Courbe algébrique

MICRO ECONOMIE Les 3 principes du comportement * Rappel : Tous les paniers d'une même courbe d'indifférence apportent la même utilité. Ainsi, si les paniers (x1, x2) et (x1+ x1, x2+ x2) sont sur la même courbe d'indifférence, on doit avoir : La variation de l'utilité globale U est nulle Um1 x1 : Variation de l'utilité globale due à la variation de la quantité de bien 1 consommée Um2 x2  Variation de l'utilité globale due à la variation de la quantité de bien 2 consommée

x. Um(x) est donc décroissante, du fait du principe d’intensité décroissante des besoins Um(x)= dU/dx Graphique U S U=U(M) 0 U U=U’(M) X 0 X Page | 2 Analyse économique Licence 1 Semestre 1 III. La théorie des courbes d’indifférences A. La notion de préférence a) La représentation des préférences Les goûts du consommateur impliquent les préférences qu’il aura entre des paniers de consommation. On va alors représenter ces goûts par une relation de préférence

les cours dépassent les 130 son gain devient illimité et la perte du vendeur devient aussi illimitée. CHAPITRE 2 : La courbe des taux Pour tout instrument financier correspond à un taux de rendement spécifique. en construisant le graphique ayant en abscisses, les différentes échéances de l'instrument et en ordonnées les taux d'intérêts, on obtient une courbe appelée courbe des taux. Rappel : Valeur acquise d'une seule annuité constante : a [ ( 1 + i ) - 1 ]

literature, Vol 28, No. 4 (1990). L’auteur explique que la macroéconomie a beaucoup évolué ces 20 dernières années, mais que ces changements théoriques n’ont pas eu d’impact sur la macroéconomie appliquée. En effet, le modèle IS-LM augmenté de la courbe de Phillips reste le plus utilisé dans la presse et par les dirigeants pour interpréter les questions de politique économique. Le fait que les évolutions des modèles soient si peu utilisées dans la pratique permet de supposer qu’elles n’ont qu’une

l’existence d’une nouvelle courbe, la courbe de Beveridge de Blanchard et Diamond, qui stipule qu’il y a une relation entre le taux de chômage (individus sans emploi) et les postes vacants (les emplois dans travailleurs). Comme sa disposition est pareille à celle de la courbe de Phillips donc il existe un lien. Mais ce modèle est un modèle de recherche de la force du travail, il n’explique pas totalement l’échec du NAIRU. D’autres éléments expliquent la complication de la courbe comme la compétition

C’est la thèse qu’illustre la courbe de Laffer (graphique 2), qui montre que plus l’encours de la dette est élevé, plus la probabilité de son remboursement devient faible. Sur la partie ascendante (la «bonne» section) de la courbe, la hausse de la valeur nominale de la dette va de pair avec l’augmentation des anticipations de remboursement, alors que l’accroissement de la dette réduit ces anticipations sur la partie descendante (la «mauvaise» section) de la courbe. Bien que que les modèles n’analysent

Les difficultés d’ordre sociopolitique 10 Chapitre 2 : Des antagonismes contestables 11 Section 1 : Plein emploi et stabilité des prix 13 §1 : Le soubassement théorique 14 §2 : Le support de la politique de stabilisation 17 Courbe de Phillips 18 Index 20 Examen : écrit Durée : 2heures Sujets : 2 sujets au choix Forme : dissertation (un sujet de réflexion libre assez général ou un sujet lié au cours) Chapitre 1 : Signification de la politique conjoncturelle Section

contredite par les nouveaux classiques qui signalent la rationalité des agents et leur capacité à anticiper les fluctuations purement monétaires. 2 Le marché monétaire influence le marché du travail. 1 L’inflation permet de limiter le chômage. 1 Courbe de Phillips Inflation créatrice Relation inversement proportionnelle entre le taux de croissance des salaires nominaux et le taux de chômage. 2 La policy mix. Permet de piloter l’activité vers le plein emploi en jouant sur le taux d’intérêt

l’économie si la politique est trop sévère Donc soit on accepte un certain taux d’inflation, soit on refuse l’inflation avec une économie de récession ou d’expansion faible : c’est une impasse. Ce choix va être analysé par la courbe de Phillips. Courbe de Phillips : elle représente la variation du taux de salaire en relation avec la variation du taux de chômage. Ca se limite à une droite de régression à travers un nuage de point (fascicule p.24). l’augmentation de salaire, l’activité

UE33 : Module C5 - Construction Travaux Publics - Page 1 LES ROUTES 1. 1.1. Courbes de niveaux Définitions Les courbes de niveau sont destinées à donner sur une carte un aperçu du relief réel. Une courbe de niveau (fig. 10.1.) est l’intersection du relief réel avec un plan horizontal d’altitude donnée en cote ronde (généralement un nombre entier). Les courbes sont équidistantes en altitude ; leur espacement horizontal dépend de la déclivité du terrain à représenter et de l’échelle