Conclusion Une Charogne Baudelaire

entre beauté / laideur, la beauté est née dans la laideur « d’une ulure à Venus » montre le dégout.La rime significative « anus » « Venus » permet l’association de la partie dégoutante de la vénus : c’est iconoclaste (casse les codes traditionnels).Conclusion :Ainsi, le sonnet « Vénus Anadyomène » casse les codes traditionnels en proposant un tableau iconoclaste d’une Vénus qui suscite dégout et horreur. Rimbaud mêle sans cesse les deux registres de la beauté et de l’horreur pour développer une esthétique

a eu trop de doutes durant sa vie et s’est exprimé trop tard. Cela a conduit à sa pendaison et donc au fait qu’il se balance encore après sa mort. On constate que l’appel à la révolte du poète est donc un échec. Il ne restera rien de lui car sa « charogne » sera dévorée par « les petits mangeurs de pourriture » et sa pensée ne sera pas entendue. La cause de cet échec est la passivité du peuple, son absence de réaction. Celui-ci est « bien trop terrorisé » pour accepter de défendre le poète et se

dévoilant un univers clos, froid et sombre. La poésie transfigure le réel pour mieux révéler des réalités inaperçues au lecteur. Selon Baudelaire dans sa préface aux « Tableaux parisiens » , il dévoile les mystères du monde et dont il doit comprendre les paroles qui lui sont confuses. De plus, dans « Elévation » le poète est un déchiffreur du monde, où « La Charogne » où le poète sublime la réalité. Le poète est donc un créateur d'un monde original que seul lui peut percevoir de par l'utilisation

après la mort de Charles Baudelaire (1821-1867). Ce recueil est mal accueilli, par la critique. Seuls quelques-uns, dont son ami Barbey d’Aurevilly, défendent la poésie de  Charles Baudelaire. Le 5 juillet 1857 parait un violent article du Figaro, qui tout à la fois assure une grande notoriété au poète et le conduit devant les tribunaux. En août 1857, six mois après le procès de Madame Bovary (pour des chefs d'inculpation similaires: immoralité et obscénité), Baudelaire est condamné ( Flaubert ne

comme l’est l’amour, où la nature où autre thème que traité les poètes classiques à l’époque. On peut donc bien dire que Ponge illustre cette idée de Reverdy en prenant un mot simple et courant pour en faire tout en poème travaillé et dense. En conclusion nous pouvons donc répondre à notre problématique initiale en disant que le poème de Ponge est une illustration du texte de Reverdy car il reprend ses mêmes idées sur la poésie pour en faire un poème. 2. Cette fois-ci, nous avons à faire à trois

ce qu’il voit, le poète doit trouver une langue particulière: “Cette langue sera de l’âme pour l’âme, résumant tout, parfums, sons, couleurs, de la pensée accrochant la pensée et tirant.”Parler aussi de l’influence du poème “Correspondances” de Baudelaire. En écrivant le sonnet “Voyelles”, Rimbaud s’est peut-être souvenu d’un alphabet en couleur sur lequel il avait appris à lire; mais il a plus vraisemblablement tenté d’établir un système de correspondances entre les sons et les couleurs, donnant

une mort remontant à quinze jours, les lèvres sont tordues (l.7), la description de Camille apparaît au premier abord d’un réalisme crû, mais plus on rentre dedans, plus on s’aperçoit qu’elle est esthétisante. Rappelons que Baudelaire avait déjà montré avec son poème la Charogne, que la laideur pouvait devenir une objet d’art, « transformer la boue en or », suivant les propres mots du poète. Nous avons ici quelque chose de cet ordre, l’apparence d’objectivité cède le pas aux notations esthétiques,

ce qu’il voit, le poète doit trouver une langue particulière: “Cette langue sera de l’âme pour l’âme, résumant tout, parfums, sons, couleurs, de la pensée accrochant la pensée et tirant.”Parler aussi de l’influence du poème “Correspondances” de Baudelaire. En écrivant le sonnet “Voyelles”, Rimbaud s’est peut-être souvenu d’un alphabet en couleur sur lequel il avait appris à lire; mais il a plus vraisemblablement tenté d’établir un système de correspondances entre les sons et les couleurs, donnant

exemple illustratif. Cependant il est introduit par des formules telles que: par exemple, ainsi, tel que, comme en témoignage.... Si l'exemple précède l'idée, il présente un cas concret et permet de tirer un enseignement général, un argument ou une conclusion. on l'appelle exemple argumentatif. . Analyser le sujet Évidemment, il est nécessaire de lire la totalité du sujet. Si plusieurs sujets vous sont proposés, lisez-les tous attentivement et choisissez celui qui vous semble le plus « facile »

émissions de télévision. L’art n’est pas la recherche du joli. Les artistes tentent parfois de se soustraire à la beauté en conceptualisant, minimalisant par l’abstraction. Charles Baudelaire dans « Les Fleurs du Mal » parvient à extraire la beauté de différentes notions, telles que le mal ou l’horreur, dans « une charogne ». L’art est aussi fonction de qui le voit. Chaque société, chaque époque a son art. Les armes de l’époque, cubisme, dadaïsme, fauvisme ne sont plus des armes. Ce sont de doux