Comparaison Peinture Baroque Et Peinture Classique

1ère partie : Recherche documentaire sur site I/ Le mouvement : "Le prochain siècle sera de jour en jour plus éclairé; en comparaison tous les siècles précédents neseront que ténèbres." citation de Pierre Bayle 1697. Pierre Bayle 1) Pourquoi utiliser la métaphore de la lumière ? Le siècle des Lumières tire son nom dumouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connu sous le nom de Lumières. Il est souvent utilisé dans la littérature historique commesynonyme

comédie jusqu'à l'épure. Il est la préservation faite homme et les jeunes gens, Cléante en tête, sont la dépense incarnée. Et en deux mots, deux univers s'affrontent : celui de l'usure et celui du commerce (dans tous leurs sens). Mais, au-delà de la peinture d'une folie qui s'écarte du monde et de la sanction morale qu'on peut raisonnablement lui appliquer, il y a, dans cette pièce, d’autres questions. Qu'est-il dit en effet dans L'Avare, non plus du personnage, mais du monde ? Qu'il est fondé sur les

renouvelé. La tentative (tentation) de cerner le texte dans les limites d'un genre se confronte à la traversée plus générale des limites des arts. A revenir au titre, cette traversée s'annonce, déjà, dans la mesure où la fantaisie, en musique comme en peinture, souligne la liberté de l'artiste de composer son oeuvre selon son propre caprice. Ainsi s'affirme encore l'importance du sujet -le sujet écrivant comme le sujet de l'écriture- en sa double articulation : celle qui indique les plis de son dedans

pas de sens : Dupont vient de sa « ressemblance avec le célèbre policier anglais Smith ». Plus globalement, toute la tirade du détective semble marquée d'une absurdité comique. Son propos, composé de phrases en général très brèves et souvent nominales, manque de cohérence. Les comparaisons par lesquelles il prétend expliciter le nom du baron : « Zède comme Zèbre, comme Zéphyr » n'ont, par exemple, pas de logique apparente et prêtent à sourire. Surtout, le monologue comporte une longue digression centrale dans laquelle le personn

turbulente, pleine de truculences et de tropicalités, se présente comme une rhétorique tournée vers l’oralité du parler populaire qui coupe court et va droit au fait » 1, tandis que La Plaie combine le réalisme descriptiviste à la lenteur de la phrase classique. Et pourtant, à y regarder d’un peu plus près, l’on se rend compte d’un certain nombre de rapprochements possibles entre ces deux auteurs. De part et d’autre, l’univers semble baigné d’une atmosphère de terreur et de violence. 1 Nicolas Martin-Granel

vers la fin du cursus. Se faire la réflexion que c’est un objet qui n’est pas une évidence, de la lire ou de l’enseigner. La définition même de la littérature belge n’est pas une évidence. Qu’est-ce que c’est la littérature belge ? Par comparaison avec la littérature française, on peut dire que c’est un cursus qui démarre à un certain moment de l’histoire qui démarre en gros avec la Cantilène de Sainte Eulalie et qui va jusqu’à maintenant, c’est une évidence dans ce cas là. Dans le cas

caractéristiques de la scène historique que l’on Q retrouve dans l’œuvre de George Sand ? 2  omparez le titre de l’œuvre de G. Sand à celui de la pièce de Musset. C Qu’en déduisez-vous sur le projet de chaque auteur ? 3  aites la même comparaison entre les deux listes de personnages du F tableau ci-dessous. Le projet annoncé par le titre est-il confirmé ? 4  ésumez brièvement le premier tableau de la pièce de G. Sand. ComR ment est présenté le personnage de Lorenzo, en particulier

sont les caractéristiques de la scène historique que l’on retrouve dans l’œuvre de George Sand ? 2 Comparez le titre de l’œuvre de G. Sand à celui de la pièce de Musset. Qu’en déduisez-vous sur le projet de chaque auteur ? 3 Faites la même comparaison entre les deux listes de personnages du tableau ci-dessous. Le projet annoncé par le titre est-il confirmé ? 4 Résumez brièvement le premier tableau de la pièce de G. Sand. Com- ment est présenté le personnage de Lorenzo, en particulier dans

recommença, d’une voix très douce : « Voyons, puisque ça vous contrarie, n’en parlons plus… Seulement, si vous saviez ! J’ai là une figure de mon tableau qui n’avance pas du tout, et vous étiez si bien dans la note ! Moi, quand il s’agit de cette sacrée peinture, j’égorgerais père et mère. N’est-ce pas ? vous m’excusez… Et, tenez ! si vous étiez – 16 – aimable, vous me donneriez encore quelques minutes. Non, non, restez donc tranquille ! pas le torse, je ne demande pas le torse ! La tête, rien que

d’une voix très douce : « Voyons, puisque ça vous contrarie, n’en parlons plus… Seulement, si vous saviez ! J’ai là une figure de mon tableau qui n’avance pas du tout, et vous étiez si bien dans la note ! Moi, quand il s’agit de cette sacrée peinture, j’égorgerais père et mère. N’est-ce pas ? vous m’excusez… Et, tenez ! si vous étiez aimable, vous me donneriez encore quelques minutes. Non, non, restez donc tranquille ! pas le torse, je ne demande pas le torse ! La tête, rien que la tête ! Si