Comparaison Du Merchandising De Leroy Merlin Et Castorama

sa zone de chalandise dont : * Zone primaire : Castorama, deux Centre E.Leclerc, Saint Maclou, Fly, deux hypermarchés Carrefour, Auchan, Conforama, Bricorama, Delbard, Crozatier, deux magasins Leroy Merlin, Jardinerie E. Leclerc, Ikéa, Planète Saturn et Truffaut. * Zone secondaire : Centre E.Leclerc, Delbard, Castorama, Cora, Carrefour. * Zone tertiaire : Jardiland, But, Bricorama, Carrefour, Boulanger, deux magasins Leroy Merlin, Conforama, Géant Casino, deux hypermarchés Auchan

pharmaciens, coiffeurs, etc … (FIP) La Rechange Automobile : l'analyse est réalisée selon un mix concept et organisation – centres auto, néo-spécialistes, réseaux constructeurs, garages, … (CNPA - GIPA) Le Jouet : le segment spécialistes est suivi en comparaison d'autres formes de commerce dont le jouet n'est pas le produit essentiel – grands magasins, bazars, solderies, librairies, etc … En conclusion : la complexité de la définition d'une GSS Le terme de GSS fait référence à deux dimensions - la surface

commerciale ▪ La demande quantitative : La répartition de CA selon les enseignes est la suivante : On constate très clairement les enseignes avec lesquelles nous générons le plus de chiffre d’affaires. Il s’agit notamment de Castorama et Leroy Merlin en ce qui concerne la G.S.B et de Carrefour et Leclerc en ce qui concerne la G.S.A. Les chiffres apparents dans le tableau sont les chiffres d’affaires exprimés en millions d’euros, et réalisés par enseigne sur une année. Une brève explication

commerciale ▪ La demande quantitative : La répartition de CA selon les enseignes est la suivante : On constate très clairement les enseignes avec lesquelles nous générons le plus de chiffre d’affaires. Il s’agit notamment de Castorama et Leroy Merlin en ce qui concerne la G.S.B et de Carrefour et Leclerc en ce qui concerne la G.S.A. Les chiffres apparents dans le tableau sont les chiffres d’affaires exprimés en millions d’euros, et réalisés par enseigne sur une année. Une brève explication

COLRUYT……………………………………………………..………………..158 III- LES INTERLOCUTEURS DE LA GRANDE DISTRIBUTION………..…………172 IV- LE GRAND COMMERCE SPECIALISE FACE AUX HYPERMARCHES….….182 V- LES PRINCIPALES ENSEIGNES DES GRANDS COMMERCES SPECIALISES : CASTORAMA…………………………………………………….…………….190 LEROY MERLIN..................................................................192 BRICORAMA......................................................................194 WELDOM.................................................................

distribution pour cette nouvelle collection ; • de faire preuve de réflexion et d’innovation dans l’élaboration d’une campagne de communication sur un marché très concurrentiel où le produit reste relativement banal. Outils mobilisés • analyse SWOT ; • merchandising du point de vente ; • sélection des circuits de distribution. Public visé Cette étude de cas peut être traitée par des étudiants d’écoles de management bac +3/4/5 ayant déjà des connaissances dans le domaine de l’optique et pouvant à travers

généralistes. De toutes ces évolutions, la poussée des grandes surfaces spécialisées a sans doute, dans l’immédiat, les conséquences les plus sérieuses. Ce type de magasin n’est pas une nouveauté : Boulanger a été créé en 1954, Darty en 1957, Castorama et Leroy Merlin en 1966. En revanche, est inédite l’extension de la formule à d’autres marchés que le meuble et l’électroménager : chaussures, habillement, parfumerie, livres, produits culturels haute technologie, jouets, décoration, bricolage, jardinage

viennent s’y ajouter : Bassin méditerranéen, Europe de l’Est et USA. Avec cette stratégie axée vers l’étranger, BNP Paribas a aussi vu ses effectifs fortement augmenter, passant de 77 000 salariés lors de la fusion à 200 000, aujourd’hui. La comparaison est aussi valable concernant le nombre de points de vente, avec désormais 7 000 agences dans le monde contre 2 500 en 2000. a) Banque de détail (ou Retail Bank) BNP Paribas a réalisé 45% de ses revenus 2009 dans la banque de détail, activité

un enjeu stratégique Si la fidélisation représente un enjeu important pour les entreprises, elle ne se substitue cependant pas encore aux priorités marketing classiques telles la communication ou le merchandising. Les priorités marketing des entreprises Communication image de marque Merchandising Développement produit Trade marketing Promotion des ventes Fidélisation Extension de la distribution 0 20 40 63% 59% 53% 47% 60 80 87% 83% 83% 100 Source : Etude Peat Marwick auprès de 30

marketing de masse au marketing « one to one » 8 1.3 La fidélisation : un enjeu stratégique 9 1.3.1 Le concept du 20/80 9 1.3.2 Le concept d’EPL 10 2. Quels sont les outils pour fidéliser les clients ? 11 2.1 Sur le lieu de vente 11 2.1.1 Le merchandising 11 2.1.2 Le « retailtainment » 11 2.1.3 La logistique au service du client 12 2.1.4 Le client-expert 13 2.1.5 Les cartes de fidélité 14 2.2 Chez le consommateur 21 2.2.1 Marketing direct 21 2.2.2 Consumer magazines 28 2.2.3 Le club 29