Controverse De Valladolid Sacrifice Du Fils

nouveaux horizons pour les Européens .......................... 98 Étude Tenochtitlan, capitale d’un Empire aztèque conquis par la force .................................................................................... 99 Étude La controverse de Valladolid .................................................. 100 Étude Séville, le grand port européen des Amériques ................ 102 Étude Histoire des Arts Pékin, capitale d’un empire fermé aux étrangers ? ...........................

va se demander s’ils sont vraiment des hommes, si ces créatures nouvelles font partie de l’humanité ou si c’est le chaînon manquant entre l’animal et l’homme (= occidentale) (plus proche de l’animalité). En 1550 va se dérouler en Espagne, ville Valladolid, un débat important avec Las Casas et Sepulveda2. Ce débat, extrêmement célèbre à l’époque, a pour grande question : « est-ce que les indiens sont humains ? Ont-ils une âme ? Descendent-ils d’Adam ? » Si on considère qu’ils ont une âme, ils sont

les rangs de la Croix-Rouge pendant la Seconde Guerre pour soigner les enfants, il se consacre par la suite à l'écriture de manière exclusive. En 1962, l'Académie française lui ouvre ses portes. 2Citons ses pièces les plus célèbres : La Reine morte, Fils de personne, Malatesta, Le Maître de Santiago, Port Royal, Don Juan, Le Cardinal d’Espagne. 3 Henry de Montherlant, Notes, Théâtre, Paris, Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, 1972, p.xxiii. 4 Jacques de Laprade, dans la préface du Théâtre de Montherlant

passeurs, et elle a été livrée à elle-même avec les autres migrants. Beaucoup sont morts, et son fils de onze mois est mort lui aussi. Elle a été sauvée par le navire de Salvatore et est arrivée en Europe. Depuis, elle a soif de vengeance et veut tuer Hussein Marouk, à qui elle a dû payer 4 500 dollars pour pouvoir aller en Europe avec son bébé. Elle le juge coupable non seulement de la mort de son fils, mais également d’avoir eu l’intention de faire dériver le Vittoria et les voyageurs à bord, pour

Bérénice A. Cabanel, Phèdre Mise en scène de Phèdre Extrait du film Œdipe Roi de P. Pasolini É. Jodelle, Cléopâtre captive E. Le Sueur, Clio, Euterpe et Thalie Pierre-Antoine Demachy, Le Louvre… Séquence 3 Racine et ses sources B. Flémal, Le Sacrifice d’Iphigénie J. Racine, Andromaque D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 Euripide, Andromaque ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE J. Racine, Andromaque TEXTE 2 J. Racine, Britannicus D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Tacite, Annales TEXTE 3 J. Racine, Iphigénie D’UN TEXTE À L’AUTRE 3

et les douze grands dieux. Les Romains adorèrent tous les dieux Grecs. Jérémie, Amos, et saint Étienne, nous assurent que dans le désert, pendant quarante années, les juifs ne reconnurent que Moloch, Remphan, ou Kium * ; qu'ils ne firent aucun sacrifice, ne présentèrent aucune offrande au dieu Adonaï, qu'ils adorèrent depuis. Il est vrai que le Pentateuque ne parle que du veau d'or, dont aucun prophète ne fait mention ; mais ce n'est pas ici le lieu d’éclaircir cette grande difficulté : il suffit

et les douze grands dieux. Les Romains adorèrent tous les dieux Grecs. Jérémie, Amos, et saint Étienne, nous assurent que dans le désert, pendant quarante années, les juifs ne reconnurent que Moloch, Remphan, ou Kium * ; qu'ils ne firent aucun sacrifice, ne présentèrent aucune offrande au dieu Adonaï, qu'ils adorè­rent depuis. Il est vrai que le Pentateuque ne parle que du veau d'or, dont aucun prophète ne fait mention ; mais ce n'est pas ici le lieu d’éclaircir cette grande diffi­culté : il suffit

et les douze grands dieux. Les Romains adorèrent tous les dieux Grecs. Jérémie, Amos, et saint Étienne, nous assurent que dans le désert, pendant quarante années, les juifs ne reconnurent que Moloch, Remphan, ou Kium * ; qu'ils ne firent aucun sacrifice, ne présentèrent aucune offrande au dieu Adonaï, qu'ils adorèrent depuis. Il est vrai que le Pentateuque ne parle que du veau d'or, dont aucun prophète ne fait mention ; mais ce n'est pas ici le lieu d’éclaircir cette grande difficulté : il suffit

dieux de la cité (les dieux des pères) et les tombeaux des aïeux. LEÇON 1 -  a cité et la naissance L de la démocratie (pp. 52-53) Doc. 1 : Les réformes de Clisthène Après la chute, en 510 av. J.-C., du dernier tyran athénien, Hippias, fils de Pisistrate, Clisthène, pourtant d’origine aristocratique, ne souhaite pas un retour au régime aristocratique qui précédait la tyrannie. Il s’appuie sur le démos, comme le faisaient les tyrans, mais, contrairement à eux, il ne cherche pas à garder

même 300.000). Au plan politique, l’empire A repose sur deux éléments fondamentaux : le paiement du tribut annuel par les cités soumises, et la pratique des « guerres fleuries » visant à se procurer des captifs pour les sacrifices humains. Chaque année, les cités soumises aux A doivent leur verser une importante quantité de produits précieux et indispensables à l’élite aztèque : or, coton, fèves de cacao (boisson de luxe consommée avec de l’eau), plumes de perroquets pour