Corneille Clitandre

COMMENTAIRE « Médée » de Pierre Corneille Reprise par un grand nombre d’écrivains, tels que Sénèque, Euripide ou encore Jean Anouilh, le personnage de Médée est souvent interprété différemment en fonction de l’auteur. Elle incarne depuis l’Antiquité l’effet dévastateur de la vengeance et de la passion. Dans la version de Pierre Corneille, créée en 1635, Médée ne cède pas de suite à la vengeance, et c’est après une discussion avec elle-même qu’elle laisse éclater sa colère. La présente

Tout en faisant une étude approfondie des œuvres telles Phèdre et Horace, délibérons l’image de la femme. Horace est une pièce de théâtre de Pierre Corneille inspirée du combat entre les Horace et les Curiace. Elle fut jouée pour la première fois en mars 1640. La pièce, dédiée au cardinal de Richelieu, fut le second grand succès de Pierre Corneille. Le sujet est emprunté à Tite-Live, Titus Livius en latin, est un historien de la Rome antique, auteur de la monumentale œuvre de l'Histoire Romaine

L'Illusion comique, par Galin Stoev L’Illusion comique (1635) de Corneille représentée pour la première fois au théâtre du Marais en 1636 et publiée en 1639 chez François Targa est ici mise en scene par le bulgare Galin Stoev. A trop faire de reproches à son fils, on le perd et le regret de cet éloignement vous fait chercher tous les moyens de le revoir. C'est ce qui arrive à Pridamant que son ami Dorante conduit alors chez Alcandre, un homme hors du commun capable de miracles

Introduction L'illusion comique est une pièce de théâtre en cinq actes écrites par Pierre Corneille en 1935, représentée pour la première fois au théâtre du Marais en 1636. La notion de baroque est récente, elle n'est adoptée qu'au XXème siècle pour désigner une sensibilité commune a tous les arts. Il ne s'agit donc pas d'un mouvement au sens moderne dont se réclameraient artistes et écrivains. Né de la crise des valeurs humanistes, ce courant se reconnaît à son gout de l'ostentation, des contrastes

tragédie à fin heureuse. ll avait donc paru nécessaire de créer un mot différent pour désigner ce genre hybride. Et pourtant, Corneille et Racine oseront, sur ce point, contredire Aristote et l'opinion traditionnelle. En effet, si la fin catastrophique était une condition absolue, une pièce telle que Cinna ne pourrait être classée comme tragédie. Dans cette pièce, Corneille s'inspire d'un épisode de l'histoire romaine: l'empereur Auguste découvre que Cinna, qu'il aimait et protégeait comme un fils

metteur en scène est unique. Chacun est libre d'interpréter une pièce de la manière dont il le désire, à ses risques et périls. Thomas Le Douarec, en tout cas, n'a pas froid aux yeux : avec sa mise en scène quelque peu osée de l'oeuvre « Le Cid » de Corneille, il s'expose sans crainte aux critiques négatives venant d'amateurs de théâtres plutôt conservateurs mais ne recule cependant pas. Il est vrai que tous les éléments de cette mise en scène semblent provoquer le public, allant l'affiche de la pièce

tragédie à l'époque classique a été marquées par deux grands dramaturges : Jean Racine et Pierre Corneille. Elle respecte toutes les règles vue précédemment, (3 unités, bienséance ...) On critiqua beaucoup les pièces de ces deux auteurs, car elles ne contenaient pas de dénouement fatal (jusque là prisé pour toutes sortes de tragédie.) Racine répondit en contestant le plan conventionnel de la tragédie. Corneille fesait lui de la tragi-comédie, c'est à dire une tragédie à dénouement heureux. La tragédie

Biographie de Pierre Corneille Né en 1606 à Rouen dans une famille de moyenne bourgeoisie, Corneille connaît très tôt le besoin d'ascension sociale.Grâce au succès du Cid, Corneille reçoit en 1637 son quartier de noblesse.Chez les jésuites où il est élevé, il apprend à écrire les vers latins dont le rythme se retrouve parfois dans ses tragédies. C'est là également qu'il découvre le théâtre car les jésuites faisaient fréquemment jouer des pièces à leurs élèves.Toute sa vie, Corneille mène une double

Le style est élevé. Le final n’est pas toujours malheureux. Certaines tragédies finissent bien mais elles sont rares. La tragédie a toujours une fin morale. Les deux plus grands tragédiens sont Jean Racine (1667 Andromaque, 1677 Phèdre) et Pierre Corneille (1637 Le Cid, 1640 Horace). 4) La comédie Elle est d’abord considérée comme un genre mineur. Molière va la faire évoluer et lui donner une certaine noblesse. Il s’inspire lui aussi des auteurs anciens et utilise les règles classiques dont nous

sont pas imaginables dans la vie (pièces à machine, faire voler un acteur avec un câble..) c) Des procédés comme le "théâtre dans le théâtre" soulignent la facticité (caractère d'être faux) de son propre spectacle. Ex : L'Illusion Comique de Corneille III) Le théâtre n'est pas un reflet, exact ou inexact, ce n'est pas son but, mais une création, une interprétation du monde. a) C'est une construction artistique, deux visions particulières du monde et de la société, celle de l'auteur et celle