Corbusier Le Dehors Est Toujours Un Dedans

l’architecture contemporaine. Et puis, il reste tout un pan de l’architecture, sûrement la plus grande partie de la construction mondiale, qui se passe des architectes. Cette architecture est l’architecture dont ne parle pas l’histoire du monde. Elle a toujours été culturellement identifiable dans les mondes qui l’ont élaborée. Elle est aujourd’hui le produit direct de la mondialisation, et reflète la position mondialiste, d’une part sur les questions de conservation d’un patrimoine, et d’autre part sur

les militaires, les ministres. « Imaginez une France débarrassée des prêtres, des cardinaux, des militaires, des généraux. Imaginez une France avec seulement les artistes et les artisans ». Karl MARX va reprendre ces idées. L’analyse marxienne est toujours enseignée en philosophie, car elle se situe dans une lignée de chercheurs qui ont essayé de comprendre une société bi-classe : ceux qui possèdent les moyens de production et ceux qui possèdent la force de travail. Il y a un rapport antagoniste entre

afin d’en comprendre ses atouts. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, se type de lotissement a beaucoup évolué, notamment en Europe car c’est notamment en Allemagne qu’il est né au 19ème siècle. Ces types d’aménagements étaient et sont toujours appelés des « siedlung ». Il désigne un secteur péri-urbain aménagé de façon planifiée. Les propriétaires de ce type de logement pouvaient y vivre et travailler en autarcie. Dans un contexte d’effacement de l’opposition ville/campagne, un programme

également, eut lieu aux États-Unis la première Conférence nationale d’urbanisme. Entre le premier après-guerre et la fin des années 1960, l’urbanisme progressiste s’imposa, consacrant la figure de l’architecte français d’origine suisse Le Corbusier. Il resta néanmoins cantonné dans la théorie et dans une expérimentation limitée jusqu’en 1945, année après laquelle il trouva de nombreuses applications sur le terrain. Cette période fut caractérisée par l’effacement progressif du projet social

qu’avec le temps, dans lesquels étaient maintenus jusque là les différents arts, leur tenant lieu de définition, n’ont plus de raison d’être. C’est donc à un travail de redéfinition (puisque qu’il ne s’agit que de convention) que doivent s’atteler, toujours selon Rosalind Krauss, les critiques et les théoriciens, les artistes les ayant déjà reformulées par leur propre production. Richard Serra, walking is mesuring Fondation Serralves, Porto, Portugal. Photo V. Toffaloni. Ce travail très spécifique

pour une quantité de ressource naturelles qui elles ont tendances à diminuer en raison de notre activité et de son impact sur l’environnement. La deuxième moitié du XXe siècle a connu un optimisme technologique sans fin. Le siècle de la course au toujours plus loin, plus vite, plus grand. Il aura été le siècle qui à transformer notre relation à l’espace et au temps. Il est le siècle du développement de l’industrie nucléaire, celui de l’automobile, de la croissance, du rêve américain, de la consommation

l’acteur, même figé, ou de décors, même minimalistes, (voir les pièces de Beckett, en particulier Oh les beaux jours, pièce dans laquelle le personnage de Willie est enterré dans un mamelon). La chair, l’objet, le détritus, sont toujours présents, en représentation sur la scène; exhibés comme au cirque, au musée, ou au zoo. L’espace et les êtres y sont disposés de manière rationnelle en fonction d’un paradigme du « vu » et du « voir », mais aussi d’une

dansée. C’est un lieu de représentation, mais aussi de rassemblement … » Denis Bablet, la remise en question du lieu théâtral au Xxéme siècle, Le lieu théâtral dans la société moderne. 2d. CNRS, 1963. 2 « Construire une salle de spectacle, c’est toujours construire un paradoxe. C’est inscrire dans la matérialité d’un lieu, un temps bref, intense, dynamique signifiante » écrit Marie Christine Loriers dans Technique et architecture, « Le théâtre est un art de l’éphémère, il n’installe son espace que

fonctionnalisme. Larousse, definit le fonctionnalisme comme « une doctrine selon laquelle, en architecture et dans le mobilier, la forme doit toujours être l'expression d'une fonction, d'un besoin .» Plusieurs acteurs ont participe à mettre en scène ce principe. En Europe, il y a ceux qui se passent de presentation en la personne de Le Corbusier et Mies Van Der Rohe, alors qu'en Amerique, Luis Sullivan, est connu grâce à sa celèbre phrase « la forme suit la fonction » par laquelle se resume

vie (l’éducation, les services, l’artisanat, la culture. Ce qui fait qu’aujourd’hui la demande est très large et très complexe. L’Architecture doit donc s’intéresser à la société d’aujourd’hui et même anticiper sur la société future. Ex : Le Corbusier a anticipé sur l’architecture urbaine. Son architecture répond à la demande mais aussi aide à reformuler l’usage. Et les Questions sociales évoluent selon les périodes. Ex : l’endroit de travail dans le logement domestique (avant l’habitant travaillait