Concile d'Arles

(permis d’enseigner) et de veiller à l’orthodoxie des maîtres. Gerson prend part également à la résolution du Grand Schisme d’Occident qui divise la Chrétienté depuis 1378. Il prône la voie conciliaire pour résoudre la division et participe ainsi au concile de Constance de 1414 à 1418. Il a de multiples centres d’intérets. IL s’intéresse tout d’abord à loa théologie : pour lui la connaissance de Dieu est intellectuelle et intuitive. Il publie aussi differents ouvrages dédiés à l’éducation et la formation

sont calqués sur la calendrier chrétien). Contexte au XVIe siècle : Concile de Trente (ville en Italie où s'est tenu un concile – arrepl du terme concile = réunion qui regroupe le Pape (à l'époque Paul III demande l'ouverture de ce concile, puis il est suivant de d'autres papes) qui s'est déroule de 1545 à 1563 = objectif de réformer l'Eglise Catholique face à la montée du Protestantisme (l'ouverture de ce Concile fait face aux demandes de Martin Luther – le luthéranisme qui critique les positions

voit apparaitre de nouvelles minorités religieuses contestée par l’Eglise et les rois, les sorcières font l’objet d’une exclusion et d’une destruction poussée à l’extrême. Les pauvres, quand à eux, sont de moins en moins bien acceptés. Le Concile de Trente qui se déroule entre 1545 et 1563 met en place la « réforme catholique » pour répondre au développement du protestantisme au XVIème siècle et les thèses de Luther de 1517 ainsi qu’à la « réforme protestante ». On trouve surtout les protestants

Genève, la Réforme touche la majeure partie de l'Europe du Nord-Ouest. Les tentatives de conciliation ayant échoué, elle aboutit à une scission entre l'Église catholique et les Églises protestantes. La contre-réforme catholique engagée à l'issue du concile de Trente ne permet à l'Église catholique qu'une reconquête partielle des populations passées au protestantisme. L'adoption de la Réforme est aussi un caractère politique. C'est un moyen pour les princes d'affirmer leur indépendance face à une

des ordres utiles) et des pratiques (nouveau catéchisme, séminaires pour éduquer le bas clergé, élection de pape irréprochables, développement de l'icônographie et de cérémonies majestueuses baroques). Une grande partie de ce travail est issue du Concile de Trente (1543-1563). Les résultats ne se sont pas fait attendre puisque par la parole et les armes, les catholiques conservent la France (Henri IV) et reconquiert l'Autriche,la Bavière et de nombreux Etats allemands. Certains protestants persécutés

nous verrons comment la diffusion de l’imprimerie et la vulgarisation en langues nationales de la Bible ont entrainé une contestation puis la réforme protestante et anglicane, lesquelles furent suivies par une réaction de l’Eglise Catholique au Concile de Trente. Nous finirons avec la situation religieuse européenne en 1560, à l’aube des guerres de religions entre Catholiques et Protestants. A la fin du Moyen-âge, la situation religieuse en Europe a changé. Les Ottomans ont pris Constantinople

renaissance, du savoir de l’Homme. Or, en s’attaquant de front à l’église romaine, Luther lui insuffla suffisamment de volonté pour lui permettre d’éviter un effondrement fatidique. De cette prise de conscience naquit par la suite l’église réformée du Concile de Trente, une institution encore plus autoritaire et totalitaire qu’auparavant, toujours selon Nietzsche. Cette nouvelle entité que fut l’église catholique romaine réformée « [was] to Nietzsche no more than the product of the violent siege (“Belagerungszustand”)

plus large, de désigner les productions artistiques relevant de cette esthétique. Aujourd’hui, le terme désigne également une certaine modernité. - Le mouvement baroque apparait dans une période assez troublée : l’époque moderne. * Le concile de Trente qui réforme l’Eglise Catholique marque aussi une période de changement pour cette institution, déjà secouée par les guerres de religion. * Sur le plan scientifique interviennent aussi plusieurs modifications sur

l’Église catholique quand elle décide que le côté théâtral du style des artistes du baroque pouvait promouvoir des thèmes religieux avec une implication directe et émotionnelle. C’est un art du catholicisme tel qu'il fut défini en 1545-1563 par le concile de Trente, dont le décret le plus significatif est le « Décret sur l’innovation et les reliques des saints, et sur les images saintes ». C’est donc une esthétique de la Contre-Réforme, que l'on retrouve particulièrement dans l'art jésuite ; on a d'ailleurs

Christ (1118) par Hugues de Payns. Il est à l’origine associé par sept autres chevaliers français André de Montbard (neveu de Saint Bernard), Gondemare, Godefroy, Roral, Payen de MOntdésir, Geoffroy de BIsol et Archambaud de Saint Agnan. Mais c’est au concile de Troyes (14 janvier 1128) à la demande de Saint Bernard que l’Ordre des Chevaliers du Christ est véritablement créé. Justement qu’est ce qu’un chevalier du Christ selon Saint Bernard ? Nous verrons tout d’abord que Saint Bernard construit l’identité