.1- Relation 1 : La Courbe de Phillips .................................................................................................................................10 1.2- Relation 2 : La Loi d’Okun .....................................................................