Comparaison Rabelais Et Montaigne

l'éloge et le rejet. Ce qui revient à dire que le lecteur, au moment où il entame la lecture d'une œuvre nouvelle, est toujours déjà imprégné des codes véhiculés par ses contemporains et ne parvient à établir un jugement que dans le cadre d'une comparaison implicite avec ce qui appartient au domaine de sa connaissance. Du point de vue de l'écrivain, la connaissance du contexte littéraire qui a vu naître son œuvre n'est pas moins essentielle, dans la mesure où elle permet de comprendre sa "stratégie

l'éloge et le rejet. Ce qui revient à dire que le lecteur, au moment où il entame la lecture d'une œuvre nouvelle, est toujours déjà imprégné des codes véhiculés par ses contemporains et ne parvient à établir un jugement que dans le cadre d'une comparaison implicite avec ce qui appartient au domaine de sa connaissance. Du point de vue de l'écrivain, la connaissance du contexte littéraire qui a vu naître son œuvre n'est pas moins essentielle, dans la mesure où elle permet de comprendre sa "stratégie

en fleur, fait songer à Daphnis et Chloé. Enfin Le Maire est le pre- mier qui, à travers la traduction latine de Laurent de Valla, ait déjà Araguement senti Homère : le premier il lui a emprunté quelques épithètes, des expressions et des comparaisons qui se déroulent en périodes sonores. L'oeuvre poétique de Jean Le Maire n'est pas moins mêlée que sa chronique romanesque. Elle se ressent, surtout au début, de l'éducation première et du A-oisinage des rhétoriqueurs fla- mands. Dans

de plusieurs objets d’étude du programme de première imposés dans la série du candidat, et ne doit pas réclamer, à celui-ci, un temps de lecture trop long. Le corpus a deux fonctions. Il vous donne un cadre, des documents et des éléments de comparaison utiles pour le traitement de l’un ou l’autre des trois sujets, mais, bien évidemment, il ne remplace pas les textes ni le contenu de votre cours. Il est le document sur lequel portent l’éventuelle (ou les éventuelles) question(s) préalable(s)

il y a trois espèces (car Jean de Léry remarque trois couleurs différentes à la cuisson) et dont la feuille ressemble à la feuille de concombre : pas besoin de les cultiver, il suffit de découper des morceaux et de les mettre en terre, d’où une comparaison avec la manne. Description des Manobi (cacahuètes) comparée à des noisettes ; du poivre que les Indiens utilisent pour assaisonner leurs viandes, d’une espèce de petits pois et de citrouille. La conclusion de ce chapitre par Jean de Léry est que

Diprossino) - Un discours : Ch. De Gaulle, L’appel du 18 juin, 1940 - Une affiche : cf. L’appel du Général de Gaulle Langues et cultures de l’antiquité : - L’emprunt chez La Fontaine La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf - comparaison des textes de La Fontaine et de Phèdre - Texte d’Homère, extrait de l’Odyssée, sur le cheval de Troie : une stratégie de guerre - Poterie représentant le cheval de Troie : les autres arts pour raconter l’histoire Activités : A voir sur Youtube :

- « Mr. Mischief » : M. Méchanceté. - « rompre » : à l’escrime, reculer. - « kératinisées » : enrobées de la substance protéique qui constitue la majeure partie de l'épiderme. Page 192 - « espèces » : mot qui joue sur les deux plans de la comparaison entre la banque et l'église car il désigne, d'une part, la monnaie métallique (« les espèces sonnantes et trébuchantes ») et, d'autre part, dans le sacrement de l'eucharistie, le corps et le sang de Jésus-Christ sous les apparences du pain et du

élargissement des études des Histoires littéraires (!!). Au début, il n’y avait que la littérature de l’Europe occidentale, c’est pourquoi on a commencé à demander à chercher les différentes influences du monde : Afrique, Asie… Il faut retenir que la comparaison se tient aux frontières des influences et des emprunts. Les échanges des thèmes, des formes d’écriture, etc.… si on prend GOETHE, toute littérature éprouve périodiquement le besoin de se tourner vers l’étranger. On ne peut pas s’enfermer dans sa

l’avancement de la pensée o Rabelais : phase euphorique o Montaigne : plus pessimiste ⎝ Tendances générales : * Dénoncent des abus (verbalisme, autorité = moins de contraintes et plus de désir d’apprendre) * Développement de la raison et de l’humanisme par : - éducation classique (pouvoir argumenter,…) - ouverture au monde (clôture)  ex : Montaigne = apprendre d’autre langues - pédagogie plus libérale entre prof

l’esprit humain, redécouvre les textes de l’Antiquité. La lecture de la Bible encourage les mouvements de rénovation religieuse. RABELAIS, proche de la culture populaire, incarne l’enthousiasme d’un joyeux savoir (Pantagruel et Gargantua, 1532-1534). Les poètes de la Pléiade (RONSARD, du BELLAY) créent une poésie riche et érudite ; ils se font une haute idée de leur mission. MONTAIGNE développe une sagesse qui exprime la variété des expériences humaines (Essais, 1580). • L’esthétique baroque (1580-1650)