Copernic Et Les Sauvages

partir du 16ème siècle, la nature devient un domaine de réflexion à part entière. Elle est étudiée indépendamment des écrits religieux ou des écrits d’Aristote. De nouveaux instruments permettent de mieux connaître la nature (lunette astronomique de Copernic). On comprend mieux la nature, on veut la contrôler. A coté de l’ordre providentiel il pourrait y avoir un ordre dominant la nature. La Renaissance c’est la redécouverte des arts, de la littérature et de l’histoire politique de la Grèce et de Rome

épistémologiques sont donc bien cette observation première, mais aussi la théorie de Ptolémée et les idées religieuses qui plaçaient la terre au centre du monde. Il a fallu un niveau d’abstraction important et une rupture épistémologique opérée par Copernic (1473-1543) qui plaça le soleil au centre et introduisit la notion de système solaire, puis par Galilée qui fut condamné pour cette théorie. 3. De la science normale aux révolutions scientifiques C’est Thomas Kuhn (1922-1996), philosophe et historien

» sont ainsi nommés parce qu’ils appliquent leur réflexion aux disciplines à dimension « humaine » (telles la philosophie, l’astronomie, l’arithmétique, etc.) par opposition aux dogmes dispensés par l’enseignement théologique. Les découvertes de Copernic (1473-1543) ruinent l’idée que la Terre et l’homme sont au centre de l’univers. Avec la Réforme, l’unité religieuse vole en éclats : catholiques et protestants s’affrontent dans les « guerres de religion » qui ensanglantent la deuxième moitié du

bois dégage quelque chose de la lumière divine. Le plus loin du Dieu vivant, on trouve la terre, l'eau et la pierre. Je dis que tout ce qui est participe du mystère divin. Nous voyons que quelque chose brille au fond d'un tournesol ou d'une pensée sauvage. Un papillon qui volette de fleur en fleur ou un poisson rouge qui nage dans son bocal nous font pressentir ce mystère insondable. Mais c'est grâce à notre âme que nous nous approchons le plus près de Dieu. Là seulement, nous faisons un avec le grand

bois dégage quelque chose de la lumière divine. Le plus loin du Dieu vivant, on trouve la terre, l'eau et la pierre. Je dis que tout ce qui est participe du mystère divin. Nous voyons que quelque chose brille au fond d'un tournesol ou d'une pensée sauvage. Un papillon qui volette de fleur en fleur ou un poisson rouge qui nage dans son bocal nous font pressentir ce mystère insondable. Mais c'est grâce à notre âme que nous nous approchons le plus près de Dieu. Là seulement, nous faisons un avec le grand

le crâne, ils arboreront avec une nonchalance calculée dans les corrals leurs santiags et leurs protections en cuir frangé. De vrais mâles capables de braver le danger pour tenir les huit secondes fatidiques sur un taureau en colère ou un cheval sauvage. Dès que s’ouvriront les portes de la carrière, épaules rejetées en arrière, visage tendu, ils mettront toute leur énergie à défier les lois de l’équilibre et à laisser passer le grand séisme. Il y aura des chutes et des fractures, et la foule saura

c’est un peu ce que l’on trouve dans le cas de Hobbes, surtout si on se penche sur sa philosophie. Dans son De cive (1642) il affirme voiloir appliquer à ce qu’il appelle précisément la « phylosophie civile » (civil philosophy) les méthodes de Copernic et Gallilé. Dans son Léviathan (1651), il introduit un certain nombre d’hypthèses sur la nature humaine à partir desquelles il entend réfléchir sur la société. Comme les docteurs de la scolastique, il veut montrer que certaines institutions (telle

des instruments et des techniques de navigation. Le disque à droite de la carte représente un planisphère enveloppé dans les cercles du ciel. À cette époque, on pense encore que la Terre est au centre de l’univers. La théorie héliocentrique de Copernic encore inconnue sera ensuite discutée pendant tout le XVIe siècle. 2. La navigation apparaît comme compliquée pour les capitaines de vaisseaux qui disposent de trop peu de données scientifiques pour naviguer (doc. 1) et comme périlleuse pour les

tomber. Guiot de Dijon : chanson de croisade, chanson de femme Je chanterai pour mon cœur Que je veux réconforter, Car malgré ma profonde souffrance Je ne veux ni mourir ni devenir folle, Alors que je ne vois personne revenir De cette terre sauvage Où se trouve celui qui apaise Mon cœur lorsque j’entends parler de lui ! Mon Dieu, Quand ils crieront « En avant ! » Ô Seigneur, aidez le pèlerin Pour lequel je tremble, Car impitoyables sont les Sarrasins. Je souffrirai mon malheur Jusqu’à

espagnols. A partir de l’effondrement des Mayas, on s’est demandé comment pouvait disparaitre une civilisation. Cela s’expliquera par le fait que les Mayas ne faisaient pas attention à l’exploitation des sols, l’exploitation forestière absolument sauvage et une surpopulation ; tous ces éléments ont causé la chute de cette civilisation. (Il y a un film très récent fait par Mel Gibson apocalipto : récit qui explique l’effondrement des Mayas). Ensuite ce fut la conquête de l’empire Inca. En 1525, c’est