Corpus Sur La Femme Au 18eme Siécle

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droit constitutionnel était donc conçu comme une branche de la science po, et il a fallu attendre le début du 20e siècle pour que réellement le droit const commence à être étudier, enseigner, comme une discipline à part entière. L'apparition de cette discipline coïncide avec la démocratisation de la société française. Ce qui marque un tournant c'est l'apparition au début du 20e siècle de l'idée selon laquelle une constitution, qui est une norme fondamentale, pour qu'elle soit respectée, il est impératif

politique très arbitraire. Les Barons anglais et le peuple ont poussé le roi à rédiger cette charte. « Petition of right » : 1628 au Royaume-Unis, aussi pour limiter le pouvoir du Roi Charles 1er, mais ses promesses n’ont pas été respectées. « Habeas Corpus Act» : 1679 : déclare qu’une personne ne peut être arrêtée arbitrairement, l’individu a le droit d’être informé des raisons de son arrestation et le droit d’être amené devant un juge dans les 48 heures. « Bill of Rights » : acte que le roi a dû signé

des conséquences que la loi ou le magistrat tire d’un fait connu à un fait inconnu ». Exemple : la présomption de paternité. En quoi est-ce une présomption ? Fait connu : l’enfant est né de telle femme. Or : La femme est mariée. Présomption : On présume que le géniteur de l’enfant est le mari de cette femme. 
 Autre exemple  : La possession c’est le fait d’exercer une emprise sur un bien. S’agissant d’un meuble, c’est le fait de l’avoir entre les mains ou de le conserver chez soi. S’agissant d’un

l’univers). Le problème du droit divin c’est de le connaître car ce sont toujours des hommes (prêtres, rois, illuminés…) qui nous disent la volonté de dieu. On parlera de droit révélé ou transmis. Condillac (philosophe français du XVIIIème siècle) dit que l’être humain est emprisonné sous sa carapace, et il ne peut concevoir les choses qu’à travers le « prisme déformant » de ses sens. Les religions principales ont admis ce droit divin, l’existence d’un corps de règles idéales et immuables

phénomènes. L’apport de l’histoire littéraire est à cet égard irremplaçable. Néanmoins, on se gardera d’identifier nécessairement un texte ou un auteur à un courant ou à une école. Plus précieux apparaîtront les rapprochements avec d’autres textes du même corpus ou avec des œuvres antérieures ou de la même aire, la mention d’une évolution relevant de l’histoire de la sensibilité, la prise en compte des conditions de la réception. Une appréciation esthétique modérément personnelle sera particulièrement valorisée

constitutionnel est un droit. Pendant longtemps il n’a pas été considéré comme faisant parti du droit et donc des matières juridiques. A l’origine, le droit constitutionnel et la science politique se confondent. Jusqu’à la première moitié du XXème siècle, le droit constitutionnel était question de l’organisation et du fonctionnement du pouvoir politique dans un Etat donné. Les questions constitutionnelles étaient abordées avec les méthodes des sciences politiques, on accordait beaucoup d’importance

pourquoi les Anglais ont gardé la monarchie et que la France l’a abolie. Il cherche les causes de cette révolution, il explique que en fait la révolution est dans une large mesure est la conséquence de la monter de l’idéologie égalitaire qui précède le siècle de la révolution. Développement de l’idée égalitaire : remise en cause de la fonction social et politique de la noblesse, administration royal remplace les aristocrates = ils vont devenir moins utiles, leur rôle social va être contesté et leurs privilèges

pouvoir et par le truchement de ceux qui l'exercent I. L’idée abstraite de l’Etat En tant qu’idée: l’Etat relève de la spéculation théorique A. Les conceptions théoriques de l’Etat Conceptions de l’Etat: - chez les philosophes (des XVIIe et XVIIIe siècles) : phénomène contractuel Faiblesse: tenir l’Etat pour le résultat d’un contrat social (passage de l'état de nature à l'état de société, théorie dans réalité historique et sans fondement anthropologique, c’est un mythe (reproches communs aux théories

chronologiquement, au 18ème) -Théorie socialiste, dite théorie de l'impôt solidarité (1850) À cela, on peut rajouter la théorie de l'impôt négatif, qui est une réaction aux deux premières théories et qui est appliquée actuellement. Ces théories ne remettent pas en cause l'impôt, elle le légitime et contribuent à renforcer le consentement à l'impôt et son rôle dans l'organisation de la vie en société. A La Théorie de l'impôt échange Cette théorie émerge au 18ème puis se poursuit et a