Corpus L Honnête Homme

jours de Mme de Rênal, mais il n’y arrive pas. Emprisonné, à cause de sa tentative de meurtre, il recevra les visites Mme de Rênal qui lui pardonne son acte impulsif et de Mathilde aussi. Julien sera condamné à mort. Ce qui a motivé le choix de ce corpus en particulier parmi tant d’autres. C’est qu’il nous a était offert, il y a quelque années par une personne qui nous est très chère, mais aussi notre goût pour les classiques de la littérature française et le vintage. Au moment de sa lecture nous

problématiser. La séquence 1 aborde le genre romanesque à partir de la notion du personnage. Elle fait entrer dans l’atelier du romancier pour éclairer différents modes de fabrication et de création du personnage, parfois divergents. Le premier corpus (« Le personnage et le spectacle du monde ») permet de s’interroger pour comprendre comment des personnages prennent vie, parviennent à s’incarner et à gagner en épaisseur. Le personnage prend corps et identité à partir d’éléments du réel (noms

premier de ces grands règne ce sera le règne de Philippe Auguste. I/ Le règne de Philippe Auguste. Il dure 43 ans. Sont règne est marqué par le rétablissement de la suprématie du roi sur les grands. Il  va étendre de façon considérable et durable le domaine royal.  « C'est un jeune homme beau et bien bâtit, il est chauve, rouge et bien en chaire; son visage respire  la joie de vivre. Généreux avec ses amis, il convoite le bien de ses adversaires, il est expert dans l'art  de l'intrigue, il se montre dompteur des superbe, défenseur de l'Eglise

sur le désastre de Lisbonne, l’incompréhension est cette fois du côté de ce dernier. Il répond : « Rassasié de gloire et désabusé des vaines grandeurs, vous vivez libre au sein de l’abondance : vous ne trouvez pourtant que mal sur terre ; et moi, homme obscur, pauvre, tourmenté d’un mal sans remède, je médite avec plaisir dans ma retraite et trouve que tout est bien. D’où viennent ces contradictions apparentes ? Vous l’avez-vous-même expliqué : vous jouissez, moi j’espère, et l’espérance adoucit

qu’elle lui eut donné un fils (ou trois selon les versions). VINCENT DEMERS, MD., Les mille et une nuits, analyse des contes, avril 2000, Québec http://pages.infinit.net/vdemers/nuits.html 2004 - "Plutôt que misogyne (une femme honnête y est victime d’un homme sans scrupules), l’intrigue est « féminicide », elle travaille à la destruction de la féminité, atteint les femmes dans leurs traits spécifiques, voire leur dénie le droit […]", Durtral, Bulletin de la Société J.-K. Huysmans, n°97, page

groupement de textes portant sur la crise du personnage afin d’introduire des œuvres du XXe siècle. Tous les textes étudiés et les documents proposés sont disponibles dans les dernières pages de ce document. 2Séance 1. Introduction Support : le corpus de documents sur la mode. Durée : 1h. Objectif : Introduire le roman en s’interrogeant sur la pertinence de son sujet, la mode, afin percevoir dans quelle mesure elle est un élément important de la société, qui reflète ses évolutions

problématiser. La séquence 1 aborde le genre romanesque à partir de la notion du personnage. Elle fait entrer dans l’atelier du romancier pour éclairer différents modes de fabrication et de création du personnage, parfois divergents. Le premier corpus (« Le personnage et le spectacle du monde ») permet de s’interroger pour comprendre comment des personnages prennent vie, parviennent à s’incarner et à gagner en épaisseur. Le personnage prend corps et identité à partir d’éléments du réel (noms

savoir s’il a suivi les règles d’une écriture autobiographique tout au long de son roman ou bien il a eu recours à une autre méthode d’écriture, celui de l’autofiction. Nous sommes tentés également à étudier le rapport existant entre notre corpus et les deux notions en question : l’autobiographie et l’autofiction. I. L’AUTOBIOGRAPHIE : Comme il existe une pluralité de textes littéraires appartenant au genre autobiographie, tels que les romans et les portraits autobiographiques, nous avons

récit de Pierrot (p. 30-31, l. 52-68). Un trait de caractère présent en filigrane à l’acte I se manifeste ici plus nettement : la violence possible de Dom Juan à l’encontre de ceux qui se mettent sur sa route (c’est son côté « grand seigneur méchant homme » énoncé par Sganarelle à la fin de la première scène du premier acte). Un nouvel aspect apparaît : le caractère un peu ridicule du séducteur. En effet, le récit de Pierrot est drôle car le personnage est comique, mais il l’est aussi parce qu’il décrit

A. Le choix de la lettre absente Amputation de nom du pers. Anton Voyl = Antoine Voyelle => Amputation du nom de l’auteur : Perec < Perezt e = ﻮ dans le miroir G : initiale de Georges Par le titre du chap., il renvoie à son propre texte Un homme qui dort et donc à la thématique de la perte de lien ac le monde. Le titre du roman : La disparition = réf aussi à la disparition du « e », pq autre ouvrage = Les Revenentes avec seulement la voyelle « e » C’est la lettre la + employée en français