Conclusion De La Cigale Et La Fourmi

car elle sera resté humble et n’aura pas prise la grosse tête. Analyse de la fable : La Cigale et la Fourmi Cette fable est la première du premier recueil (124 fables, divisées en 6 livres) paru en mars 1668. Cette fable nous informe de l’histoire d’une fourmi qui triomphe sur la cigale puisqu’elle a, au cours de l’été, préparé de quoi se nourrir tout l’hiver. Cela devient alors la chute de la cigale, sa perte. Or on peut y voir tout autre chose puisque La Fontaine l’a laissée ouverte (C’est-à-dire

éclate. Ainsi, cette fable montre l’attractivité de l'histoire et donc sa gaieté. Dans « La Cigale et la fourmi », les deux personnages sont la Cigale et la Fourmi. Arrivé en hiver la Cigale « se trouva fort dépourvu » donc elle demanda de l'aide a sa voisine la fourmi qui lui refusa celle ci. L'histoire est également attractif puisqu'elle est fictif ce qui conduit à la gaieté de l'apologue. Conclusion : Dans la plus part des apologues, on tout d'abord la présence du registre comique, il est

Introduction : ( chapeau ) Nous avons tous en tête des fables de La Fontaine apprises à l’école primaire : « La Cigale et la Fourmi », « Le Corbeau et le Renard », « La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf »…Mais, après quelques années d’oubli, en classe de première, les programmes les rappellent à notre souvenir : en effet, quel meilleur exemple de l’apologue que les Fables de La Fontaine ? Et pourtant, si Rousseau revivait de nos jours, il interdirait formellement à son Emile

par le lion, et un personnage auquel il est supérieur dans un rapport de pouvoir, représenté par le moucheron. Ce lion, par sa position importante, se sent supérieur au moucheron, mais à la fin de l’histoire La Fontaine nous apprend par une petite conclusion proposant une idée morale, comme dans ses autres fables, que ceux que l’on doit craindre ne sont pas les plus grands, mais les plus petits : leurs actes sont moins prévisibles, on s’y attend donc bien moins. La seconde morale est qu’on peut résister

le mal qu'à faire le bien. Il y a répétition du mot « entendre » et une antithèse « vice » et « vertu ». D'autre part, Rousseau appuie sa démonstration et renforce ses arguments grâce à l'emploi de 3 exemples : Le corbeau et le renard, La cigale et la fourmi, Le loup et le chien que Rousseau rebaptise : La fable du loup maigre et du chien gras. Enfin, le dernier paragraphe va réaffirmer la thèse : ligne 25 à 26 : « mais pour mon élève, permettez que je ne lui en laisse pas... » et résumer son

de tout temps et de tout lieux reposent tous sur ce même principe : c’est une caractéristique de l’homme que peux d’espèce animales ont développés, et ce qui assure en grande partie notre domination. Mais à l’instar d’espèces comme la termite ou la fourmi qui partagent ce genre de modèle de vie, avec une hiérarchies, des communications entre les divers colonies, l’homme garde une individualité très développée, mettant sa personne au premier plan, et le groupe auquel il appartient bien loin derrière

considérer, comme dans le fable « Le Loup et l'Agneau » que « La loi du plus fort est toujours la meilleure. » 3/ La compréhension A qui sert l'apprentissage d'un texte que l'on ne comprend pas ? La récitation d'une fable comme « La Cigale et la Fourmi » sera faite par contrainte et non par plaisir. Nous avons vu que pour de nombreuses raisons l'apprentissage des Fables peut se révéler difficile il serait néanmoins souhaitable de les transmettre aux enfants. II/ Les Fables de

“ Le Renard et la Cigogne “ “ Le Cochet, le Rat et le Souriceau “ “ Le Lion et le Rat “ “ La Colombe et la Fourmi “ “ Le Renard et les raisins “ “ Le Lièvre et la Tortue “ “ La Tortue et les deux canards “ “ Le Rat de ville et le Rat des champs “ “ La Grenouille qui veut se faire plus grosse que le Boeuf “ “ La Cigale et la Fourmi “ “ Le Renard et la Cigogne “ Compère le Renard se mit un jour en frais, Et retint à dîner commère la Cigogne.
 Le

lui fait apprendre » : c'est contre la nature de l'enfant. *Morale confuse pour l'enfant -Exemples (§3 à 6) : *(l.17-18), « le fromage » (corbeau et le renard) , « la fourmi » (cigale et la fourmi) *(l.25), « lion, partage » (le lion et le moucheron) *(l.40), fable du loup et du chien §7 -> commence par « ainsi » = Conclusion + arguments ad hominem (l.59) Dernier § --> s'addresse à la Fontaine : « Composons » -> il en conclut que les fables sont pour les adultes On voit donc qu'il a une

Nous nous souvenons tous des fables de La Fontaine apprises à l’école primaire (même à l’étranger comme c’est le cas pour moi, cela montre aussi qu’elles ont une vocation universelle et intemporelle) comme « Le Corbeau et le Renard », « La Cigale et la Fourmi », « La grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf » etc.… Après des années, en classe de première, les programmes scolaires nous les rappellent de façon si différente du contexte dont nous les avons appris quand nous étions très