Côte de Beauté

d’emblée le nom de l’héroïne. C’est au contraire par une sorte d’énigme que débute le portrait, l’apparition d’une inconnue dans le microcosme de la cour : Il parut alors une beauté à la cour qui attira… marque un effet de rupture dû à l’irruption de la fiction dans la chronologie. Tous les regards se portent vers cette beauté parfaite qui, surpassant toutes les autres, suscite leur admiration. Le récit marque alors un temps d’arrêt. En revenant sur le passé de la jeune fille mystérieuse, l’auteur

tel « un éclair » (poème « A une passante »), fait entrer le poète dans un état second, « le fait renaître ». Le poète se trouve en quasi apoplexie devant cette beauté, devant cette femme. Ce « coup de foudre » est notamment présent dans le poème « A une passante », où le poète est complètement abasourdi devant cette « fugitive beauté ». Il faut ensuite parler de la façon dont le poète voit la femme après cette sublime vision car, après ce choc, celui-ci a vu sa curiosité s'attiser. En effet, il

du temps qui passe tout en decouvrant que le poete, a travers son poeme, est un guide pour le lecteur, puis nous interesserons a differentes visions de la Mort dans la poesie. Pour commencer, le poete est tel un messager divin qui a travers la beaute des formes et la purete du langage, vient avertir, tout en emouvant, l’innocent lecteur d’une force de la nature contre laquelle il ne peut lutter: le temps. Comme disait Hector Berlioz: “ Le temps est un grand maitre. Le malheur c’est qu’il tue ses

Depuis que la marque Dove a diffusé le film Evolution, montrant les dessous d’une pub de cosmétiques à plus de 12 millions d’internautes, l’entreprise s’est positionnée comme compagnie de beauté engagée dans l’estime de soi. «Dove s’est bâti un capital de sympathie incroyable en brisant le mythe entourant la beauté dans notre société, commente Pascale Chassé. Leur stratégie de communication est complètement intégrée : ils sont allés jusqu’à s’investir socialement dans le sens de leur message. Au-delà

Commentaire composé : Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XVII « La Beauté » Recueil poétique de Charles Baudelaire (1821-1867), Les Fleurs du Mal fut publié à Paris en 1857. Le recueil fut l’objet d’un procès en août 1857 pour «offense à la morale religieuse» ainsi qu’à «la morale publique et aux bonnes mœurs». Baudelaire fut condamné à 300 francs d’amende et à la suppression de six poèmes — qui seront publiés dans le Parnasse satyrique du dix-neuvième siècle, à Bruxelles, en 1864, avant d’être repris

toutes sortes de genres maintenant. Les poétes utilisent la poésie afin de nous montrer la beauté, la laideur et aussi pour nous offrir une nouvelle vision sur notre monde,sur notre époque ou sur leur propre époque. Nous pouvons alors nous interroger, si la poésie doit-elle nécessairement représenter la beauté. Tout d’abord, nous allons constater que la poésie représente essenctiellement la beauté , mais que cependant certains poètes modernes dépeignent la laideur. Enfin nous verrons que

Dorian Gray est doté d’une incroyable beauté et représente la jeunesse elle-même, innocente et manipulable. Il pose pour le peintre Basil Hallward, c’est alors qu’il fait la connaissance de Lord Henry, un homme immoral et qui ne le cache pas. Il éveille les parties les plus sombres du héros en lui révélant sa vision des choses et l’existence de la perfection grâce au talent oratoire dont il est pourvu. C’est ainsi que Dorian Gray prend conscience de sa beauté éphémère et devient jaloux du tableau

ciné-club de Montmorency a mis en salle Le Règne de la beauté, un film de Denys Arcand. Le film traitant des sujets comme la passion, le désir et la perfection, mettait en scène entre autres Éric Bruneau, Mélanie Merkosky et Mélanie Thierry. Dans le texte qui suit, on y verra un résumé général du film, ses bons et ses moins bons aspects, ainsi que l’ambiance et la réaction du public après sa représentation. Le durement critiqué Règne de la beauté de Denys Arcand raconte l’histoire de Luc, un homme

un être fantastique : v. 3 « une fée ». Ensuite, il la caractérise par sa beauté et son allure échevelée : v. 11 « la belle folâtre ». Puis il insiste sur son côté indépendant, sauvage et toujours sur sa beauté: v. 15 « la belle fille heureuse, effarée et sauvage ». ► 6. D'emblée, le vers 1 montre plutôt son côté sauvage grâce aux adjectifs qualificatifs attribut « déchaussée » et « décoiffée » et le vers 2, son côté naturel, en communion avec la nature environnante décrivant la scène d'une

passante d’une façon bien différente. / Pour sa part, Baudelaire, évoque la beauté et le côté extraverti de la passante. En effet, il y va d’emblée en dressant un portrait enchanteur au sujet de la femme qui possède une beauté à en couper le souffle. Par l’utilisation de la métonymie, (vers 5), le narrateur vient prouver à quel point il idéalise cette femme à la beauté unique. Le fait qu’elle possède une si grande beauté vient expliquer pourquoi Baudelaire a posé un regard admirateur sur celle-ci