Contribution Des Importations Et Des Exportations A La Croissance

de la croissance 3 1. Analyse des contributions de la demande interne 3 2. Analyse des contributions de l’offre sectorielle 5 3. Volatilité des taux de croissance 9 II. Commerce extérieur 13 1. Structure des échanges 13 2. Evolution des échanges 15 3. Contributions régionales et sectorielles 16 Liste des tableaux 18 Introduction Le présent rapport a pour objet l’analyse de l’environnement économique du Maroc sur la période 2007 – 2013. L’ensemble des chiffres clés et des agrégats relatifs à l’économie

pas un équilibre économique. L’équilibre économique renvoie à la différence entre l’offre et la demande de biens ou de services. Ces déséquilibres sont créés car : – La demande l’emporte sur l’offre, autrement dit D>O, ▪ En période de guerre, économie de pénurie, action de rationner, on cherche à atteindre l’égalité en mettant en place des bons. ▪ De nos jours, si la demande l’emporte sur l’offre, il y a deux effets : ← Poussée des prix

Evolution en % Contribution en % ** PIB 1807,4 2 Importations 536,1 0,2966 29,66 5,3 1,57 Cons. Ménages 1013,3 0,5606 56,06 0,5 0,28 Cons. administration 482,7 0,2670 26,70 0,5 0,13 FBCF 343,4 0,1899 18,99 3 0,56 -ENF 186,4 0,1031 10,31 3,1 0,31 -Ménages 88 0,0486 4,86 2,3 0,11 Exportations 492 1807,4 27,22 5,6 1,52 Tableau de contribution du PIB 2011 Source : INSEE * Exemple : Poids = Importations/ PIB **Contribution = Poids * évolution

commerce extérieur de la France A la fin 2012, la balance commerciale française était déficitaire de 67 milliards d'euros. Le déficit s'explique en grande partie par l'importance de la facture énergétique française et la faiblesse des exportations. La balance commerciale d'un pays est un indicateur économique qui repose sur la comparaison des exportations, c'est-à-dire la valeur des biens produits dans ce pays et vendus à l'étranger,et des importations, c'est-à-dire la valeur des biens provenant

la demande 3  Repli des exportations en volume 4  Perspectives pour 2015 4  Annexes 5 Juillet 2015 En 2014, l’économie nationale gagne 0,3 point de croissance de plus par rapport à 2013 : le taux de croissance s’établit à 5,9% après 5,6% en 2013. Ce raffermissement permet de se rapprocher des objectifs d’une croissance de 6,1% en moyenne sur la période 2013-2015, consignés dans le Document de Stratégie pour la croissance et l’Emploi (DSCE). Cette croissance est principalement tirée par

émergents sur le commerce mondial La crise financière qui a affecté à partir de l’été 1997 l’Asie, puis la Russie et une partie de l’Amérique latine, s’est diffusée au reste du monde par l’intermédiaire de plusieurs canaux, dont l’un des plus importants a été le commerce international. Provoquant une contraction sévère des importations des économies concernées et redistribuant les cartes de la compétitivité, la crise a pénalisé les exportations des autres pays, en particulier ceux du monde industrialisé

empiriques sur l’économie française et sur la croissance économique et les trois principaux piliers qui contribuent à cette croissance. La croissance est la progression d’une année sur l’autre de l’offre de biens. La production augmente en fonction de la variation des débouchés. Pour la progression du PIB est dynamique, il faut que la consommation des ménages soit dynamique. Les deux autres moteurs de croissance sont l’investissement des entreprises et les exportations qui joue un rôle essentiel dans les débouchés

économique de la Nation a publié le 2 octobre 2012 un rapport économique social et financier. Il rend compte des difficultés que connait la France aujourd’hui : Le chômage frappe plus de 10 % de la population active, un niveau jamais atteints depuis 1999. La dette publique avoisine désormais les 90 % du PIB, les parts de marchés à l’exportation sont en chute libre depuis dix ans, et les inégalités se creusent. Dans ce contexte, la France ne peut espérer qu’une croissance atone en 2012, de 0,3 %.

Taux de croissance de 2,5% estimé pour 2014 et de 3,7% prévu pour 2015; Légère reprise des activités non agricoles de 3,1% en 2014 et de 3,7% en 2015 au lieu de 1,8% en 2013; Le taux d’inflation, appréhendée par le prix implicite du PIB en légère hausse passant de 1,1% en 2014 à 1,7% en 2015 ; Allégement du déficit courant des échanges extérieurs de 7,6% en 2013 à 7,1% en 2014 avant de revenir à 7,4% en 2015; Accroissement du taux d’endettement public global de 79,7% du PIB en 2014 à 81,4% en 2015

1/10 - Analyse de l'économie à partir des comptes de la Nation Classe de 1ère ES – Thème : la comptabilité nationale PRESENTATION SIMPLIFIEE DU CIRCUIT ECONOMIQUE Consommation Importations Dépôts Salaires SNF Exportations MENAGES Salaires RESTE Prêts Salaires Impôts + cotisations sociales Prestations sociales ADMINISTRATIONS PUBLIQUES Impôts + CS Primes DU MONDE Salaires Impôts + CS Impôts + CS INSTITUTIONS Sociétés financières SOCIETES D’ASSURANCE 1 FINANCIERES