Conclusion Un Roi Sans Divertissement

PASCAL, Pensées, « Divertissement » « Vanité des vanités et tout n’est que vanité » dit l’ecclésiaste. L’homme étant mortel, toutes ses œuvres et tous ses travaux sont vains et pourtant il ne se lasse pas de s’y adonner. Tel est le constat pessimiste que dresse Pascal dans ses Pensées, consacrées ici au divertissement. Par « divertissement », Pascal ne désigne pas seulement les loisirs mais l’ensemble des occupations qui nous détournent de la pensée de la mort. L’homme sans le recours de la foi

car Pascal y inclue certaines critiques visant le roi , la noblesse ou encore la société . On peut tout d'abord voir les critiques à l'encontre du roi dans le fragment 54 où Pascal dénonce la Tyrannie et le désir narcissique qu'a le roi de l'époque , Louis XIV , d'être le centre du monde . Il veut qu'on l'appelle le roi Soleil . Le fragment 58 également critique les rois qui se pensent tous être l'égal de Dieu , Pascal leur rappelle l'exemple du roi d'Angleterre , de Pologne et la reine de Suède qui

I ) LE ROLE APPARENT DU DIVERTISSEMENT: ENGENDRER LE PLAISIR. 1) Les actions divertissantes. L'homme n'a de cesse de se divertir. Les rapports sociaux sont fondés sur cette obsession autant le roi que les sujets. Le divertissement est présent partout: conversation, chasse, bruit... Thème du jeu dvlp à travers la synecdoque de la balle (fragment 36 et 126) vu péjorativement. 2) Les occupations sérieuses. Elles sont aussi considérées comme du divertissement ce qui montre leur vanité. Les

théâtre :         1 – Honneur et grandeur du théâtre : Entretien  ;  divertissement le plus doux  ;  souhait  ;  délices  ;  plaisir  ;  douceur . Voc. Appréciatif très présent A. loue les bienfaits du théâtre Roi ,  le front ceint des auriers ,  le Parnasse ,  Apollon Référence aux personnages antiques et à l’Antiquité Images valorisantes Grandeur  du théâtre, genre illustre dans le modèle antique divertissement le plus doux e premier rang Les plus rares esprits d'un meilleur regard

On peut donc pensé à travers cette scène que tout un chacun, comme Frédéric peut devenir le prédateur, et donc tuer pour ce divertir. Cette œuvre nous fait donc réfléchir sur l'homme et sur son divertissement. Mais également sur la nuance entre le beau et l'horreur, qui rejoins la notion de divertissement qui peut être à la fois beau et horrible quand il fini part un meurtre. Cette nuance le lecteur la comprend petit à petit à travers le hêtre. Au début du roman on nous parle d'un hêtre magnifique

notion de divertissement. Une réflexion sur les attitudes humaines Implication du locuteur Utilisation de la première personne du singulier (lignes 1, 10, 11…). ⇒ Implication personnelle proche de l'écriture de l'essai : au service de la subjectivité. Lignes 27 à 34 : anaphores de “de là vient que…” et “ce n'est pas…”. ⇒ Elles créent un effet d'insistance qui permet de souligner la démarche d'invetigation et d'analyse de l'auteur (scientifique ?). C'est la nature même du divertissement qui est analysé

en place quand il devrait s'asseoir pour méditer et connaître enfin  le  vrai  visage de sa condition humaine      II­ Le divertissement    ● Pascal constate que le quête du  bonheur  pour  l'homme  passe par l'action. Pour  Pascal toute forme  d'action est divertissement.   ● 2ème  partie  du  texte  (l.12­20)  →  ​ Il  développe deux  exemples  afin  d'éclairer  son  argumentation,  il  examine  deux  positions  :  l'une   enviable  (celle  d'un  roi),  l'autre  tragique (celle d'un père qui a perdu son ​ fils  unique​ ).  Il  prend 

XIXème siècle. Le divertissement est d’origine latin apparu en Europe a la fin du XVème siècle. Il désignait alors l’action financière de détournée a sont profit une pars de l héritage. Puis il s’est associé petit a petit a l idée de plaisir. Pour pascal le divertissement désigne toutes les activités qui nous détournent de nous même. Dans ce texte on voit que le lexique nous renvoie au domaine du divertissement. « Sans divertissement il n’y a point de joie, avec le divertissement il n’y a point de

fait plus particulièrement ici une analyse négative de la condition humaine, en persuadant le lecteur que l’homme se sert du divertissement pour se détourner de sa condition mortelle. Nous pourrons alors nous demander de quelle manière Pascal persuade-t-il son lecteur que la condition humaine se résoud à une fin tragique, mais que l’homme se cache derrière le divertissement ? En premier lieu, nous observerons un tableau pessimiste de la condition humaine que Pascal dépeint. Puis, nous continuerons

la maxime du parnasse qui est « la loi de la forme et l’exigence du beau ». Le style est très travaillé avec les alexandrins qui donnent un style ample et fait passer plus d’idées. Cette grandeur est souligné par le champ lexical de la richesse : « Roi » v1, « riche »v2, « fleurdelisé » v9. ○ Le style est harmonieux et ordonné avec des rimes suivies comme par exemple « hébéthé » et « léthé » v17-18, « toilette » et « squelette » v11-12. Cela est aussi souligné par une alternance deux à deux de rimes