Corpus Sur Le Tyran

célèbre représentant est Hippocrate de Cos (460-vers 370 avant J. C.), contemporain de Socrate, influenca Platon, qui utilise souvent l'exemple de la médecine dans ses dialogues et mentionne plusieurs fois Hippocrate lui-même (Protagoas, Phèdre). Un corpus important d'ouvrages attribués à Hippocrate est parvenu jusqu'à nous, mais il est probable que tous ces écrits ne sont pas de lui. La lecture de quelques uns de ces ouvrages est intéressante pour se faire une idée de ce qu'était cette médecine dont

bibliothèques, des manuscrits médiévaux qui ne sont pas exploités. On arrive aujourd’hui à retrouver la couche extérieure (car autrefois, on écrivait par-dessus). Tous les écrits païens ont été supprimés, certaines ont été conservés (durant la chrétienté). Le corpus des œuvres littéraires est essentiel clos. Il y a peu de chances que cette source soit reconstitué. - Les multiples apports de l’archéologie. Certains ont été brulés. Le bloc était confiné à certain endroits. On n’ose pas y toucher. Elle nous apporte

que la forme totalitaire de gouvernement a peu de rapport avec la soif de pouvoir, et donc un des signes que le gouvernement totalitaire «n’est pas dirigé par une clique ou un gang » . De plus le chef totalitaire se démarque des despotes et des tyrans précédents car il semble croire que la question de sa succession n’est pas d’un grand intérêt, qu’aucune préparation ou qualité ne sont requises pour la tâche, et que le pays obéira à quiconque se trouvera désigné au moment de sa mort et qu’aucun

corruption autour du pouvoir. Un seul homme se présente comme sauveur. Auquel la masse se plie. Gouverne alors seul, selon ses propres désirs. Loin de toute idée de sagesse et de vertu. Au début, il bénéficie du soutien populaire, mais ensuite il se mue en tyran : despote, utilise la violence comme mode de gouvernement. Peuple qui croit retrouver sa liberté devient alors esclave de son maître. Parenthèse : évolution de la pensée de Platon Fin de sa vie, il atténue, adoucit sa pensée et son intransigeance

code gregorien) puis on a des œuvres officielles (code theodosien, code justinien). Justinien veut unifier le territoire, le droit et le pouvoir. La constitution SUMA REIPUBLICAE du 7 Avril 529 porte publication du code. Le corps du droit civil (CORPUS IURIS CIVILIS) comporte 4 éléments : -le code -les novelles -les institutes -le Digeste D'abord, le Code regroupe toutes les constitutions impériales d'Hadrien à Justinien. Le Code utilise comme materiaux de base les œuvres privées et officielles

composer des pièces. Or les comédies et les tragédies n’obéissent pas aux mêmes principes de construction (même si elles présentent parfois certains points communs) et n’ont pas les mêmes effets envers le public. À partir d’exemples tirés de deux corpus constitués d’extraits de pièces, nous vous proposons d’approfondir votre maîtrise de la lecture analytique et de la lecture cursive. Il s’agira pour vous à la fois d’envisager les textes dans leur détail, mais aussi d’avoir une vue générale sur le

ancienne, que l'affirmation du positivisme juridique avait contribué à refouler. C'est à elles que renvoie l'Antigone de Sophocle [496-406 av. J.-C.] lorsque, pour se justifier d'avoir donné une sépulture à son frère en contrevenant aux ordres du tyran Créon, elle affirmait avoir obéi « à des lois non écrites des Dieux, qui ne sont ni d'aujourd'hui, ni d'hier », à des lois immuables, éternelles, supérieures aux lois positives. Les polémiques avec les sophistes contribuent à les ramener au premier

du code pénal de Marc Dufraisse et La Restauration de l'autorité par un ex-représentant attribué à Théophile Thoré.[28]Le livre de l'exilé d'Edgar Quinet publié en 1875, par sa veuve, ouvrage cependant écrit en 1852 peut aussi faire partie de ce corpus. Cette œuvre multiple est publiée à Londres, Bruxelles, Amsterdam, Madrid mais les lieux d'édition voire les noms des éditeurs sont souvent un leurre destiné à déjouer la censure. Qu'ont en commun ces titres ? tout d'abord de n'être guère passés

composer des pièces. Or les comédies et les tragédies n’obéissent pas aux mêmes principes de construction (même si elles présentent parfois certains points communs) et n’ont pas les mêmes effets envers le public. À partir d’exemples tirés de deux corpus constitués d’extraits de pièces, nous vous proposons d’approfondir votre maîtrise de la lecture analytique et de la lecture cursive. Il s’agira pour vous à la fois d’envisager les textes dans leur détail, mais aussi d’avoir une vue générale sur le

des coutumes anciennes ou à des principes supérieurs qui ont pu être édictées par des religions, coutumes ancestrales qui constituaient des lois non écrites. La loi qu’on écrira nomos sera donc une norme générale qui souvent a été imposée par des tyrans ou par des législateurs qui sont apparus dans toutes les cités, sont désignés pour une très courte période à l’occasion de grandes difficultés, ils bénéficient des pleins pouvoirs. Dans ces circonstances, la loi est apparue comme un moyen d’assurer