Côte de Beauté

Nous n’avons plus l’habitude de les fréquenter, de connaître leurs noms, leurs formes, leurs couleurs. Elles nous deviennent étrangères. Le parfum envoûtant qu’elles émanent, nous est de moins en moins familier. Les fleurs, symboles de grâce, de beauté, de délicatesse, d’amour et de féminité ne devraient peut être pas tomber dans l’oubli. C’est pourquoi nous allons ressortir ces magnificences de Dame nature, à travers quelques poèmes connus ou parfois oubliés, mais tous, vibrants d’évocations constituant

question du plaisir dans la perspective de philosophie morale qui est encore la sienne. Il pose bien sûr la question redoutable des plaisirs du corps – sur lesquels le monde chrétien insistera tant –, mais il pose surtout le lien entre le plaisir, la beauté et l’amour, et donc entre l’esthétique et la morale. Augustin tient Platon en très haute estime, il le considère comme la « gloire de la pensée païenne ». Il assume ce qui lui semble vrai, et il va montrer toutes les conséquences politiques d’un désordre

La Reine de la beauté ------------------------------------------------- Suzanne Prou Suzanne Prou est née à Grimaud (Var). Elle a fait ses études à la faculté des lettres d'Aix-en-Provence.C'est en 1966 qu'elle publie son premier livre, Les Patapharis. Le prix Cazes est attribué en 1972 à son cinquième roman : Méchamment les oiseaux. Elle est également l'auteur de livres pour enfants. LaTerrasse des Bernardini a obtenu le prix Renaudot en 1973. Le Grand Prix des Lettres de Provence a couronné

artistes peut-être le plus exempt d’« art » et le plus proche de la « réalité » et de sa construction esthétique ; le plus proche de l’architecture et de l’industrie. J’ai étudié avec le plus de persévérance ce qui est à l’origine de la véritable beauté de la réalité, à savoir la mise en relations pures de plans, de lignes et de couleurs. […] L’architecture et tout ce qui lui appartient, le mobilier, les objets utilitaires, les machines, etc. est ce qui nous occupe en priorité. Les tableaux, les

présente une vrai chambre de princesse. Le tissu noir derrière la porte et les deux fenêtre permettent de créer une scène obscure, une ambiance assez froide. C'est aussi signe de mort. Les accessoires de beauté qui sont disposés sur une petite table au fond, permettent de montrer la beauté de Dona Sol. La lampe sur la table comme le dit les didascalies dans la scène 1, est posée non pas sur une table mais sur un rebords de fenêtre. Un miroir à gauche permet d'agrandir la scène, et permet

lexicaux de la beauté et de la pureté («éblouissant», «beau», «bonheur» pour le texte de Zola, «impeccable propreté», «immenses», «impressionnant», «rutilantes» pour le texte de Duras, et «radieuse», «beauté», «couleurs mélangées», «brillantes», «parfait» pour le texte de Jarry). Par exemple, dans le texte de Zola, l'histoire se déroule dans Paris, une magnifique journée d'été («été miraculeux», «journées limpides», «beaux jours»). Dans ce texte, comme dans celui de Duras, la beauté de l'architecture

qui est-elle fascinante (2). (1) a)Un texte mélioratif par la beauté : A la ligne 1, la première apparition de la princesse de Clèves, par la tournure impersonnelle, crée un effet d’attente. Avant même de connaître le personnage, on sait qu’elle est belle : on la qualifie de « beauté ». Ce terme est pourtant vague et c’est la seule information que nous avons sur son physique. Par la suite, on la décrit comme le stéréotype de la beauté médiévale avec « la blancheur de son teint » et « ses cheveux

LES FLEURS DU MAL - BAUDELAIRE L'HYMNE À LA BEAUTÉ L'hymne à la beauté semble osilié entre les cotées opposé du 'Bien' et du 'Mal' "Viens tu du ciel profond ou sort-tu de l'abîme" ? ?.... Kukujgjychjgcjyhjtcjgkuguktkugukyukfutkcyukciucjkyuygutcjcuk- yguj Jkygyukgukhgyjtfjytcutkftukfyjchtjyjtyjcjkyfutyfhtjcyukfyjtc- jhvj

la colonne, de manière ascensionnel, et spirituel. La déformation du corps (allongement, étirement, …) est intentionnelle, ce qui va donner une grande expressivité. Il n’y a pas beaucoup de raffinement dans la morphologie, éloigné de l’idéale de beauté, comme celle qu’il peut y avoir à florence et à Venise. Tout semble tassé vers la gauche, même si la vierge est centrée. La composition est différente. L’aspect conventionnel est remis en cause. Il n’y a aucune symétrie. Les anges sont les enfants

supérieur, l’Abbé Sérapion, ne suffiront pas à éteindre ses sentiments qu’il tente vainement de cacher et de se cacher. Son amour éclatera au grand jour lorsque, appelé au chevet de Clarimonde pour lui donner les derniers sacrements, ébloui par la beauté de cette gisante, il ne pourra s’empêcher de l’embrasser et par la même occasion de la ramener à la vie. Clarimonde, qui s’avère être un vampire femelle, interprète ce geste comme reniement de ses voeux de prêtre et l’acceptation de l’amour qu’elle