Côte de Beauté

Exposé sur la Beauté et la Laideur Dans l’art à travers les siècles La femme qui pleure de Pablo Picasso La femme qui pleure est un portrait de Dora Maar qui est une photographe et peintre francais . Ce tableau date de 1937 soit du XXeme siècle , elle a été réalisé sur une huile sur toile et appartient au mouvement cubiste, et a une dimension de 60*50. AVIS : Cette oeuvre est vue de face ayant au premier plan le portrait d’une dame pas assez âgé, elle porte un vêtement de couleur sombre. En arrière-plan

de Chartres, la future Princesse de Clèves, n’a pas encore été décrite. Elle apparaît ici sous les yeux de la cour qui la découvre, comme le lecteur, pour la première fois. Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières

l'homme des utopies, selon Hugo. Vivant la « vie à côté », d'après Cros, le poète peut-il être dissocié de l'homme réel ? Estil différent des autres hommes ? Leur est-il supérieur ? Et en quoi leur est-il semblable ? I. Le poète est semblable aux autres hommes 1°) Un homme ordinaire, physiquement et affectivement 2°) Un être impliqué dans la société II. Le poète est aussi un artiste qui se distingue du commun des mortels 1°) Par sa quête obsédante de beauté 2°) Par sa marginalité III Il s’en distingue

1. HISTOIRE DU MYTHE Narcisse est un jeune homme né de l’amour de Liriopée, qui était douée d’une rare beauté, et du dieu fleuve Céphyse. Dès sa naissance, sa mère désire connaître son avenir et interroge Tirésias qui lui répond : « Il vivra longtemps s’il ne se connaît pas. » Narcisse était un jeune homme très beau. Sa beauté atteignait la perfection mais il ne portait aucun intérêt à l’amour ; il ne vivait que pour la chasse. Il était très désiré par de nombreuses

Commentaire composé : Baudelaire : Les Fleurs du Mal : La beauté Extrait étudié : XVII - La Beauté Je suis belle, ô mortels! comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Eternel et muet ainsi que la matière. Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris; J'unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les poètes

inexpérience et sa grande beauté vont être des périls dans ce milieu dominé par la galanterie. Comment ce portrait élogieux de l’héroïne montre-t-il une vision de la Cour et des hommes assez pessimiste ? Il s’agira d’analyser d’abord le portrait élogieux de Mademoiselle de Chartres puis d’étudier la vision moraliste proposée par sa mère. Le portrait élogieux d’une beauté inconnue est tout d’abord dressé. Le narrateur omniscient introduit un personnage d’ « une beauté parfaite » (ligne 2) avec

Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678) Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l'avait laissée sous la conduite de Mme de Chartres, sa femme, dont le bien

monuments, Consumeront leurs jours en d'austères études ; Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles !Introduction :Nous allons étudier le poème « La Beauté » rédigé par Charles Baudelaire en 1857. Baudelaire est un poète français romantique du XIXème siècle. Il est né en 1821 à Paris. Ce dernier souffrait de la vie et de sa propre existence. Baudelaire était névrosé et souffrait d’une grande dépression

poétique se montre dans l’adverbe d’intensité «si». Le regard et le paysage se caractérisent par le même éclat voilé qui suggère un mystère à percer, dissimulé derrière le brouillard et les larmes de la femme. Ce charme ou ce côté mystérieux captive le «Je». Il symbolise une beauté (femme/paysage) qui unit des aspects dualistes comme l’amour et la mort («aimer à mourir»), la trahison et la tristesse («Tes traîtres yeux brillent à travers leurs larmes»). L’adjectif «traître» ressort : Qu’est-ce que les

l’intelligence de la pièce. Ici le poète fait de ce prologue un poème. Il s’agit de 10 quatrains. Les deux premiers montrent la faiblesse de l’homme en proie aux péchés, sa faiblesse physique et morale. Les 5 suivants montrent l’influence de Satan, la beauté du mal. Les 3 derniers montrent la place importante qu’occupe le spleen, cette mélancolie. Cette manière de s’adresser au lecteur est particulière et nous fais entrer dans le vive du sujet. On entre directement dans la poésie dont il est sujet dans