Comparaison Scènes De Rencontre Dans La Princesse De Clèves

l’entoure et de lui transmettre les valeurs de la société. Par exemple, au XVII et XVIIIème siècles, le roman est un genre très apprécié qui permet d’éduquer les lecteurs, ou encore d’analyser les mœurs. Les héros alors mis en scènes incarnent des vertus exemplaires. La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette issue de la haute noblesse, fait montre d’une grande souveraineté dans son attitude en refusant de se donner à l’homme qu’elle aime alors qu’elle est désormais veuve. Cette héroïne incarne un idéal

- photocopie 4. Boris VIAN, L’Ecume des jours (1947), incipit jusqu’à « des grappes de petites bulles savonneuses. » photocopie II. Pour l’entretien : Textes complémentaires étudiés en lecture cursive : * Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678) : le portrait de Mademoiselle de Chartres (photocopie) * Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782), lettre II (photocopie) * Michel Houellebecq, Extension du domaine de la lutte (1994), chapitre 3 (photocopie) Etudes

illustration de la langue française (1549) ; L'Olive (1549-1550) ; Les Regrets (1558) ; Les Antiquités de Rome (1558) modifier [pic] Joachim Du Bellay[1] est un poète français né vers 1522 à Liré en Anjou et mort le 1er janvier 1560 à Paris. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes pour lequel Du Bellay rédigea un manifeste, la Défense et illustration de la langue française. Son œuvre la plus célèbre, Les Regrets, est un recueil de sonnets

Texte 1Incipit de La Princesses de Clèves | L’auteur | - Mme de la Fayette - Née à Paris en 1634, de son vrai nom Pioche de la Vergne. - Education soignée littéraire et mondaine. - Fréquentation hâtive des salons mondains. - Propriétaire de son propre salon où elle réunit les membres de la haute société (Henriette d’Angleterre, Mme de Sévigné, La Roche Foucault…). - Type même de la femme savante, cultivée et dotée d’une parfaite maîtrise des codes de l’aristocratie. - Femme

différents. Ces romans-fleuves (aussi bien les romans précieux que les romans comiques) ont des intrigues souvent enchâssées et entremêlées, typiques du baroque. ⎝3. Les héros parfaits du roman classique. Le chef dœuvre du roman classique est la Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A lopposé des romans baroques, lintrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative~: il y a une unité daction quon ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de

incessants revirements de la belle d’abord au flux et au reflux de l’océan puis au manège de Pénélope pour écarter les prétendants. La première comparaison donne une belle ampleur à l’apostrophe qui ouvre en beauté le poème. La seconde insiste non sur la fidélité de Pénélope mais sur sa ruse ; le poète joue ainsi le rôle d’un prétendant berné. En dehors de ces comparaisons, le poème se développe en jouant sur la régularité des rythmes, la force des parallélismes. 3. Le sonnet oppose la beauté des lieux longuement

Par exemple : « blancheur d’écume », « poiles d’or », « gorge d’amazone », « le voile de ses cheveux » (métaphore), Nana est comparée à la Vénus de Cabanel La naissance de Vénus (métaphore filée), les pointes de ses seins comparées a des lances (comparaison) ( « les pointes roses se tenaient levées et rigides comme des lances », « la femme se dressait » incarne le désire phallique (en forme de phallus (pénis)). 3) L’ironie dans ce portrait Zola se moque de la conception idéalisée de la beauté

maximes - citation de la Bible et des auteurs de l’Antiquité - interpellation du lecteur à travers le questionnement - Sonnet, ode, élégie - allégorie, métaphore, comparaison - travail sur le rythme et la musicalité - alexandrin - Théâtre dans le théâtre. - Nombreuses figures de style: métaphores, allégories, comparaisons, antithèses (recherche de l’effet, de la complexité) -Tragédies classiques - Comédie exploitant tous les niveaux de comique, roman psychologique, fable, éloquence

différents. Ces romans-fleuves (aussi bien les romans précieux que les romans comiques) ont des intrigues souvent enchâssées et entremêlées, typiques du baroque. 3. Les héros parfaits du roman classique. Le chef d’œuvre du roman classique est la Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A l’opposé des romans baroques, l’intrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative : il y a une unité d’action qu’on ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc

le bac Le roman et le récit du Moyen Âge au XXIe siècle La Princesse de Clèves ou le merveilleux galant La Princesse de Clèves est le premier roman moderne. Ce sont en effet les décisions des protagonistes qui en constituent le principal ressort narratif : on dit dès lors que ce roman est psychologique ; ses péripéties reposent en effet sur la psychologie de ses personnages, dans une approche galante. Mais certaines scènes clés de cet ouvrage mettent également en avant des coïncidences