Conclusion Divorce

Younoussa Camara I-) PRÉSENTATION : Divorce, dissolution d’un mariage valable du vivant des époux par décision judiciaire. Le divorce se distingue de la nullité du mariage, par le fait que le divorce vient mettre fin à un mariage valablement contracté, alors que la nullité vient sanctionner l’absence d’une condition de validité du mariage. Le divorce se distingue, en outre, de la séparation de corps par ses effets : le lien matrimonial

enfants, désormais les enfants naturelles auront les mêmes droits que les enfants légitimes (poussé à l’augmentation des familles naturelles). Ensuite il y a l’apparition de la famille adoptive, et plus récemment la famille recomposé résultat de divorce dans ce cas-là l’enfant vis avec l’un de ses parents et le nouveau conjoint du parent. Aujourd’hui le nouveau conjoint du parent n’a aucun lien juridique avec l’enfant bien qu’il soit envisagé de lui donner un statut juridique. En effet le 27 juin

l’adoption de l’édit de Novembre 1787 , qui a permis au protestant de se marier devant l’autorité civile. Les philosophes du 18e siecle , vont contribuer a la laïcisation des institutions familiales , en vehiculant des idées favorables a la liberté du divorce , de l’union , l’egalité entre les enfants légitimes ou naturels , la suppresion de la puissance paternelle sur les enfants atteignant l’age de 21 ans . Ce droit intermediaire , est remis en cause par la revolution , l’etat civil est confié au

religieux. B - La famille en droit intermédiaire et dans le Code civil La législation de 1789 à 1804 avait accru la liberté du mariage en le laicisant et en limitant vraiment ses formalités. C'est cette même législation qui a introduit la liberté du divorce, par consentement mutuel, mais aussi par volonté unilatérale. Cette législation était tellement égalitaire qu'elle a instauré un égalité entre tous les enfants (légitimes, naturels ou adultérains). Ensuite avec le code de 1804 (Napoléonien) on retourne

recherchée : loi du 3 juillet 1972, qui vient consacrer l’égalité entre enfants légitimes et naturels. • Il y a aussi l’idée de la liberté qui va entrainer l’importante réforme du divorce du 11 juillet 1975 (avant on ne pouvait divorcer seulement pour faute). Ainsi le législateur consacre d’autres modes de divorces, avec les divorces par consentements mutuels. • Dans les années 80, la loi Malurhet du 22 juillet 1987 va venir réformer les règles de l’autorité parentale quelles que soient la nature de la

considéré.) - plus strict (plus sévère envers les enfants « claques », prêter de l'attention envers les personnes âgées, …). Présent : Plusieurs modèles familiaux existants : - Famille monoparentale (1 parent décédé ou abandon du domicile ou divorce). - Famille recomposée. - Famille où les parents sont juste ensemble et non mariés ( = concubinage) - Famille mariés ( en baisse contrairement aux autres). - Instauration des pacs et du concubinage ( def. des 2 mots). - Couple homosexuel

compromis entre ces deux formes d'union traditionnelle, pour les homosexuels en particulier, mais aussi pour les hétérosexuels. En effet, certains hétérosexuels se pacsent, car n’acceptant pas le mariage pour plusieurs raisons : par principe, par peur du divorce ou ne se sentant pas prêts à un engagement pour la vie avec leur partenaire. Le PACS est donc destiné à plusieurs catégories de personnes aussi différentes qu’elles soient par leur mode de pensée et leur mode de vie.     La loi sur le pacte civil

le père est décédé, peut contracter mariage sans l’intervention du tuteur et le consentement de la future épouse est assorti de sa signature au bas de l’acte de mariage dressé par deux adouls. Obligation est faite aux époux de produire lors de la conclusion du mariage, un certificat médical attestant qu’ils sont indemnes des maladies contagieuses (MST). b – Représentation légale des enfants : La mère est pour la première fois investie de la tutelle légale mais cette tutelle est conditionnée car elle

redevenant majoritaire. B. L’augmentation des divorces Le nombre de divorce est en progression lente mais régulière depuis 1966. Mais cette hausse s’est accélérée depuis la loi de juillet 1975, la législation distingue trois voies d’accès au divorce : par consentement mutuel, pour rupture de vie commune, ou faute. Aujourd’hui, pour les couples formés dans les années 80, un mariage sur trois se termine par un divorce (entre 1962 et 90 = de 30 000 divorces à 110 000 soit aug. + 350%). Ce constat est

recueillir cet enfant. Là encore l’enfant garde ses liens de filiation avec ses parents biologiques. -------------------------------------------------------------------------------- C - Mariage La réforme a particulièrement visé le mariage et le divorce en renforçant les droits des femmes. Le principe fondamental animant l’esprit de ce texte est l’égalité entre l’homme et la femme. Ainsi la famille est-elle désormais placée sous la « direction conjointe des époux » et non plus sous la « direction