Conclusion Une Charogne Baudelaire

haut d’une potence, est un objet riant, Près de cette carcasse […]11 Le donjon curieux de tous ses yeux regarde, L’arbre étend ses bras noirs; la potence hagarde Montre le poing et fuit emportant son pendu; Le corbeau qui croasse et flaire la charogne 10 Saint-Amant, Œuvres, Jacques Bailbé ed., Didier, Paris, 1971, T 1, pp. 33-48 (notre citation, qui comprend les vers 71-90, est aux pp. 39-40). 11 PC, T 1, p. 130. RÉMINISCENCES “GROTESQUES” 319 Fouette l’air lourdement, et de

être une fiction pure, rien ne permet en effet d’affirmer l’identité du Je et du poète Henri Michaux. C’est son imagination qui a créé de toutes pièces cette histoire dont l’étrangeté frappe notre imaginaire aussi bien que notre désir de sens. Conclusion Henri Michaux nous propose ici dans une prose limpide, qu’on pourrait trouver dans une nouvelle, une illustration des pouvoirs de l’imagination et du rêve. S’écartant de la réalité et de la vraisemblance, il évite aussi le merveilleux des contes

Nous avons, dit-il, de quoi payer le gouverneur de Buenos-Ayres, si Mlle Cunégonde peut être mise à prix. Marchons vers la Cayenne, embarquons-nous, et nous verrons ensuite quel royaume nous pourrons acheter. " Texte 4 : Extrait du chapitre 30 « Conclusion » : la morale du conte philosophique « Candide, dans le fond de son coeur, n'avait aucune envie d'épouser Cunégonde. Mais l'impertinence extrême du baron le déterminait à conclure le mariage, et Cunégonde le pressait si vivement qu'il ne

inutile, elle est de nouveau méprisée ; le rang social reprend des droits, et boule de suif pleure de honte. Guy de Maupassant n avait aucune illusion sur ses semblables, la vie était pour lui sans valeur. Il rejoignait en cela, le pessimisme de Baudelaire : A. Introduction : : Boule de Suif est une nouvelle réaliste de Gumy de Maupassant parue en 1880. Cette nouvelle : raconte l’anecdote sordide arrivée à Boule de Suif durant la guerre de 1870. Les thèmes : principaux sont la nourriture

aux questions 11 Questions pour l'entretien 15 19 23 28 31 35 38 42 Montaigne (1) Montaigne (2) Diderot, Bougainville Voltaire, L'Ingénu Nouveau Apollinaire, « Zone » « Le Pont Mirabeau » « Mai » « La Prose du Transsibérien » Nouveau 47 Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76 Le Jeu de l'Amour et du Hasard I, 6 81 Amphitryon I, 2 (extrait) 87 Les Liaisons dangereuses 92 Bel-Ami (incipit)

l'avènement de la Commune (1870-1871) exalte ses sentiments démocratiques.       Courbet donne mesure a son réalisme tout d’abord vers 1848 période mouvementée à Paris, dans les rues, où on l’apercevra du coté des ouvriers en blouse de travail avec Baudelaire. Dans ces semaines pleines d'espoir et de générosité, de chimères et de sang, le poète et le peintre combattent coude à coude. Il exprime ainsi sa vision de la société dans des portraits «  purs »  et des paysages. Ainsi L’Atelier, L’Enterrement et les

d’accompagnement : – pour la Séquence 1 : Les Regrets de Du Bellay ou un livre des Amours de Ronsard, dans le cadre d’une séquence jumelée avec le travail sur l’humanisme comme mouvement culturel ; – pour la Séquence 3 : l’étude des Fleurs du mal de Baudelaire sera sans doute souvent choisie, mais on pourrait opter aussi pour les Poésies de Rimbaud, les Romances sans paroles de Verlaine ou les Calligrammes d’Apollinaire ; – pour la Séquence 4 enfin : le choix est très vaste. En cohérence avec les textes

dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les autres. » (Balzac, Le Lys dans la vallée) Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (cf. plus tard Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes politiques

travers de la plaine dnude, on voyait des corps dhommes et de femmes nus, rendus mconnaissables par les bubons et ce qui paraissait dabord inexplicable couverts de plumes. (page 7) - Le bout de plaine quils taient en train de traverser tait sem de charognes de cheval, les unes couches sur le dos, les sabots dresss vers le ciel, dautres crases, le museau dans la terre. (page 7 ce pourrait tre un hommage ironique Malaparte La peau). - De temps en temps il y a un doigt qui nous indique la route (page

être,  comme le dit Baudelaire, délivré des liens de la  pesanteur  et  à  goûter  la  volupté des  lieux  hauts.  (il se lève  et  se  met  face  à  la  fenêtre, lui  tournant le  dos)  Si  au  moins je croyais, comme tous ces lâches, en l’immortalité de l’âme,  j’aurais  la  consolation de me  dire  qu’une  fois mort je  ne  serai  qu’esprit, enfin, libéré de ce  fardeau qu’est le corps. Me détacher du sol, déployer mes ailes et voler, tel l‘albatros…    ELLE  … de Baudelaire. Vos ailes de géant vous empêchent­elles de marcher