Comparaison Pacs Mariage Union Libre

Le Mariage Sommaire I. Les différents mariages et définitions II. Mariage, religions et traditions III. Mariage et situations voisines IV. Mariages particuliers V. Le marché du mariage VI. Le mariage et la justice VII. Conditions du mariage VIII. Mariage à Madagascar IX .Mariage en chiffre I. Les différents mariages et définitions La notion de mariage recouvre plusieurs réalités : * Le mariage est à la fois un acte personnel et un acte social. * Il

soi ; chacun aspire à un concept de soi positif. 2.3 Les groupes sociaux  : le fait d’appartenir à ces groupes sont connotés positivement ou négativement. Une identité sociale positive résulte de la comparaison favorable entre le groupe d’appartenance et les groupes extérieurs. Si comparaison négative, l’identité sociale est insatisfaisante, les membres sont alors tentés de quitter le groupe pour rejoindre une groupe à l’image plus positive. Distinction entre le groupe d’appartenance et le

s'attirent les conduisant à se reproduire et incitant à la mère à nourrir et élever ses enfants. Cependant, cette réalité doit être modérée à la lumière des travaux de sociologues et d'ethnologues. Selon Durkheim, c'est davantage l'alliance et le mariage qui expliquent le fonctionnement de l'institution familiale beaucoup plus que la biologie de la reproduction ou la psychologie des sentiments. Selon Durkheim, la famille est une ''institution sociale produite par des causes sociales''. Ainsi, Durkheim

DROIT DE LA FAMILLE INTRODUCTION §1 : Le fait familial. A- Les multiples visages de la famille Exemple : loi sur le mariage homosexuel, définition même débattue Il n’existe pas de définition de la famille dans le Code civil en tant que telle, et il existe encore moins de définition générale.  Aucune définition juridique de la famille dans les textes ou la jurisprudence. 1- L’histoire de la famille a- Evolutions La famille a subi des mutations : en Occident, il y a une tendance 

qui était uni pour la vie dans le mariage la femme est les enfants étaient soumis à l'autorité du père (puissance paternelle) des règles de filiation qui favorisaient les enfants nés pendant le mariage Depuis une trentaine d’année la famille en tant qu’institution sociale a connu une grande évolution qui va dans le sens de la remise en cause de la famille traditionnelle, on assiste ainsi à la diversification des formes d’union avec le concubinage et la pacs. On assiste aussi à une augmentation

degrés. b . Liens d’alliance. Ils supposent un MARIAGE. Entre les époux, le mariage donne naissance aux liens d’alliances ou conjugaux. On parle de conjoint (exclusion des pacsés et concubins). Le lien d’alliance doit aussi être envisagé à l’égard des parents de l’autre époux, les beaux-parents, le gendre, la bru. Un lien d’alliance peut être observé entre un époux et les enfants de l’autre époux (conjoint) en cas de précédente union. Dans ce cas l’épouse est la marâtre et l’époux est le

mineurs. Section I – Les mineurs non émancipés. § I – Le principe d’incapacité générale d’exercice. Les paradoxes contemporains. § II – La protection de la personne du mineur non émancipé A) L’autorité parentale. 1. Le texte, art. 371 – 1 code civil (comparaison avec les textes anciens) 2. L’exercice de l’autorité parentale : la réforme du 4 mars 2002 a) les parents 1°- indifférence vis-à-vis de la nature de la filiation. 2°- insignifiance du divorce, de la séparation. 3°- exercice unilatéral : solution

(même père), ils sont utérin (mère) on utilise aussi des degrés, on additionne les nombre de génération qui sépare chaque personne concerné de l’auteur commun, ex : frère et sœur 2geneations . b. Lien d’alliance Le lien d’alliance repose sur le mariage, on appelle aussi le lien conjugale, ce lien d’alliance doit être envisagé entre les époux et aussi à l’égard des parents de l’autre époux. Ce lien se trouve en ligne direct (verticale) relie l’époux avec les parents du conjoint et entre l’époux et

jusqu’aux cousins issus de germains. - La famille « religieuse » , elle est en lien avec la religion. La preuve de l’empreinte religieuse dans la famille occidentale est le sacrement dans le mariage, sous l’ancien régime, l ‘église faisait du mariage un sacrement, qui produisait des effets juridiques. Le mariage avait une valeur extrêmement forte puisqu’il constituait le symbole de l’union mystique entre le christ et son église, la conséquence juridique immédiate est qu’il n’y a aucune possibilité

ancienne. Sous l’ancien régime la famille se voit fortement associée à l’alliance du couple, on considère généralement que la famille est formée à partir du moment où il y a union par le mariage. Nous allons donc étudier la famille ancienne afin de mettre en évidence ses trois fonctions essentielles : organisationnelle (le mariage permet d’organiser la vie sociale), économique (il permet de réguler l’économie du couple) et patrimoniale (il permet de préserver et transmettre un patrimoine). 1.