Corpus Lyrisme

subjectivité Verbes (+ d'émotion, - d'action ) ex. + Scène sans action réelle, traduction des pensées d'Elvire Verbes au passé(péchés), présent(pensées), futur(châtiment), impératif(ordre) (41-46) Elvire supplie DJ – Paradoxe : Elvire devient la victime Lyrisme : ex. + Tentative de susciter la compassion de DJ, expression des sentiments passés ou futurs Registre de langue : soutenu (voc. Riche (34-36), phrases complexes(23-31)figures de style) 2ième axe : Seule réplique de Sganarelle : ! = pitié envers

Supervielle (Jules) (1884-1960) Poète et dramaturge français. Issu d'une famille de banquiers d'origine basque, Jules Supervielle naquit à Montevideo en 1884. Très vite orphelin quand ses parents furent emportés par le choléra, il fut élevé par des membres de sa famille d'abord en Uruguay, puis fut envoyé en France. La perte de ses parents influencera sa sensibilité et lui inspirera des oeuvres sur les thèmes du manque, de l'absence et de la mort. Une fois en France, le jeune Supervielle

se reporter à l’exposé.) Contexte : Seconde Guerre mondiale ; des poètes exaltent le courage et le martyre des Résistants par un lyrisme de l’unanimité humaine, comme Paul Eluard (ex : « Liberté »). D’autres préfèrent une forme de prophétisme comme Pierre Emmanuel. Aragon revient à la tradition nationale. Dans ce poème, l’inspiration militante se double d’un lyrisme personnel. Dans le recueil, publié en 1945, il est placé entre « Il n’y a pas d’amour heureux » et « Une entre toutes les femmes »

qu'il intitule "Le lyrisme et l'histoire". Pour mettre en perspective le versant lyrique de l'œuvre de Camus, Hervé Ferrage étudie les rapports conflictuels entre lyrisme et histoire. Le terme "lyrisme" au sens d'élévation, emportement, apparaît dans le premier tiers du XIX° siècle. Il prétend à l'universel; l'intime devient alors modèle de l'infini; l'unité est soit reconquise, soit espérée. En France, les premiers Romantiques, avec Hugo, revendiquent l'alliance du lyrisme et de l'Histoire: le

“jamais” = négation exclusive = unicité + essaie de la culpabiliser > son amour est supérieur au siien. - Accumulation “je” > il pense d’abord à lui. Il n’est pas sûr que son charme ait marché > Atténuation à la fin 2 X “votre” + interjection “Oh” = lyrisme - Elle ne la retira pas > mise en valeur “il” et “elle” sont séparés par l point virgule > idée du couple - Passé simple = action soudaine, unique > importante + puis utilisation de l’imparfait = durée > c’est acquis pour Rodolphe + “et” :

(Introduction) "L'écrivain est toujours dans son temps" affirmait Jean-Paul Sartre dans Situation. Pour lui, la littérature se devait d'être engagement et d'assumer une " fonction critique et politique ". Néanmoins, beaucoup d'artistes, et notamment des poètes, envisagent leur travail comme un jeu. Le sérieux de propos leur importe moins que le jeu sur les mots et les sonorités. Ainsi, on peut se demander si la poésie qui ne se prend pas au sérieux est encore de la poésie. La poésie ludique est-elle

sacré. - Pierre de Ronsard (1524-1586) pratique quatre grandes formes : 1. l'ode, 2. le sonnet, 3. l'hymne, 4. le discours. - Joachim du Bellay (1522-1560), auteur du manifeste Défense et Illustration de la langue française, fait preuve d'un lyrisme profond et vrai. Il se traduit à travers quelques thèmes : la force destructrice du temps, la beauté et la gloire du passé, la nostalgie pour son pays et l'admiration de la nature. -La poésie engagée et philosophique, moins proche de nous, tient

susciter de l’émotion par la pureté des vers. Ceci est un des principes du lyrisme. Le « Je » lyrique est un moyen de s’identifier à travers le poème. En effet la poésie est souvent associée au lyrisme dont un des ses principes est l’expression personnelle des sentiments du poète. Les auteurs parlent en leur nom et utilisent donc la première personne du singulier. Ils font ainsi partis du poème. Le lyrisme est issu de La Lyre, qui accompagnait, à L’Antiquité, les chants. C’est depuis

Joachim du Bellay est un poète français né vers 1522, Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes auquel Du Bellay donna son manifeste. la Défense et illustration de la langue française. Joachim Du Bellay rédige ce sonnet lors de son séjour de quatre ans à Rome. Il y accompagne en effet son oncle, le cardinal Jean Du Bellay, qui est en ambassade pour le roi de France auprès du pape. Il lui sert de secrétaire particulier et d’intendant. Ce

français, avec le fameux « Ô temps suspends ton vol ! » Le mouvement romantique se développe ensuite autour de Victor Hugo, Stendhal, Vigny Le romantisme se caractérise par l’appel à la sensibilité individuelle, aux émotions, à l’imaginaire, et par le lyrisme (l’expression poétique de sentiments personnels). Le romantisme prône la victoire des passions et des sentiments contre la raison : c’est l’amour sous ses formes les plus extrêmes, la mélancolie… Avec le romantisme apparaissent de nouvelles formes