Composition Athenes Et Rome

Grèce va donc étudier un droit qui est le produit d’un d’une technique. SECTION 1 : La technique de la loi L’homme grec connaît son point d’équilibre au Vème siècle de notre ère. Le Vème siècle est celui de la démocratie qui trouve à Athènes son parfait épanouissement. C’est le peuple athénien qui y est souverain et cet équilibre marque une rupture totale avec la tradition antique. La lecture du pouvoir a changé de sens. Avant il venait de Dieu ou des rois. Dans la Cité démocratique

réalisme) et régionalement. 1) La tradition ionienne (souplesse, sinuosité de la silhouette, rondeur des formes, gestes gracieux, sourire) et celle du Péloponnèse (corps vigoureux et musclés des statuettes spartiates en bronze) seront synthétisées à Athènes à la fin du VI° siècle ; l’école attique devient alors prépondérante, ce qui préfigure sa domination au siècle suivant. 2) L’évolution des Couroï = étude de l’anatomie et des mouvements. Assouplissement des attitudes, gonflement des volumes, multiplication

voit ses titres mondiaux et olympiques lui être retirés et ses performances annulées pour cause de dopage. Entre 1932 et 2004 : Au tournant du siècle, Maurice Greene obtient les meilleures performances avec trois titres du champion du monde à Athènes en 1997, (9,86 secondes) à Séville en 1999, (9,80 secondes)et à Edmonton en 2001 (9,82 secondes) et une médaille d’or lors des jeux de Sydney en 2000 (9,87 secondes).c’est le premier titre olympique obtenu par un américain sur 100 mètres depuis 12

veut être aux expositions des artistes vivants, rencontre avec collectionneurs, mécènes, etc…). Il n’a jamais vécu d’une grande aisance mais vivait de son art par commande et acquisition de ses tableaux. Renonce dès 1821 à la préparation du prix de Rome. A 23 ans, il décide de suivre un itinéraire personnel qui se distingue de la carrière académique et de cultiver son art à sa manière dans l’esprit qui est le sien sans chercher la reconnaissance officiel mais il se sert des expos et Salons comme

une action tragique dont les événements, par le jeu de certaines règles ou bienséances se traduisent essentiellement en conflits intérieurs chez des personnages illustres aux prises avec un destin exceptionnel. Origines : Le théâtre fut inventé à Athènes au Vème siècle,tres important pour la cite et constitue un lieu de réflexion sur de nombreux thèmes. C'était une sorte de chants passionnés accompagnés de danses l'honneur de Dionysos. Il célébrait  les aventures du dieu, trois fois par ans. ESCHYLE :

pathétique des visages➟distinction âges, conditions, classes sociales, caractères • Soucis de la perspective et situation spatiale du corps humain d) Second Classicisme du 4e siècle (400 – 323) Prépare l’art hellénistique➟hors Athènes (Athènes ruinée par guerre) • Caractéristiques : ▪ Réalisme ▪ Equilibre parfait ▪ Apport d’éléments orientaux & mystiques ▪ Divinisation de l’homme ▪ Homme= idéal athlétique ▪ Femmes habillées➟ beauté basée

souvent des formes de la nature, comme des feuilles de palmiers et des fleurs. Egypte antique 3 A Rome, on orne les colonnes des bâtiments. On distingue cinq principaux ordres : dorique, ionique, corinthien, toscan, composite. Ordre corinthien En Grèce, les cariatides, des corps de femme remplacent parfois les colonnes, ou ornent l’entrée des temples. Cariatides, Athènes Au moyen âge, l’ornement est présent dans les livres et sur les cathédrales. Notre Dame de Paris Enluminure

La place des Européens dans le peuplement de la Terre........................... 6 THÈME 2 L’invention de la citoyenneté dans le monde antique ..................10 Chapitre 2 Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-IVe siècles av. J.-C.) ...............10 Chapitre 3 Citoyenneté et empire à Rome (Ier-IIIe siècle) ..................................................... 14 THÈME 3 Sociétés et cultures de l’Europe médiévale du XIe au XIIIe siècle......................................................

rarement rencontré dans la sculpture architecturale : ils représentent soigneusement les plumes ou les écailles ou la peau de chacun des monstrueux Géants, de même que les vêtements et les chaussures des dieux. Les figures s’enchevêtrent en une composition dense et complexe, tandis que les corps des Géants se convulsent et leurs visages se tordent de douleur devant l’assaut des Olympiens. Le style pergaménien, qu’on a pu qualifier de « baroque hellénistique », atteint ici son apogée : la frise est

ville de Rome, et l'autre, le défilé des dépouilles de la Judée vaincue et, parmi elles, les trompettes et les vases sacrés ainsi que le candélabre à sept branches arrachés au temple de Jérusalem. Sous la voûte est représenté l'empereur assis sur un angle comme il est figuré dans les médailles consacrant son apothéose et, au-dessus de l'attique, un quadrige portant Titus en triomphateur, devait couronner l'ensemble de ce monument si précieux à tant de titres pour l'art et l'histoire de la Rome impériale;