Conclusion Un Roi Sans Divertissement

Émotions tragiques / émotions tragi-comiques • d- La légitimation doctrinale du passe-temps • III- La légitimation institutionnelle. Institutionnaliser le passe-temps • a- Richelieu et la tragi-comédie19 • b- Littérariser le divertissement : Mirame Texte intégral 1Cette étude s’inscrit dans l’enquête sur les genres, menée par le CTEL depuis le début de l’année 2002. L’année 2002-2003, consacrée à la problématique théorique du genre, s’est vue continuée par les Journées d’Octobre

du fait « de l’impossibilité pour l’homme de se mélanger au monde » (p. 84), un échec qui préfigure celui de Giono lui-même quand il s’improvisera comme son personnage « en prophète messianique » (p. 85). Dans « Bobi mythe, ou de la joie au divertissement », Christian Morzewski développe quant à lui « une troublante impression de climax » : « Avec Que ma joie demeure, on peut considérer que Giono a porté à son plus haut aboutissement (à sa contradiction la plus forte, aussi) le scénario romanesque

alexandrins et octosyllabes I/ La critique de l’absolutisme royal : un roi cruel et vaniteux dénominations désignant le lion : sa Majesté Lionne (périphrase + majuscules) v.1,le Roi v.8,le Prince v .13/v.22, le Monarque v.18 , ce Monseigneur du Lion-là v.26, le Sire v.28 : beaucoup de termes présents ds le texte = importance du personnage , omniprésence ; pouvoir divin : le Ciel l’avait fait maître v.2 Puissance du roi : maître v.2 ; vassaux v.4 : système féodal ; ses sujets v.13+ emploi du

DERAI et LAURENT GUEZ, Le Pouvoir des Guignols (1998), « conclusion », DR. Journalistes l'un et l'autre, Yves Derai et Laurent Guez ont fait une étude à la fois historique et sociologique du phénomène des « Guignols de l'info », ces marionnettes qui prennent l'apparence de certains hommes politiques ou de personnages connus des médias. La conclusion de leur ouvrage insiste sur le pouvoir décapant du rire. Un roi sans bouffon est un roi sourd et aveugle. Car l'air de rien, le pitre monarchique

dénoncer les fléaux qui minent la société. Dès lors il se pose le problème de la véritable fonction de la comédie. Comment est-ce que la comédie corrige les vices des Hommes ? Ne peut-on pas dire que la comédie a aussi une fonction ludique (de divertissement) ? Ainsi nous aborderons dans un premier temps la comédie comme moyen de dénonciation et de correction des vices de la société et dans un deuxième temps nous parlerons de l’aspect ludique de la comédie. I-LA COMEDIE COMME OUTIL DE CORRECTION

cérémonies , les thèmes abordés ont évolués selon les époques . Cependant est-ce que le théâtre est un divertissement ou est-il plus que cela ? Tout d’abord nous allons voir qu’en effet le théâtre permet de se divertir. Ensuite nous verrons qu’il n’est pas seulement cela et qu’il y a une visée didactique et critique à travers le divertissement . En effet le théâtre est bien un divertissement, c’est avant tout un spectacle qui permet de s’oublier soit même pour rentrer dan la peau des personnages

LES PENSÉES Qu’est-ce que les Pensées – L’incroyant – Descartes et Montaigne – Le divertissement – Apologie – La misère de l’homme – La grandeur de l’homme La politique – L’homme dans l’infini – La véritable religionHistoire de la vérité – Les figures – Les trois ordres QU’EST-CE QUE LES « PENSÉES » ? Après sa mort, la famille de Pascal découvre dans ses papiers de nombreux manuscrits et imprimés. Gilberte et Florin Périer commencent alors un important travail d'édition qui a littéralement fondé

monarchique sous lequel il vit. Il s'adresse aux français pour emmètre une critique plus sévère envers le Roi. De plus il laisse entendre la vulnérabilité des français face à leurs souverain. La critique indirecte, par l'intermédiaire d'un étranger suscite la curiosité Pour éviter la censure Montesquieu utilise un pseudonyme + des personnages étranger Roman exotique = divertissement curiosité Avec perso fictif = affrontement – brutal Texte naïf = dimension humoristique Lettre ayant une

d’attente et de rencontres, fréquenté par les courtisans et le public des visiteurs. Elle ne fut le cadre de cérémonies qu’exceptionnellement, lorsque les souverains voulurent donner le plus grand éclat à des réceptions diplomatiques ou à des divertissements ou un retentissement particulier pour un evenement politique . Cependant, la mise en scène du pouvoir atteint rarement un tel degré d’ostentation : ainsi le doge de Gênes en 1685 et les ambassadeurs de Siam (1686), de Perse (1715), de l’Empire

passions et de leur propre vie. Nous verrons ensuite dans quelle mesure, pour atteindre certains objectifs parfois théorisés depuis l’Antiquité, le théâtre se détache du réel pour n’en donner qu’une sorte de grossissement permettant à la fois le divertissement mais aussi la transmission didactique au spectateur d’une morale exemplaire. Ces premières approches complémentaires nous permettront en définitive de voir dans le théâtre un instrument commode pour explorer l’âme humaine en ne donnant du réel